USS Enterprise (CVN-80)

porte-avions américain

L’USS Enterprise (CVN-80) est un projet de porte-avions américain de classe Gerald R. Ford, le troisième de sa classe[3],[4]. En 2015, la mise en service est prévue, pour 2027[5] au lieu de 2025 à l'origine.

USS Enterprise
illustration de USS Enterprise (CVN-80)
Vue d'artiste de l'USS Enterprise.

TypePorte-avions
ClasseGerald R. Ford
Histoire
A servi dansPavillon de l'United States Navy United States Navy
Chantier navalHuntington Ingalls Industries
Armé2027 (prévision en 2015)
Équipage
Équipage4 660
Caractéristiques techniques
Longueur337 m
Maître-bau256 pieds (78,03 m)[1]
Déplacementenviron 100 000 t
Propulsion2 réacteurs A1B
Vitesse> 30 nœuds (55,6 km/h)
Caractéristiques militaires
ÉlectroniqueAN/SPY-6(V)3[2]
Rayon d'actionIllimité quant à la propulsion
Aéronefs> 75
Carrière
IndicatifCVN-80

Nom

Le , lors d'un discours prononcé pour la cérémonie d'inactivation de l'USS Enterprise (CVN-65), le secrétaire à la Marine des États-Unis Ray Mabus a annoncé que le futur porte-avions CVN-80 serait nommé Enterprise [6]. Ce sera le neuvième navire et le troisième porte-avions dans l'histoire de la marine des États-Unis à porter ce nom [4].

Construction

Le CVN-80 sera construit par Huntington Ingalls Industries au chantier naval Northrop Grumman de Newport News, en Virginie. La construction du navire doit débuter en 2018 pour une livraison prévue en 2025. Cependant, dans un effort de réduction des coûts, le Service de recherche du Congrès indique que le l'US Navy étudie la possibilité d'allonger la durée de construction du USS John F. Kennedy (CVN-79) et de l'USS Enterprise (CVN-80) de deux ans. Si ce nouveau délai est approuvé, le navire n'entrera en service qu'en 2027 [7]. Le navire est actuellement prévu pour remplacer l'USS Dwight D. Eisenhower (CVN-69).

Un an après le début de sa construction, le navire a été officiellement mis sur cale le 27 août 2022 au chantier naval de Newport News en Virginie.

Il pourra être équipé de 70 appareils (avion, hélicoptères, drones) et déploiera les premières catapultes EMALS et systèmes de récupération AAG, tous deux électromagnétiques.

Notes et références

Voir aussi

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