Mercedes Aráoz

femme politique péruvienne

Mercedes Aráoz
Illustration.
Mercedes Aráoz en 2018.
Fonctions
Présidente du Conseil des ministres du Pérou

(6 mois et 16 jours)
PrésidentPedro Pablo Kuczynski
Martín Vizcarra
PrédécesseurFernando Zavala
SuccesseurCésar Villanueva
Seconde vice-présidente de la République du Pérou

(3 ans, 9 mois et 9 jours)
Élection5 juin 2016
PrésidentPedro Pablo Kuczynski
Martín Vizcarra
PrédécesseurOmar Chehade (indirectement)
SuccesseurVacant
Membre du Congrès de la République

(3 ans, 2 mois et 4 jours)
CirconscriptionÈre métropolitaine de Lima
Ministre de l'Économie et des Finances

(8 mois et 23 jours)
PrésidentAlan García Pérez
Président du ConseilJavier Velásquez Quesquén
PrédécesseurLuis Carranza
SuccesseurIsmael Benavides Ferreyros
Ministre de la Production du Pérou

(5 mois et 10 jours)
PrésidentAlan García Pérez
Président du ConseilJavier Velásquez Quesquén
PrédécesseurElena Conterno Martinelli
SuccesseurJosé Nicanor Gonzáles Quijano
Ministre du Commerce extérieur et du Tourisme du Pérou

(2 ans, 11 mois et 29 jours)
PrésidentAlan García Pérez
Président du ConseilJorge Del Castillo
Yehude Simon
PrédécesseurAlfredo Ferrero
SuccesseurMartín Pérez
Biographie
Nom de naissanceMercedes Rosalba Aráoz Fernández
Date de naissance (62 ans)
Lieu de naissanceLima (Pérou)
NationalitéPéruvienne
Parti politiqueAlliance populaire révolutionnaire américaine (avant 2016)
Péruviens pour le changement (depuis 2016)
Diplômée deUniversité de Miami
ProfessionÉconomiste
Enseignante
ReligionCatholicisme

Mercedes Aráoz
Présidents du Conseil des ministres du Pérou

Mercedes Rosalba Aráoz Fernández, née le à Lima, est une économiste, professeure et femme d'État péruvienne. Elle est présidente du Conseil des ministres du au et vice-présidente de la République du 28 juillet 2016 au 7 mai 2020.

Biographie

Le , le président de la République Martín Vizcarra annonce la dissolution du Congrès et la tenue d'élections législatives anticipées pour le , faute d'être parvenu à un accord avec l'opposition sur le mode de désignation des juges au Tribunal constitutionnel ; en réaction, le Congrès vote sa suspension pour un an et désigne Aráoz pour assurer l'intérim. Cependant, les chefs de la police et de l'armée maintiennent leur allégeance à Vizcarra[1], qui a aussi limogé la présidente du Conseil des ministres et est soutenu par des manifestants[2]. Elle n'est pas reconnue internationalement[3]. Le lendemain, elle annonce renoncer à son poste de vice-présidente[4]. Sa démission est validée par le nouveau Congrès le 7 mai 2020[5].

Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes


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