Peyrins

commune française du département de la Drôme

Peyrins est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Peyrins
Peyrins
La mairie.
Blason de Peyrins
Blason
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionAuvergne-Rhône-Alpes
DépartementDrôme
ArrondissementValence
IntercommunalitéValence Romans Agglo
Maire
Mandat
Philippe Barneron
2020-2026
Code postal26380
Code commune26231
Démographie
GentiléPeyrinois, Peyrinoises
Population
municipale
2 635 hab. (2021 en diminution de 2,7 % par rapport à 2015)
Densité105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 38″ nord, 5° 02′ 53″ est
AltitudeMin. 175 m
Max. 434 m
Superficie25,16 km2
Unité urbaineRomans-sur-Isère
(banlieue)
Aire d'attractionRomans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Romans-sur-Isère
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
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Peyrins
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Peyrins
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Peyrins
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Peyrins

Géographie

Localisation

Peyrins est située à 6 km au nord de Romans-sur-Isère (chef-lieu du canton). Valence se trouve à 25 km, Grenoble à 82 km, Lyon à 108 km.

Relief et géologie

Sites particuliers[1] :

  • Combe Chatain
  • Combe de la Barnière
  • Combe de Nouvelle
  • Combe de Riel
  • Combe du Ravi
  • Combe Jacquet
  • Combe Layard
  • Combe Saint-Martin
  • l'Enfer (271 m)
  • Montachar (331 m)
  • Mont Peyroux (274 m)
  • Saint-Eusèbe (261 m)
  • Saint-Martin (308 m)

Géologie

Hydrographie

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Petite Choranche ;
  • la Savasse ;
  • le Chalon ;
  • Ruisseau des Étangs.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 916 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

Typologie

Peyrins est une commune urbaine (car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[11] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,7 %), forêts (29,6 %), terres arables (7,9 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (3,5 %), cultures permanentes (1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Balaise
  • Belle Vue
  • Bobinet
  • Bois de Gaste
  • Bois de l'Aumône
  • Bois des Ussiaux
  • Bois du Maupas
  • Bois du Nouvel
  • Bonissol
  • Chabran et Garennes
  • Chapelle Saint-Roch
  • Charpenay
  • Château Roux
  • Condillac
  • Cotte
  • Croix de Ravel
  • Fort
  • Gaste
  • Gâtelet
  • Gigors
  • Grenouillet
  • la Gèle
  • la Rivière
  • la Savasse
  • la Teipe
  • la Teppe
  • l'Aumône
  • le Bois du Cheval
  • le Plan
  • les Babos
  • les Balmattes
  • les Blaches
  • les Collères
  • les Combes
  • les Cordeliers
  • les Crozes
  • les Crozes
  • les Ducs
  • les Escoffiers
  • les Étangs
  • les Godards
  • les Hayons
  • les Liorettes (nord)
  • les Liorettes (sud)
  • les Médrus
  • les Pies
  • les Prés de Plan
  • les Rages
  • les Sables
  • les Sables
  • les Vieilles Vignes
  • le Truchet
  • le Val des Grillons
  • Lussel
  • Mas du Gout
  • Michalet
  • Mont Grenier
  • Mortevieille
  • Nivolets
  • Pied de Peyrins
  • Saint-Ange
  • Sibeut
  • Torrail

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • Ambésieux est un quartier attesté[17] :
en 1464 : Ambeseuum (archives de la Drôme, E 2132) ;
en 1514 : Ambesieulx (archives de la Drôme, E 1855) ;
(non daté) : Dambésieux (plan cadastral) ;
en 1891 : Ambésieux.

Logement

Projets d'aménagement

Voies de communication et transports

La commune est desservie par les routes départementales D 53, D 112 et D 538[1].

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

Autres risques

Toponymie

Attestations

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 1050 : Payrianum (cartulaire de Romans, 146).
  • 1074 : mention du mandement : mandamentum Pariani (cartulaire de Romans, 62).
  • 1100 : mention de la paroisse Saint-Martin et Saint-Julien : parrochia Sancti Martini et Sancti Juliani de Pairiano (cartulaire de Romans, 200).
  • XIIe siècle : Payris (cartulaire des hospitaliers, 3).
  • 1164 : mention de la paroisse : capella de Paira (cartulaire de Romans, 332).
  • 1193 : Pairi (cartulaire de Léoncel, 50).
  • 1231 : castrum de Parran (Gall. christ., XVI, 197).
  • 1238 : Peyrinum (cartulaire de Romans, 382).
  • 1247 : castrum de Payrano (cartulaire de Romans, 373).
  • 1277 : Payrinum (inventaire des dauphins, 16).
  • 1339 : mention de la cour de justice des dauphins : curia Payrini domini Dalphini Viennensis (pap. de Valfanjouse).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Paurino (pouillé de Vienne).
  • 1375 : mention de la châtellenie : castellania Payrini (choix de documents, 187).
  • 1389 : mention du mandement : mandamentum de Peyrino (archives de la Drôme, E 3680).
  • 1391 : mention du mandement : mandamentum Perini (archives de la Drôme, E 3680, p.j. 33).
  • 1436 : Payrins (archives de la Drôme, E 3692).
  • 1444 : Peyrinum (maladr. de Voley, 1577).
  • 1471 : Peyrenum (maladr. de Voley, 6).
  • 1521 : mention de la paroisse : ecclesia Peyrini (pouillé de Vienne).
  • 1587 : Peyrins les Romans (Vie de Calignon, 464).
  • 1630 : Perins (Vie de Calignon, 408).
  • 1891 : Peyrins, commune du canton de Romans.

Étymologie

Le toponyme dériverait d'un mot signifiant « pierre »[réf. nécessaire].

Histoire

Du Moyen Âge à la Révolution

Le château et le mandement sont attestés en 1078, bien après les chevaliers de Pairiano[19]

La seigneurie[18] :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) de Peyrins ne comprend pas Génissieux et Saint-Ange, mais seulement les paroisses de Mours et de Peyrins, plus une partie de la banlieue et des faubourgs de Romans et, avant 1658, une partie de la commune de Saint-Paul-lès-Romans.
  • Possession des François de Royans.
  • 1262 : la terre est hommagée aux dauphins.
  • 1302 : elle est vendue aux dauphins qui y établissent une cour de justice pour leurs terres du Viennois-Valentinois. Elle remplace le bailliage de Saint-Marcellin.
  • 1336 : les dauphins inféodent la seigneurie aux Archinjaud.
  • Recouvrée par les dauphins.
  • 1349 : elle est léguée à la couronne de France. La terre devient domaniale.
  • 1521 : Peyrins et Génissieux sont engagées aux La Colombière qui s'éteignent, avant 1573, chez les Morges et les Bourchenu.
  • 1593 : passent aux (du) Vache qui s'éteignent chez les Calignon.
  • 1558 (1658 ?) : la terre est partagée entre les Coste et les Lionne.
  • Les Lionne vendent leurs droits aux Chabrière. Ils se réservent la terre de Génissieux et une partie de celle de Saint-Paul-lès-Romans.
  • Les Chabrières acquièrent les droits des Coste.
  • Le tout passe (par mariage) aux Calignon.
  • 1715 : le tout passe (par héritage) aux Chabrières, derniers seigneurs.

1114 : la commune s'engage à donner deux tiers de ses eaux à Romans, en échange d'une rétribution[réf. nécessaire].

1130 : le comte Guigues V d'Albon s'impose avant une bataille contre la ville de Romans[réf. nécessaire].

1302 : la famille de Royans vend au dauphin Jean II de Viennois le domaine de Peyrins. Il le léguera à son fils Humbert II de Viennois, avant de l'offrir en 1332 à Amblard de Beaumont[réf. nécessaire].

Vers 1340, à la suite de l'expulsion de l'archevêque de Vienne, la ville de Romans prend la défense de l'archevêque tandis que le village de Peyrins s'y oppose. S'ensuit une période de troubles entre les deux communes qui se conclut par le siège du Peyrins par les troupes de Romans[réf. nécessaire].

1450 : le roi Louis XI passe une journée au Château du Roux où il signe une exemption des droits de gabelles pour la ville de Romans qui détient de nombreux stocks de sel[réf. nécessaire].

1580 : le château du Roux est détruit[réf. nécessaire].

Avant 1658, le mandement de Peyrins avait la même étendue que la terre et seigneurie de ce nom, et il en était également ainsi de la châtellenie de Peyrins[18].

XVIIIe siècle : mention d'un péage[20].

Avant 1790, Peyrins était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait quatre paroisses du diocèse de Vienne : Génissieux, Mours, Peyrins et Saint-Ange.
La paroisse de Peyrins en particulier avait son église sous le vocable de Saint-Martin. Les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure[18].

Saint-Eusèbe

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[21] :

  • 1100 : ecclesia Sancti Eusebii de Parino (cartulaire de Romans, 172) ;
  • 1514 : ad Sanctum Eusebium sive Osobulum (archives de la Drôme, E 1855) ;
  • 1891 : Saint-Eusèbe, chapelle ruinée de la commune de Peyrins.

Cette chapelle dépendait du chapitre de Romans[21].

De la Révolution à nos jours

En 1790, Peyrins devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Geyssans et de Peyrins. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans[18].

De 1841 à 1858, Charles de Sallmard, membre des dragons de la Garde impériale sous Louis XVIII et Charles X, écrit ses mémoires dans le village[réf. nécessaire].

1873 : Génissieux forme une commune distincte[18] ([réf. nécessaire]).

1880 : Mours forme une commune distincte[18] ([22]).

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
17901793?  
1793 (21-09)1798 (21-09)(citoyen) Chaudier  
1798 (21-09)1807 (24-12)(citoyen) Julhuit  
1807 (24-12)1816 (13-12)Benoît Maisonneufre nommé par l'État (Premier Empire
1816 (13-12)1830 (18-11)François Juhliet nommé par l'État (Louis XVIII)
1830 (18-11)1834 (18-12)Claude Pain nommé par l'État (Louis Philippe)
1834 (18-12)1844 (22-12)Victor Barruyer nommé par l'État (Louis Philippe)
1844 (22-12)1848 (16-04)Jean Perriolat nommé par l'État (Louis Philippe)
1848 (16-04)1852Victor Barruyer  
18521858? note : un maire est chargé de la ville tous les six mois
1858 (28-07)1865 (24-08)Jean Ferlay nommé par l'État (Napoléon III)
1865 (24-08)1870 (24-09)Victor Barruyer nommé par l'État (Napoléon III
1870 (24-09)1871Victor Brichet  
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
18711873 (16-09)Victor Brichet maire sortant
1873 (16-09)
(élection ?)
1874Pierre de Sallmard vicomte
18741878Pierre de Sallmard maire sortant
18781880 (03-06)Pierre de Sallmard maire sortant
1880 (03-06)
(élection ?)
1884Victor Rebattet  
18841888Victor Rebattet maire sortant
18881890 (27-04)Victor Rebattet maire sortant
1890 (27-04)
(élection ?)
1892 (15-05)Antoine Arthaud  
1892 (15-05)1896Joseph Ogier  
18961899 (30-04)Joseph Ogier maire sortant
1899 (30-04)
(élection ?)
1900Elizée Bouzon  
19001904Elizée Bouzon maire sortant
19041908 (23-08)Elizée Bouzon maire sortant
1908 (23-08)1912Auguste Barruyer  
19121919 (10-10)Auguste Barruyer maire sortant
1919 (10-10)1925 (17-05)Jules Barruyer  
1925 (17-05)1929Auguste Brunel  
19291935 (19-05)Auguste Brunel maire sortant
1935 (19-05)1943Joseph Chabert  
1943
(remplacement)
1945 (20-05)Adolphe Ruchon premier adjoint qui remplit les fonctions de maire durant la guerre
1945 (20-05)1947Pierre Rivière  
19471953 (13-05)Pierre Rivière maire sortant
1953 (13-05)1959 (16-04)Raymond Charra  
1959 (16-04)1965Paul Grenier  
19651971 (27-04)Paul Grenier maire sortant
1971 (27-04)1973 (05-07)Jean-Marie Dherbet  
1973 (05-07)
(élection ?)
1977Lucien Cotte premier adjoint de Jean-Marie Dherbet
19771983Lucien Cotte maire sortant
19831989Lucien Cotte maire sortant
19891995Lucien Cotte maire sortant
19952001 (16-03)Lucien Cotte maire sortant
2001 (16-03)2008Alain ParetLDIV 
20082014 (30-03)Alain Paret maire sortant
2014 (30-03)2020 (15-03)Bernard Picot[23]DVGretraité
2020 (15-03)En cours
(au 5 janvier 2021)
Philippe Barneron[24],[25][source insuffisante](sans étiquette) 

Rattachements administratifs et électoraux

Politique environnementale

Finances locales

Jumelages

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 2 635 habitants[Note 3], en diminution de 2,7 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
2 5992 5502 6162 5522 7852 8323 0153 2143 156
185618611866187218761881188618911896
2 9703 0413 0122 8922 0541 5401 5461 5301 437
190119061911192119261931193619461954
1 4041 4001 3461 2241 2001 2291 2451 2721 298
196219681975198219901999200420062009
1 2861 3021 6521 8822 0552 3092 4472 4682 415
201420192021------
2 6702 6292 635------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

Enseignement

Santé

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête : le dimanche suivant le [20].

Loisirs

  • Randonnées : GR 422 - GRP Drôme des Collines[1].

Vie associative

La commune possède de nombreuses associations[30] :

  • D'Gens ! T' de Peyrins (Association Théâtrale).
  • A Livres Ouverts (Bibliothèque).
  • A.C.C.A. de Peyrins (Développement durable en milieu rural, chasse et biodiversité).
  • ABC Gym (Initiation à la gymnastique et compétitions inter-clubs).
  • ADMR de Peyrins- Génissieux- Haute Herbasse (Aide à domicile , service de proximité).
  • Bouge tes notes (Aide au développement de la musique : Musique, Chorales, Groupes musicaux).
  • CLS de Peyrins (Organisation de loisirs à objectifs multiples, comité des fêtes).
  • Club des sans soucis (Club de loisirs).
  • Comité Génération·s Drôme des Collines (Comité local du parti politique GÉNÉRATION·S LE MOUVEMENT)
  • Décawowo solidarité togo (Aide pédagogique et financière aux projets scolaires).
  • École municipale de musique (Musique, Chorales, groupes musicaux).
  • Evolus'on (Musique, Chorales, groupes musicaux).
  • FNACA.
  • Générations Futures (Discussion débats sur le futur et l'environnement).
  • Graine de Cocagne (Insertion sociale et professionnelle et réinsertion professionnelle : entreprises d’insertion, associations intermédiaire).
  • Graine de Présent (méditation).
  • GYM Form (Club de gymnastique).
  • Judo Peyrinois (club d'arts martiaux et sports de combats).
  • Kevin's (Chorales, groupes musicaux).
  • L'Art et la matière en Drôme des collines (Promotion des œuvres contemporaines et des lieux d'histoire).
  • La Ruche, Familles rurales[31](Accueil de Loisirs Sans Hébergement Jeunesse 3/12 ans).
  • Le Foyer des Hirondelles (Accueil de personnes en situation de Handicap).
  • Petit Orchestre de Génissieux POG (jazz, musique, chorales, groupes musicaux).
  • Peyrins Volley Ball (Club de Volley et Beach Volley).
  • Société des œuvres laïques (Association périscolaire et de parents d'élèves).
  • Tennis Club Peyrinois (club de tennis).
  • Union sportive peyrinoise Foot (club de football).

Sports

Manifestations sportives

Médias

Cultes

Économie

Agriculture

En 1992 : céréales, fruits, ovins, caprins[20].

  • Coopérative d'élevage[20].
  • Foire : le deuxième jeudi d'avril[20].

Commerce

Industrie

La commune possède une carrière[20].

Tourisme

Revenus de la population et fiscalité

Emploi

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Châteauroux : vestiges du château médiéval dominant le village[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel

Patrimoine naturel

  • Bois de Lusset[20].
  • Nombreuses grottes et caves[1].

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Blason
D'argent à trois fasces ondées, à un dauphin, posé en pal, la queue tournée à senestre et duquel jaillit de la bouche un jet d'eau, le tout d'azur ; au chef de gueules à une chèvre saillante et issante d'or[36].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).
  • Jacques-François Lanier, Les Scissions d'une commune drômoise au XIXe siècle : création des communes de Génissieux et de Mours par éclatement de la commune de Peyrins[réf. nécessaire].

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  • Cartes

Références

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