Dans un tract intitulé Face aux liquidateurs, publié dans Combat-Art, les surréalistes, à l'initiative de José Pierre dénonce l'exposition Le Surréalisme, sources-histoire-affinités organisée par Patrick Waldberg : « [elle trompe] le public par son apparence historico-mondaine, enterrant en quelque sorte le mouvement. »[1].
Juin
Parution, en Italie, du premier numéro de la revue Malebolge créé par un groupe de poètes et d'artistes italiens sous le nom de Parasurréalisme. Ce groupe revendique « l'héritage du surréalisme » et « l'assimilation culturelle et créatrice du surréalisme historique en même temps que sa révision critique en tenant compte de ses échecs. »[2]
Juillet
Réédition de Grabinoulor de Pierre Albert-Birot aux éditions Gallimard qui présente cet ouvrage, à travers un bandeau, comme un « classique du surréalisme » en dépit des protestations de l'auteur[3].
Cette année-là
Parution,en Hollande, du premier numéro de la revue Brumes blondes, organe du Bureau de recherches surréalistes en Hollande[4].
Œuvres
Marion Adnams
A candle of understanding thine heart,tempera sur panneau[5]