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Élli Lambrídi, en grec moderne : Έλλη Λαμπρίδη (1896-1970), est une philosophe grecque qui a beaucoup écrit dans les domaines de la philosophie ancienne et moderne. Elle a également écrit sur l'archéologie, la fiction et les traductions. Elle est également enseignante et s'est engagée très tôt dans la politique grecque de gauche et dans le féminisme[note 1]. Son importance dans la philosophie grecque du XXe siècle n'a été « largement connue que récemment »[1]. Sa vie et son œuvre ont été célébrées le lors d'un événement organisé dans l'ancienne salle du Sénat du Parlement grec à Athènes.
Jeunesse
Élli Lambrídi naît à Athènes le . Son père, Ioanni Lambridi, originaire de Dolianá, en Épire, était avocat et sénateur dans le premier gouvernement d'Elefthérios Venizélos, et connu pour son action en faveur de la libération de l'Épire. Sa mère Sofia était athénienne et sa famille originaire de Mytilène. Lambrídi est diplômé d'un lycée d'Athènes, puis étudie les lettres classiques à l'université d'Athènes (1911-1916)[2].
Notes et références
Notes
- (en)/(el) Cet article est partiellement ou en totalité issu des articles intitulés en anglais « Elli Lambridi » (voir la liste des auteurs) et en grec moderne « Έλλη Λαμπρίδη » (voir la liste des auteurs).
Références
Voir aussi
Bibliographie
- (el) Konstantínos Garítsis, Βιο- Εργογραφικά για την Έλλη Λαμπρίδη (1896-1970) [« Biographie et oeuvre d'Élli Lambrídi (1896-1970) »], Athènes, Académie d'Athènes, , 512 p. (ISBN 978-9-6040-4322-4).
Liens externes
- (el) « Έλλη Λαμπρίδη (12/03/2017) [Élli Lambrídi] » [vidéo], sur YouTube.com [chaîne de la télévision du parlement hellénique], (consulté le ).
