Chantonnay

commune française du département de la Vendée
(Redirigé depuis Pont-Charron)

Chantonnay est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Chantonnay
Chantonnay
L'hôtel de ville.
Blason de Chantonnay
Blason
Chantonnay
Logo
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionPays de la Loire
DépartementVendée
ArrondissementLa Roche-sur-Yon
IntercommunalitéCommunauté de communes du Pays-de-Chantonnay
(siège)
Maire
Mandat
Isabelle Moinet
2020-2026
Code postal85110
Code commune85051
Démographie
GentiléChantonnaisien, Chantonnaisienne[1]
Population
municipale
8 447 hab. (2021 en augmentation de 2,03 % par rapport à 2015)
Densité101 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 41′ 16″ nord, 1° 02′ 58″ ouest
Altitude75 m
Min. 18 m
Max. 112 m
Superficie83,87 km2
TypeCommune rurale
Unité urbaineChantonnay
(ville isolée)
Aire d'attractionChantonnay
(commune-centre)
Élections
DépartementalesCanton de Chantonnay
(bureau centralisateur)
LégislativesDeuxième circonscription
Localisation
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Chantonnay
Liens
Site webSite officiel

Ses habitants sont les Chantonnaisiens et les Chantonnaisiennes.

Géographie

Carte de la commune.

Situé au sud du bocage vendéen, le territoire municipal de Chantonnay s'étend sur 83,87 km2. L'altitude moyenne de la commune est de 75 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 18 et 112 mètres[2],[3].

Elle est baignée par le Grand Lay, qui s'écoule du lac de Rochereau, sur la commune voisine de Sigournais, avant de traverser le sud-est de la commune. Le Grand Lay est alimenté sur sa rive droite par la rivière l'Arguignon qui baigne Puybelliard et Saint-Mars-des-Prés, et la Mozée, qui traverse le bourg de Chantonnay. Il laisse sur sa rive gauche Saint-Philbert-du-Pont-Charrault et alimente le lac de Touchegray Moulin-Neuf qui s’étire tout au long de la rivière par une succession de vallons et aboutit à la retenue du barrage de l’Angle Guignard. Le Petit Lay délimite la limite ouest de la commune et rejoint au sud le Grand Lay à l'Assemblée des deux Lay, le point le plus bas de son territoire.

La commune est située dans une cuvette géologique recelant un sous-sol riche et varié qui permit notamment l'exploitation du charbon issu du bassin houiller de Vendée[4].

L'Assemblée des deux Lay.

Chantonnay se trouve au croisement de la route départementale RD 137 (ancienne RN137), qui relie Nantes à Bordeaux, et de la RD 949B entre Bournezeau et La Châtaigneraie. La commune est desservie par la ligne ferroviaire historique dite de Paris aux Sables-d'Olonne, aujourd'hui ligne des Sables-d'Olonne à Tours dédiée aux TER.

Chantonnay a fusionné (fusion simple) en 1964 avec les anciennes communes limitrophes de Puybelliard et Saint-Mars-des-Prés, et s'est associé (fusion-association) en 1972 à la commune de Saint-Philbert-du-Pont-Charrault.

Chantonnay est siège de la communauté de communes du Pays-de-Chantonnay. C'est aussi le bureau centralisateur du canton de Chantonnay, lequel est issu du démantèlement en 2015 des anciens cantons des Essarts, de Pouzauges et de La Roche-sur-Yon-Sud.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent à 21 km à vol d'oiseau[7], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

Typologie

Chantonnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].Elle appartient à l'unité urbaine de Chantonnay, une unité urbaine monocommunale[14] de 8 318 habitants en 2017, constituant une ville isolée[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chantonnay, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricole (80,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), zone agricole hétérogène (30,7 %), forêt (10,1 %), prairie (8,3 %), zone urbaine (6,2 %), parc industriel ou parc d'activité commerciale et réseaux de télécommunication (1,8 %), mine, décharge et chantier (0,5 %), espace vert artificialisé, non agricole (0,5 %), eau continentale[Note 3] (0,4 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Environnement

En 2009, Chantonnay possède trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris[20].

Toponymie

En poitevin, Chantonnay se prononce Chantounàes[21].

Histoire

Pendant la Préhistoire, des hommes ont laissé leur trace, comme l'atteste la découverte à la Treille-de-La-Charlière de deux ensembles lithiques, l'un composé de 3 pièces datées du Paléolithique moyen, l'autre de 11 pièces néolithiques[22], il existait aussi le Dolmen de Pierre Brune site mégalithique disparu et des grottes[réf. nécessaire].

Lors de l'Antiquité, le territoire de la commune se situait au croisement de voies romaines, de Fontenay-le-Comte au port de la Chaume d’est en ouest, et de Nantes à Saintes du nord au sud. Chantonnay tirerait son nom d’un camp romain appelé le camp d’Antoine « campus antonini ». Des fouilles archéologiques ont révélé des vestiges de villas gallo-romaines, en particulier à la Treille-de-La-Charlière une cave qui appartient à une villa dont les bâtiments couvrent près d’un hectare.

Pendant le Moyen Âge, des moines bénédictins, remontant le cours du Grand Lay, se seraient installés dès 602 à Saint-Mars-des-Prés. Une charte conservée à l'Abbaye Saint-Cyprien de Poitiers indique que Chantonnay (Chantaonneis) existait déjà en l’an 975[23]. Au milieu du XIIIe siècle, Chantonnay appartenait au vicomte de Thouars.

Dès le XVe siècle, Puybelliard, était un centre commercial et manufacturier majeur du bas-Poitou regroupant droguiers, drapiers, sergetiers et tisserands qui s'y réunissaient à l’occasion de foires. Des marchands de Fuenterrabia (Pays basque) venaient à Puybelliard pour acquérir des pièces de toiles en échange de mules[24].

Au XVIe siècle, les idées de la Réforme se sont propagées jusque sur le territoire de la commune. Lors des guerres de Religion, à la suite de l’assassinat du duc de Guise, un synode réunit en 1563 à Puybelliard des pasteurs protestants de toute la province.

Révolution et guerre de Vendée

Pendant la Révolution, Saint-Mars-des-Prés fut rebaptisée « La Prairiale[25] » et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault « La Résolue[26] ».

Le Pont-Charron sur le Grand-Lay.

En 1793, une bande de paysans descendant le cours royal Nantes-Bordeaux, axe stratégique traversant la Vendée du nord au sud, avec à sa tête Charles Sapinaud de La Verrie et Charles de Royrand, prit Chantonnay le 17 mars (voir article Bataille de Chantonnay (17 mars 1793)) du Le général républicain Louis Henri François de Marcé reprit la ville le 17 mars et fit battre en retraite les insurgés vers le nord[27] pendant la première Bataille de Chantonnay. Il la perdit le 19 mars, lorsque, lancée à la poursuite des paysans vendéens, son armée fut vaincue par ces derniers à la bataille de Gravereau, entre Saint-Vincent-Sterlanges et L'Oie, bataille qui détermina pendant plusieurs mois la suprématie des forces insurgées dans le bocage vendéen[28]. Le Pont-Charron, où la route Nantes Bordeaux franchit le Grand-Lay, devint l'un des verrous sud de la Vendée militaire, aux mains de l'Armée du centre.

Le chevalier Adams est une personnalité locale dont l'histoire illustre la division existant alors dans le pays. Marie-Antoinette-Pétronille Adams, fille de la servante du château du Pally à Chantonnay, chez les De Lespinay, fut mariée au sieur Lainé, un marchand de Puybelliard. Après la bataille de Gravereau du 19 mars 1793, lui, étant républicain, abandonna son magasin et sa femme et se réfugia à La Rochelle. Habillée en homme et munie d’armes, elle rejoignit à cheval les insurgés aux Quatre-Chemins-de-l’Oie.

Le Pont-Charrault sur le Grand-Lay.

Ce fut lors d'une attaque des forces républicaines que fut abattu le général vendéen Charles Sapinaud de La Verrie près du Pont-Charrault le 25 juillet 1793[29]. Le Pont-Charrault, qui compte 5 arches basses, est situé sur la route reliant Chantonnay à Saint-Philbert-du-Pont-Charrault. Il est parfois confondu avec le Pont-Charron, constitué d'une seule arche élevée, situé aussi sur le Grand Lay, mais en aval, à l'ouest du Pont-Charrault, sur l'ancien cours royal Nantes-Bordeaux, plus tard RN 137. Tous les deux ont été construits au XVIIIe siècle.

Croix commémorant la mort du chef vendéen Charles Sapinaud de La Verrie.

Chantonnay ne fut reprise par les forces républicaines qu'après la défaite des armées vendéennes à Luçon le 14 août 1793. Mais ces dernières purent momentanément reconquérir Chantonnay le 5 septembre 1793 (voir article Bataille de Chantonnay 5 septembre 1793 ).

XIXe siècle

L’Empereur Napoléon, accompagné de Joséphine, passa à Chantonnay en 1808, venant de Bayonne, et en route vers la Roche-sur-Yon. Arrivé le dimanche 7 août, il partit le lendemain, non sans qu'on lui ait montré à la Tabarière le champ de bataille de Pont-Charron en lui disant « Sire, ce pont est aussi célèbre en Vendée que celui d’Arcole ».

La mine de charbon de la Tabarière est exploitée entre 1840 et 1869 puis celle de la Marzelle entre 1878 et 1884 mais la mauvaise qualité du gisement provoque l'abandon de la concession[4],[30].

Le train arriva à Chantonnay en 1871 avec l'ouverture de la ligne la Roche-sur-Yon - Bressuire et de la gare de Chantonnay. Cette ligne fut complétée par une liaison Chantonnay - Cezais de 1900 à 1939 et Cholet - Chantonnay de 1914 à 1939. La ville sera aussi desservie par une ligne (voie métrique) Montaigu - L'Aiguillon-sur-Mer de 1908 à 1935[31].

La gare de Chantonnay et ouverte le 20 mai 1869.

Un tramway passait a Chantonnay avec le réseaux de chemin de fer secondaire, des Tramways de la Vendée. qui fermera ces porte en 1949[réf. nécessaire].

XXe siècle

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, en 1943, quatre résistants furent déportés vers les camps de concentration en Allemagne. Une plaque commémorative se trouve dans le hall d'entrée de la mairie[32].

En novembre 1957, un autorail et un train de marchandises se percutèrent de plein fouet à Chantonnay causant la mort de 29 personnes[33],[34].

En 1964, la commune de Chantonnay absorba celles voisines de Puybelliard et de Saint-Mars-des-Prés, respectivement peuplées, au recensement de 1962, de 381 habitants[26] et de 358 habitants[25].

En 1972, la commune absorba celle voisine de Saint-Philbert-du-Pont-Charrault[35], peuplée, au recensement de 1968, de 1 037 habitants[26].

Héraldique

Blasonnement :
D'azur à la gerbe de blé d'or.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Le marquis Alexis de Lespinay (1752-1837), maire de Chantonnay de 1811 à 1830.
Le marquis Zénobe Alexis de Lespinay (1854-1906), maire de Chantonnay de 1896 à 1906.
Liste des maires successifs[36]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
mai 1945mai 1953Henri RochereauPRLExploitant agricole, expert agricole et foncier
Député de la Vendée (1945 → 1946)
Conseiller général de Chantonnay (1945 → 1951)
mai 1953juin 1995Michel Crucis
Gendre d'Henri Rochereau
CNI puis RI
puis UDF-PR
Avocat au barreau de La Roche-sur-Yon, conseiller juridique et fiscal
Sénateur de la Vendée (1977 → 1995)
Député de la 1re circonscription de la Vendée (1958 → 1962)
Conseiller régional des Pays de la Loire (1972 → 1988)
Conseiller général de Chantonnay (1951 → 1988)
Président du conseil général de la Vendée (1970 → 1988)
juin 1995mai 2020Gérard VilletteRPR puis MPF
puis DVD
Pharmacien retraité
Conseiller régional des Pays de la Loire (1998 → 2001)
Conseiller général de Chantonnay (1994 → 2015)
Vice-président du conseil général
mai 2020[39]En coursIsabelle MoinetDVDFonctionnaire, ancienne première adjointe
Conseillère départementale de Chantonnay[40] (2015 → 2021)
Présidente de la CC du Pays de Chantonnay (2020 → )

Population et société

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 8 447 habitants[Note 4], en augmentation de 2,03 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 5001 1961 7701 7912 5322 4392 6342 9252 933
185618611866187218761881188618911896
3 1013 2533 4293 3823 5083 7094 0004 3074 070
190119061911192119261931193619461954
4 0934 1373 9623 7333 6673 6963 7903 9534 014
196219681975198219901999200520062010
4 1375 1356 9917 2357 4587 5417 7947 9588 248
201520202021------
8 2798 4348 447------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 086 hommes pour 4 268 femmes, soit un taux de 51,09 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,9 
7,8 
75-89 ans
9,6 
19,4 
60-74 ans
19,7 
20,6 
45-59 ans
21,2 
17,7 
30-44 ans
16,1 
15,7 
15-29 ans
14,0 
18,3 
0-14 ans
17,5 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Enseignement

Il existe deux collèges et deux lycées à Chantonnay[46] :

  • le collège René-Couzinet ;
  • le collège Saint-Joseph ;
  • le lycée Georges-Clemenceau ;
  • le lycée Sainte-Marie.

Économie

La ville est industrielle avec des entreprises importantes comme Fleury Michon, Doux, Pubert et Gautier. Ces entreprises sont réparties en trois grandes zones d'activités : Pierre Brune, Les Trois Pigeons et Polaris I/II/III[47].

Lieux et monuments

Manoir de Ponsay.

Personnalités liées à la commune

Jumelages

Événements

Notes et références

Notes

Cartes

Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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