Secrétariat d’État à la Défense (Cameroun)
Le secrétariat d’État à la Défense (SED) au Cameroun est un service en lien avec la sécurité au Cameroun. Il fait office de service d’enquête et dépend de la gendarmerie nationale.
Secrétariat d’État à la Défense
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Secrétaire d'État | Galex Etoga (depuis ) |
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Histoire
Le secrétariat d’État à la Défense (SED) au Cameroun est basé à Yaoundé au Cameroun. Il est situé près du lac municipal, au centre de la ville[1].
Pour quelques détenus transférés à la prison centrale de Kondengui, le SED a représenté l'antichambre dans le cadre d'enquêtes préliminaires. Le journal Jeune Afrique le nomme la prison des secrets[2].
Il est imaginé par Ahmadou Ali. Pour des détenus comme Titus Edzoa.
Anciennement siège de la gendarmerie, il est aménagé pour accueillir des détenus et présumés considérés sensibles. Les conditions de séjour y sont relativement meilleures que celle de Kondengui mais l'isolement y est plus grand[2].
Attributions et compétences
Le SED est un service d’enquête et dépend de la gendarmerie nationale du Cameroun.
Personnalités en lien avec le SED
Administration
Le SED est sous la direction de Galax Etoga[3],[4],[5],[6]. Il a été sous la tutelle de Jean-Baptiste Bokam[7].
Détenus célèbres y séjournant ou y ayant transité ou été entendus
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
- (en) Rose Chia Fonchingong, Stifled justice in Cameroon : detained for six years without judgement, Langaa Research & Publishing CIG, Bamenda, 2016, 98 p. (ISBN 9789956763764)
- Georges Dougueli, « Reportage à Kondengui, la prison centrale de Yaoundé », Jeune Afrique, 15 décembre 2009 [1]
- « Une journée à la prison centrale de Kondengui à Yaoundé », Mediapart, 15 février 2015 [2]
- Michel Biem Tong, « À la prison de Yaoundé, les chanceux dorment assis, les autres debout », Le Monde Afrique, 15 février 2017 [3]