– : retrait du front : mouvement vers Villersexel ; instruction au camp. À partir du , transport par V.F. dans la région de Villers-Cotterêts ; repos et instruction. Puis mouvement vers Bézu-Saint-Germain ; repos[4].
10 – : transport vers le front, et occupation d'un secteur vers le moulin de Vauclerc et la ferme d'Hurtebise[4].
: engagements violents.
– : retrait du front et repos dans la région de Fismes[4].
– : occupation d'un secteur entre la ferme d'Hurtebise et le plateau des Casemates[4] :
25 juin : Après une préparation d'artillerie de 5 jours et une émission de gaz toxiques dans la grotte du Dragon des éléments des 152e, 213e et 334e régiments d'infanterie et du 41e bataillon de chasseurs à pied se lancent à l'attaque à 18h05[5]. La « tranchée Neuve du Doigt » et l'entrée de la grotte du Dragon sont atteintes et nettoyées malgré les tirs de mitrailleuses. L'exploration de la grotte du Dragon débute à partir de l'entrée Nord afin d'établir rapidement une communication avec la creute et consolider les positions. L'interrogatoire de prisonniers permet d'apprendre que celle-ci comporte quatre ou cinq entrées.
– : retrait du front ; repos vers Saacy-sur-Marne. À partir du , travaux dans la région de La Ferté-sous-Jouarre ; instructions d'éléments américains[6].
1er – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Vinly et Chézy-en-Orxois[6].
18 – : retrait du front, et, à partir du , transport par V.F. de la région de Château-Thierry dans celle de Calais ; repos vers Gravelines ; mouvement vers Westvleteren, puis vers Langemark[7].
AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
Léon Marie Gaucher et Victor Jules Marie Laporte, La division du dragon (164e) : novembre 1916-janvier 1919, Charles-Lavauzelle et Cie, , 202 p. (lire en ligne).