Château de la Roche (Annesse-et-Beaulieu)
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Le château de la Roche est un château français implanté sur la commune d'Annesse-et-Beaulieu dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
| Château de la Roche | ||||
.JPG) Le château de la Roche | ||||
| Période ou style | Néoclassique | |||
|---|---|---|---|---|
| Début construction | XIXe siècle | |||
| Propriétaire initial | Comte Grigori Kouchelev-Bezborodko | |||
| Destination actuelle | Habitation privée | |||
| Protection | Non classé | |||
| Coordonnées | 45° 11′ 32″ nord, 0° 37′ 14″ est[1] | |||
| Pays |  France | |||
| Région historique | Périgord | |||
| Région administrative | Nouvelle-Aquitaine | |||
| Département | Dordogne | |||
| Commune | Annesse-et-Beaulieu | |||
| Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : France
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Présentation
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Le château de la Roche se situe au centre du département de la Dordogne, au nord-est de la commune d'Annesse-et-Beaulieu, entre la route départementale 3 et l'Isle.
Le logis principal, orienté nord-sud, est flanqué côté ouest de deux tours rondes qui servent d’appui à deux autres logis perpendiculaires au premier. C’est une propriété privée.
Histoire
Sur l’emplacement d’un ancien repaire noble déjà cité au XVIe siècle, le comte Grigori Kouchelev-Bezborodko fit bâtir le château actuel au XIXe siècle pour son épouse Luboff, dans un style néoclassique[2].
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le château a accueilli un hospice de vieillards juifs réfugiés[3]. De 1943 aux années 1970, il servit d'annexe de l'Institut Pasteur pour la production de vaccins, d'abord contre le typhus, puis contre la grippe à partir de 1950[4],[5]. Leur fabrication a été transférée en 1975 dans l'Eure, à Louviers, et le laboratoire a été fermé quelques années après[6].
