Une charte de Guilhem VIII, seigneur de Montpellier, fils de la duchesse Mathilde, libéralise l'enseignement de la médecine dans sa ville[1].
Fondation à Villamartin, près La Tiendas en Andalousie, d'un hôpital destiné aux lépreux et aux « pauvres du Christ », qui fonctionnera jusqu'au XVIIIe siècle puis sera transféré à Villalcazar de Sirga au royaume de Leon[2].
Fondation de l'hôpital de Guise, par Adeline, dame du lieu[3].
Fl. Geoffroi, médecin, abandonne à l'abbaye cistercienne de Fontmorigny en Nivernais, dans l'actuel département du Cher, ses droits sur le moulin de Haute-Fière[6].
Fl. Petronus Johannis, qualifié de « medicus » dans un acte concernant la propriété d'un moulin près de Messine en Sicile[7].
Avant 1196 : fl. Richard, médecin, propriétaire, sans doute à Til-Châtel en Bourgogne[8].
1196 au plus tard : fl. Petrus, qualifié de « medicus » dans un acte de donation de Suriana, sa veuve, au chapitre de Santa Maria de Corato, dans les Pouilles, en Italie[7].
Schem-Tob ben Ishak (mort à une date inconnue), médecin juif catalan, établi à Marseille, auteur d'une traduction en hébreu (1254) du Kitab al-Tasrif d'Aboulcassis sous le titre de Sefer ha-Schimusch[9].