Vieillissement LGBT

La question du vieillissement des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres fait l'objet d'une attention particulière à la fois dans la recherche scientifique[2],[3],[4], dans le domaine des politiques publiques (nationales[5] ou locales[6]), ou encore dans les articles de presse[7],[8],[9], notamment au vu des risques de solitude (via une « double exclusion »[10] ou « double discrimination »[11]) auxquels seraient plus exposées les populations LGBT prenant de l'âge[12].

Photo en noir et blanc de Daniel Defert.
Daniel Defert, président-fondateur de Aides, parle en 2018 de la vieillesse LGBT comme d'un combat : « Notre vieillesse, faut-il le rappeler, est une victoire. Nous aurions dû mourir. Et nous sommes là. Il faut continuer dans cette lutte[1]. »

Bibliographie

  • Julie Beauchamp, Line Chamberland et Hélène Carbonneau, « Le vieillissement chez les aînés gais et lesbiennes : entre la normalité, l’expression de besoins spécifiques et leur capacité d’agir », Nouvelles pratiques sociales, vol. 31, no 1,‎ , p. 279–299 (ISSN 1703-9312, DOI 10.7202/1069927ar, lire en ligne, consulté le )
  • Karen Fredriksen Goldsen et Brian de Vries, « Global Aging With Pride: International Perspectives on LGBT Aging », International journal of aging & human development, vol. 88, no 4,‎ , p. 315–324 (ISSN 0091-4150, PMID 30947513, PMCID 6815223, DOI 10.1177/0091415019837648, lire en ligne, consulté le )
  • (en) Lisa R. Miller, « Queer Aging: Older Lesbian, Gay, and Bisexual Adults’ Visions of Late Life », Innovation in Aging, vol. 7, no 3,‎ (PMID 37063703, DOI 10.1093/geroni/igad021, lire en ligne, consulté le )

Références