Jules Beau
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Joseph Jules Beau, né le dans le 6e arrondissement de Paris[1], ville où il est mort le dans le 16e arrondissement[2], est un photographe français[3] et l'un des premiers reporters sportifs[4].
Jules Beau ouvre son premier studio à Paris au 19, avenue des Ternes, associé au photographe Marc Henri Fontès qui possède déjà un autre studio avenue de Clichy. Puis les deux partenaires ouvrent en 1890 un nouveau studio au 51, rue de Passy, succursale acquise par Beau en 1891 et qu'il baptise « Photographie de Passy »[5].
De 1894 à 1913, il va produire une œuvre d'une diversité et d'une modernité étonnantes. Attiré par le sport, il se spécialise dans ce domaine et réalise de nombreux portraits de sportifs toutes catégories, avec une prédilection pour le cyclisme et la compétition automobile. Dans son livre Visions du sport, publié en 1989, l'historien et photographe Jean-Claude Gautrand, qui y publie huit photographies de Jules Beau, estime que celui-ci peut être considéré comme « le premier reporter sportif de l'histoire[6]. »
Il collabore dès 1895 à la revue La Bicyclette et à partir de 1898 illustre l'activité sportive dans La Vie au grand air. Il travaille un temps comme archiviste au Touring club de France.
Il cesse toute activité après 1913.
Jules Beau a laissé de nombreux albums couvrant les années 1894-1913, contenant ses tirages positifs conservés à la BnF dont une partie a été mise en ligne à la disposition du public[7].
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