Adolphe Marcoux
Adolphe Marcoux, né le à Beauport et mort dans la même ville le , est un médecin et homme politique québécois. Il est député de Québec pour l'Union nationale de 1936 à 1937, puis pour le Parti national de 1937 à 1939.
| Adolphe Marcoux | |
 Adolphe Marcoux vers 1905. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député à l'Assemblée législative du Québec | |
| – (3 ans, 2 mois et 8 jours) | |
| Élection | 17 août 1936 |
| Circonscription | Québec |
| Législature | 20e |
| Groupe politique | Parti national (1937-1939) Union nationale (1936-1937) |
| Prédécesseur | Francis Byrne |
| Successeur | François-Xavier Bouchard |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Beauport (Québec, Canada) |
| Date de décès | (à 66 ans) |
| Lieu de décès | Beauport (Québec, Canada) |
| Sépulture | Cimetière de Beauport |
| Nationalité | Canadienne |
| Parti politique | Parti national (1937-1939) Union nationale (1936-1937) |
| Diplômé de | Université Laval |
| Profession | Médecin |
| Religion | Catholicisme |
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Biographie
Né le à Beauport, Adolphe Marcoux est le fils de Joseph-Désiré Marcoux, un notaire, et de Sarah Élisabeth alias Isabelle Gendron. Après avoir étudié à Beauport et au Séminaire de Québec, il fait ses études en médecine à l'Université Laval et est reçu médecin en 1909. Il se perfectionne ensuite à Paris de 1909 à 1910.
Il revient à Beauport pour exercer sa profession et s'implique au sein de sa communauté. Il devient président de la Caisse populaire de Beauport, de la Ligue du Sacré-Cœur, de la Société Saint-Jean-Baptiste et de l'Association des médecins du comté de Québec. Catholique pratiquant, il est également marguillier de sa paroisse[1].
Il se lance en politique sous la bannière de l'Union nationale[2]. En 1936, il est élu député de la circonscription de Québec. Déçu des politiques de Maurice Duplessis, il quitte l'Union nationale avec un groupe de députés dissidents et fonde le Parti national le . Aux élections de 1939, il décide de ne pas se représenter et de retourner à la pratique de la médecine.
Il meurt à Beauport le et est enterré au cimetière de Beauport quatre jours plus tard[3].
Références
Annexes
Bibliographie
- Alexandre Dumas, Les Quatre mousquetaires de Québec : La carrière politique de René Chaloult, Oscar Drouin, Ernest Grégoire et Philippe Hamel, Éditions du Septentrion, 2021, 292 p.
Lien externe
- Ressource relative à la vie publique :
