Étiolles

commune française du département de l'Essonne
(Redirigé depuis Etiolles)

Étiolles (prononcé [eiɔl] Écouter) est une commune française située à vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Étiolles
Étiolles
L’hôtel de ville.
Blason de Étiolles
Blason
Étiolles
Logo
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionÎle-de-France
DépartementEssonne
ArrondissementÉvry
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart
Maire
Mandat
Amalia Duriez
2020-2026
Code postal91450
Code commune91225
Démographie
GentiléÉtiollais
Population
municipale
3 086 hab. (2021 en diminution de 2,47 % par rapport à 2015)
Densité265 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 12″ nord, 2° 28′ 21″ est
AltitudeMin. 32 m
Max. 86 m
Superficie11,65 km2
TypeCommune urbaine
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Draveil
LégislativesNeuvième circonscription
Localisation
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Étiolles
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Étiolles
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Étiolles
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Étiolles
Liens
Site webetiolles.fr

Ses habitants sont appelés les Étiollais[1].

Géographie

Situation

Étiolles est située à vingt-sept kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, deux kilomètres à l'est d'Évry-Courcouronnes[3], trois kilomètres au nord de Corbeil-Essonnes[4], quinze kilomètres à l'est de Montlhéry[5], dix-sept kilomètres au nord-est d'Arpajon[6], dix-neuf kilomètres au sud-est de Palaiseau[7], dix-neuf kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais[8], vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[9], trente-deux kilomètres au nord-est d'Étampes[10], trente-six kilomètres au nord-est de Dourdan[11].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Lieux-dits, écarts et quartiers

Occupation des sols en 2008.
Type d’occupationPourcentageSuperficie
(en hectares)
Espace urbain construit9,3 %109,14
Espace urbain non construit10,9 %128,81
Espace rural79,8 %939,16
Source : Iaurif-MOS 2008[12]

Le bois du Cerf, le Vieux Village, le parc de la Pompadour, le parc de Jarcy, le parc aux Chênes, le bois des Coudray.

Communes limitrophes

Habitat

Essentiellement résidentielle et composée de plusieurs lotissements pavillonnaires plus ou moins récents, Étiolles est aujourd'hui une des communes les plus riches de l'Essonne (la plus riche de l'arrondissement d'Évry, avec un revenu annuel moyen par ménage supérieur à 30 000 euros, par opposition aux communes voisines d'Évry-Courcouronnes et de Corbeil-Essonnes, respectivement troisièmes et deuxièmes villes les plus pauvres du département (revenus annuels moyens par ménages inférieurs à 14 000 euros)[réf. nécessaire].

Logements[13]Nombre en 2015% en 2015nombre en 2010% en 2010
Total1454100 %1334100 %
Résidences principales1.30589,7 %1.33496,1 %
* Dont HLM685,2 %20,2 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
362,5 %151.1 %
Logements vacants[Note 1]1137,8 %372,7 %
Dont :
* maisons8027,8 %79459,6 %
* appartements64944,6 %53540,1 %

La commune ne respecte pas ses obligations concernant le parc de logements sociaux prévu par l'article 55 de la Loi SRU et, malgré la construction de 176 logements sociaux entre 2011 et 2017, n'atteint que le taux de 12,45 % de tels logements en 2018, entrainant une pénalité qui aurait pu s'élever celle année-là à 53 597 [14]. La municipalité a approuvé en 2019 la transformation du domaine départemental des Hauldres, dont le bâtiment principal sera transformé en centre de séminaire privé avec hébergements et salles de conférences, et le parc accueillera 200 logements, 170 en collectifs et 30 pavillons individuels, dont 40 % de logements sociaux[15].

Voies de communication et transports en commun

La gare la plus proche est celle d'Évry-Val-de-Seine, dans la commune d'Évry-Courcouronnes. Elle est située sur la ligne D du RER. Pour se rendre directement à Paris, la gare la plus proche est celle de Corbeil-Essonnes.

Plusieurs lignes d’autobus desservent la commune :

Hydrographie

La commune est longée à l'ouest par la Seine et traversée d'est en ouest par le ruisseau des Hauldres[16], un affluent en rive droite de la Seine, où le ruisseau se jette.

Relief et géologie

Le point le plus bas de la commune est situé à trente-deux mètres d'altitude au niveau de la Seine et le point culminant à quatre-vingt-six mètres en forêt de Sénart, au niveau du croisement entre la N6 et la Route Forestière du Poste aux Lièvres [17].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 667 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 9 km à vol d'oiseau[20], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Urbanisme

Typologie

Étiolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[24],[25],[26].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[27] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].

Toponymie

Atiolae en 1228, Atheiolae, Athegiolae au XIIIe siècle, Ecclesia de Atheolis au XIIIe siècle, Estivellum, Ethioles, Athioles en 1324[32].

Le nom du lieu tire son origine du mot latin Attegiae signifiant « cabane ». La commune fut créée en 1793 sous son nom actuel[33].

Histoire

Le territoire de la commune est occupé depuis la préhistoire : depuis le début des années 1970, des fouilles archéologiques y sont menées lorsque des amateurs tombent par hasard sur un gisement de silex dans un champ labouré sur ce qui se révèlera être l'un des plus importants sites magdaléniens d'Europe avec Pincevent. Il y est notamment découvert en 1972, un morceau d’omoplate de mammouth et au début des années 1980, sur un fragment de bassin de 56 cm situé dans une unité d’habitations[34],[35].

Ce site est à ce jour fouillé et se voit ouvert au public une fois par an lors du journées nationales de l'archéologie se déroulant fin juin[36].

Le fermier général Charles François Paul Le Normant de Tournehem, acquit au début du XVIIIe siècle la seigneurie d'Étioles (orthographe de l'époque), qu'il abandonna à son neveu Charles-Guillaume lorsque celui-ci épousa[37] celle que certains prétendaient être sa fille naturelle, Jeanne Antoinette Poisson, future marquise de Pompadour. Le jeune couple habitait un château situé non loin de celui de Tournehem et appartenant à ce dernier.

Jeanne Le Normant d'Étiolles commença par apporter des améliorations à sa demeure, notamment des jeux d'eaux à la façon de ceux de Versailles. Devenue la favorite de Louis XV avec la bénédiction de son père, elle chassa son mari d'Étiolles. L'endroit représentait pour elle un domicile commode, d'où elle pouvait aisément aller aux rendez-vous que lui donnait son royal amant. Mais Louis XV lui fit bientôt cadeau d'autres châteaux. Elle-même fit construire de superbes résidences dans le goût du temps et délaissa Étiolles, qui n'était plus à la mesure de sa réussite.

Charles-Guillaume, l'époux bafoué, hérita de son oncle Tournehem, devenu entre-temps directeur général des Bâtiments du Roi. Il se sépara du château, qui lui rappelait de cuisants souvenirs. Le comte de Noyan, qui en fit l'acquisition sous le Directoire, détruisit les jeux d'eaux sous prétexte de travaux qui n'aboutirent jamais. Le tout fut rasé pour laisser place à un projet immobilier dans les années 1960.

En 1778, le comte de Provence fit construire à Étiolles, en forêt de Sénart, le rendez-vous de chasse de la Faisanderie de Sénart, sur les plans de son premier architecte, Jean-François-Thérèse Chalgrin.

L’institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) implanté au domaine départemental des Hauldres a fermé en 2013[15].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Antérieurement à la loi du [38], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la neuvième circonscription de l'Essonne

Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton de Corbeil-Essonnes, année où elle intègre le canton de Corbeil-Essonnes-Nord du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton d'Évry puis, en 1975, au canton de Saint-Germain-lès-Corbeil[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Draveil.

Intercommunalité

La commune était membre de la communauté d'agglomération Seine-Essonne, créée fin 2002 et qui succédait à la communauté de communes de Corbeil-Essonnes et du Coudray-Montceaux.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Évry Centre Essonne (91), de la communauté d'agglomération Seine-Essonne (91), de la communauté d’agglomération de Sénart en Essonne (91), et de la communauté d'agglomération de Sénart (77) et (l')extension du nouveau groupement à la commune de Grigny (91)[39] », antérieurement membre de la communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne.

C'est ainsi qu'a été créé au la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart dont est désormais membre Etioles.

Conseil municipal d'Étiolles (mandature 2020-2026)
ListeTendancePrésidentEffectifStatut
« Engagés pour Étiolles »SEAmalia Duriez20Majorité
« Étiolles avec vous, pour vous »DVDRachida Ferhat3Opposition

Tendances et résultats politiques

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Référendums

Liste des maires

Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
 1831Comte Louis-Ange-Adolphe de Favières Lieutenant de la Garde royale
18311848William Galignani  
maire en 1859 Claude Théodore Beauvais  
maire en 1873 M. Alliolet  
18741887Joseph-Michel Le Soufaché Architecte parisien
Propriétaire du domaine des Hauldres
Décédé en fonction
maire en 1892 Charles-Auguste Jeancourt-Galigneni Libraire
mai 1925 M. Jacquier  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983juin 1995Claude Pareyre[56],[57]SEProfesseur en pharmacie
juin 1995août 2000[58]Michel MerretSEDécédé en fonction
septembre 2000mars 2014Philippe Brun[59],[60]UMPConsultant, chef d'entreprises
mars 2014[61]mai 2020Philippe JumelleDVDAncien dirigeant de société, ingénieur
mai 2020En coursAmalia DuriezSEMédecin généraliste

Jumelages

La commune d'Étiolles n'est jumelée à aucune commune.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[63].

En 2021, la commune comptait 3 086 habitants[Note 4], en diminution de 2,47 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
348349355302335348382363377
185618611866187218761881188618911896
372385365371391395369395423
190119061911192119261931193619461954
412357360369373474454666750
196219681975198219901999200620082013
7741 2081 5301 5702 1072 5482 9823 0983 169
20182021-------
3 1653 086-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 529 hommes pour 1 636 femmes, soit un taux de 51,69 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[65]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
0,7 
6,5 
75-89 ans
7,5 
16,8 
60-74 ans
18,0 
24,7 
45-59 ans
24,4 
16,1 
30-44 ans
16,2 
17,1 
15-29 ans
16,0 
17,8 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[66]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement

Les élèves d'Étiolles sont rattachés à l'académie de Versailles.

La commune dispose en 2010 sur son territoire de l'école primaire Hélène-Sandre[67] et du lycée professionnel hôtelier du château des Coudraies[68], qui a intégré en 2018 le programme « Ecoles ambassadrices » du Parlement européen[69].

Sports

Un club de karaté est installé depuis 1987 dans la commune[réf. nécessaire].

Lieux de culte

L'église Saint-Martin.

La paroisse catholique d'Étiolles est rattachée au secteur pastoral de Corbeil-Saint-Germain et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Martin[70].

Médias

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie

Emplois, revenus et niveau de vie

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 56 193 , ce qui plaçait Étiolles au 96e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[71].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
 AgriculteursArtisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
EmployésOuvriers
Étiolles0,0 %0,8 %18,0 %55,0 %22,3 %3,9 %
Zone d’emploi d’Évry0,3 %4,0 %20,2 %29,6 %28,2 %17,7 %
Moyenne nationale2,2 %6,0 %15,4 %24,6 %28,7 %23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
 AgricultureIndustrieConstructionCommerceServices aux
entreprises
Services aux
particuliers
Étiolles0,2 %1,5 %1,9 %6,7 %8,0 %11,5 %
Zone d’emploi d’Évry0,9 %13,5 %5,4 %14,6 %16,2 %6,9 %
Moyenne nationale3,5 %15,2 %6,4 %13,3 %13,3 %7,6 %
Sources : Insee[72],[73],[74]

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Martin du XIIe et XIIIe siècles a été inscrite aux monuments historiques le [75].

Le château des Hauldres a été la résidence de l'architecte Joseph-Michel Le Soufaché.

Les berges de la Seine et la partie communale de la forêt de Sénart ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[76].

Le prieuré Saint-Benoît d'Étiolles s'installe en 1988, sur l’emplacement de l’ancien couvent des Dominicaines[77].

Personnalités liées à la commune

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Étiolles :

Héraldique et logotype


Les armes d'Étiolles se blasonnent : Écartelé : au premier de gueules au roc d'échiquier d'or, au deuxième d'argent au chêne arraché de sinople englanté d'or, au troisième d'azur au massacre de cerf d'argent sommé d'une couronne royale d'or, au quatrième d'or au roc d'échiquier de gueules.[78]

La commune s'est en outre dotée d'un logotype.

Étiolles dans les arts et la culture

Étiolles a servi de lieu de tournage aux films Jack de Robert Saidreau sorti en 1925, Marie-Line de Mehdi Charef sorti en 1999[79] et Janis et John de Samuel Benchetrit sorti en 2003[réf. nécessaire].

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Étiolles », p. 903–906
  • Monique Olive, Nicole Pigeot et Yvette Taborin, Il y a 13 000 ans à Étiolles, CNRS,
  • Alix de Ravel d'Esclapon, La porcelaine d'Étiolles, Amattéis, (ISBN 978-2-86849-165-7, LCCN 99178778)
  • Philippe Cachau : Etude historique du domaine départemental de la plaine des Coudrais (91), Conservatoire des espaces naturels sensibles, Conseil général de l'Essonne, 2007 (consultable aux Archives départementales à Chamarande).
  • Bernard Rathaux, Histoire d'Évry Petit-Bourg et d'Étiolles, La Compagnie Littéraire, 2019

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Références

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