Filles de la Croix, Sœurs de Saint-André
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Filles de la Croix, Sœurs de Saint-André | |
Ordre de droit pontifical | |
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Approbation diocésaine | par Jean-Baptiste de Bouillé |
Approbation pontificale | par Pie IX |
Institut | congrégation religieuse |
Type | apostolique |
Spiritualité | Christocentrique de l'École française |
Règle | de saint Augustin |
But | enseigner et guérir |
Structure et histoire | |
Fondation | 1807 Saint-Pierre-de-Maillé |
Fondateur | Jeanne-Élisabeth Bichier des Âges & André-Hubert Fournet |
Abréviation | F.D.L.C. |
Site web | site officiel |
Liste des ordres religieux | |
Les Filles de la Croix, sœurs de Saint-André (en latin : Institutum Filiarum Crucis seu Sororum Sancti Andreae) sont une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical.
La congrégation est fondée par André-Hubert Fournet (1752-1834) curé de Saint-Pierre-de-Maillé avec la collaboration de Jeanne-Élisabeth Bichier des Âges pour l'éducation des enfants et le soin des malades.
En 1815, Jeanne-Élisabeth est reçue, par l'intermédiaire de la marquise de Croissy, en audience avec Louis XVIII, qui l'autorise à ouvrir un noviciat à Issy-les-Moulineaux. Les Filles de la Croix sont approuvées par le vicaire capitulaire de Poitiers en 1817 et confirmées le par Jean-Baptiste de Bouillé (1759-1842), évêque de Poitiers. En 1819, la mère Bichier des Âges, achète l'ancien prieuré des religieuses de l'ordre de Fontevraud à La Puye pour en faire la maison-mère de la congrégation. L'institut reçoit le décret de louange le .
Les sœurs se consacrent à l'assistance aux malades et à l'enseignement.
Elles sont présentes en :
La maison-mère est à La Puye.
En 2017, la congrégation comptait 428 sœurs dans 70 maisons[1].