1287 en santé et médecine

événements liés à la santé et la médecine en 1287

Cet article présente les faits marquants de l'année 1287 en santé et médecine.

Années de la santé et de la médecine :
1284 - 1285 - 1286 - 1287 - 1288 - 1289 - 1290
Décennies de la santé et de la médecine :
1250 - 1260 - 1270 - 1280 - 1290 - 1300 - 1310

Fondations

Monna Tessa
Gouvernante de Béatrice
Fondatrice des
Oblate di S. Maria Nuova

Événements

  • À York, en Angleterre, St. Leonard's Hospital, dont les origines remontent à selon la tradition[7], n'héberge pas moins de deux cent vingt-cinq pauvres[8] ; mais les sœurs et les frères déclarent y être moins bien nourris que par le passé, et s'ils continuent d'être rémunérés pour leur habillement, les pauvres, eux, se plaignent de ne plus recevoir de vieux vêtements[9].
  • À Saint-Ives, dans le Huntingdonshire, deux personnes ayant donné l'hospitalité à des lépreux sont jugées pour « avoir fait courir un grave péril à leurs voisins et aux marchands de passage[10] ».
  • Le cardinal Conte Casate désigne trois médecins dans son testament[11].
  • Vers 1287 (?) : Georg Friedrich Stabel (de) (-), chimiste et médecine allemand, affirmera en que la plique polonaise, maladie qui consiste dans un entrelacement inextricable de la chevelure, « vient des Indes orientales, d'où elle s'est communiquée aux Tartares et aux Cosaques de l'Ukraine, environ l'an 1287[12] ».

Publication

  • Vers 1287 : Rufinus compose son traité De virtutibus herbarum, où il « s'attache davantage à la description botanique qu'à l'examen des propriétés médicinales des plantes[13] ».

Personnalités

Naissance

  • ou 1287 : Kalonymus ben Kalonymus (mort après le ), rabbin provençal, traducteur de l'arabe en hébreu de nombreux ouvrages scientifiques, philosophiques et médicaux, n'ayant, semble-t-il, jamais pratiqué la médecine, qu'il avait cependant étudiée[18],[19].

Décès

Références