Robin Söderling

joueur de tennis suédois

Robin Söderling
Image illustrative de l’article Robin Söderling
Robin Söderling à l'US Open en 2010.
Carrière professionnelle
2001 – 2015 (dernier match en 2011)
NationalitéDrapeau de la Suède Suède
Naissance (39 ans)
Tibro
Taille1,93 m (6 4)
Prise de raquetteDroitier, revers à deux mains
EntraîneursMagnus Norman (2009-2010)
Claudio Pistolesi (2011)
Fredrik Rosengren(2011-2015)
Gains en tournois10 423 124 $
Site InternetRS Sports
Palmarès
En simple
Titres10
Finales perdues10
Meilleur classement4e (15/11/2010)
En double
Titres1
Finales perdues1
Meilleur classement109e (11/05/2009)
Meilleurs résultats en Grand Chelem
Aust.R-G.Wim.US.
Simple1/8F (2)1/41/4
Double1/161/321/321/16
Meilleurs résultats au Masters
SimpleDF (1)
Titres par équipe nationale
World Team Cup1 (2008)

Robin Bo Carl Söderling, né le à Tibro (Suède), est un joueur de tennis suédois, professionnel de 2001 à 2015[1].

Il a remporté dix titres en simple sur le circuit ATP, dont le Masters 1000 de Paris-Bercy en 2010, année durant laquelle il a occupé la 4e place du classement mondial. En Grand Chelem, il a notamment été deux fois finaliste du tournoi de Roland-Garros.

Carrière

2007 : Match mémorable à Wimbledon et blessure au poignet

Robin Söderling est battu au troisième tour du tournoi de Wimbledon dans un match mémorable face à Rafael Nadal : interrompu plusieurs fois par la pluie et la nuit, le match commence un samedi de juin pour se finir le mercredi suivant en juillet. Il dure donc cinq jours, autant de sets et 4 h 1. Le samedi, les joueurs ont uniquement le temps de s'échauffer lors de l'arrivée de la pluie et comme on ne joue pas le dimanche, le match commence réellement le lundi puis est interrompu à 6-4, 4-3 pour Nadal ; le match reprend et Söderling sauve une balle de match dans le tie-break du troisième set à 6-7 c'est alors que le match est de nouveau suspendu à 6-4, 6-4, 6-6 et 7 partout dans le tie-break ; le combat reprend et Söderling remonte au score, une dernière interruption à 2 sets partout 2-0 pour l'Espagnol dans le dernier set est due à la nuit. Le match se terminera le mardi après que le Suédois a sauvé encore quatre balles de match, ce qui ne suffira pas, score final 4-6, 4-6, 7-67, 6-4, 5-7 pour Nadal. Söderling a remporté deux points de plus au total que son adversaire (176/174).

Il interrompt sa saison en août à la suite d'une blessure au poignet. C'est sa seule année sans titre ni finale entre 2003 et 2010.

2008 : Retour et deuxième titre à Lyon

En février, Robin Söderling effectue un retour plutôt satisfaisant, puisqu'il remporte son premier tournoi depuis 2005 sur la moquette de Lyon et atteint trois autres finales sur dur en salle à Stockholm, Rotterdam et Memphis. Il remporte pour la Suède la World Team Cup sur la terre de Düsseldorf. Il est invaincu en quatre simples et autant de matchs en double, devenant le troisième joueur de l'histoire de la compétition, créée en 1978, à accomplir cet exploit, après l'Américain John McEnroe en 1984 et le Chilien Fernando González en 2003. Au vu de ses résultats médiocres dans les grands rendez-vous en Grand Chelem et aux Jeux olympiques, il décide de quitter son entraîneur Peter Carlsson et annonce en novembre son association avec Magnus Norman pour l'année 2009.

2009 : Exploit face à Rafael Nadal et finale à Roland-Garros

Robin Söderling en séance d'entraînement lors du tournoi de Roland-Garros en 2009.

Robin Söderling gagne peu de matchs en ce début d'année et s'inscrit aux qualifications du tournoi challenger de Sunrise, qu'il gagne au bout de huit rencontres. Au Masters de Rome en avril, mené par Rafael Nadal 1-6, 0-2, le Suédois récidive en montrant un mauvais impact de balle à l'arbitre et perd finalement 1-6, 0-6[2], tandis que deux semaines plus tard, il bat à la World Team Cup juste avant le Grand Chelem parisien Gilles Simon, alors no 7 mondial, 4-6, 6-2, 6-0 ainsi que Rainer Schüttler, 6-0, 6-0.

Le , alors classé 25e mondial, Söderling se distingue à Roland-Garros en éliminant en huitièmes de finale Rafael Nadal, no 1 mondial et quadruple tenant du titre (6-2, 6-72, 6-4, 7-62)[3]. Le Scandinave réussit là une véritable prouesse car c'est la première défaite de Nadal à Roland-Garros, où il n'avait jamais concédé plus d'un set lors d'un même match, et où il restait sur 31 victoires en autant de matchs. Ainsi Nadal ne battra pas à cette occasion le record de quatre victoires consécutives à Roland-Garros qu'il codétenait avec Björn Borg, compatriote de Söderling. Il atteint ensuite la finale en battant le Russe Nikolay Davydenko, tête de série no 10, puis le Chilien Fernando González, tête de série no 12, en 5 sets. Pour sa première finale en Grand Chelem, il rencontre Roger Federer, contre qui il s'incline pour la 10e fois consécutive, en trois sets. Il perdra d'ailleurs encore deux fois contre le Suisse dans les deux derniers Grand Chelem de l'année[4].

L'abandon d'Andy Roddick permet à Robin Söderling, en tant que premier remplaçant, de disputer les Masters 2009. Lors de son premier match de poule, il s'impose pour la deuxième fois consécutive face à Rafael Nadal (6-4, 6-4). Il bat ensuite Novak Djokovic (7-65, 6-1) pour la première fois en six rencontres, s'assurant ainsi d'une qualification en demi-finale. Lors de son dernier match de poule, il s'incline face à Nikolay Davydenko (6-74, 6-4, 3-6). En demi-finale, il est défait par l'Argentin Juan Martín del Potro (7-61, 3-6, 6-73), au terme d'un match de 2 h 11. Il termine sa saison à la huitième place grâce aux points acquis au Masters.

2010 : Nouveau tour de force à Roland-Garros et première victoire en Masters 1000 à Paris-Bercy

Robin Söderling à l'Open d'Australie en 2010.

Fort de son statut de membre du top 10 et de ses résultats extrêmement satisfaisants de la deuxième moitié de la saison 2009, Robin Söderling commence sa saison à Abou Dabi pour y disputer une exhibition en compagnie entre autres de sa bête noire, Roger Federer et de Rafael Nadal. Il se qualifie pour la finale en sortant Stanislas Wawrinka au terme d'un match très disputé (7-6, 7-6), puis en réalisant l'exploit de battre le no 1 mondial pour la première fois en treize confrontations, en trois sets (6-7, 7-6, 6-2), même s'il s'agit d'une victoire non officielle car obtenue lors d'un match d'exhibition. Le lendemain, il s'incline au terme d'un match serré face à un Rafael Nadal en regain de forme après une fin d'année 2009 décevante (6-7, 5-7). Söderling « rate » ses deux prochains tournois (élimination au 1er tour à l'Open d'Australie et à Chennai), puis remporte son premier tournoi de l'année, le Tournoi de Rotterdam, en battant Mikhail Youzhny par abandon en finale (6-4, 2-0 ab.). Il succède à Andy Murray, vainqueur de l'édition 2009[5].

À l'Open 13, il parvient en quarts de finale en battant Serhiy Stakhovsky (6-7, 6-3, 6-4), avant de s'incliner face à Michaël Llodra (6-7, 4-6). Mais au Masters d'Indian Wells 2010, il réalise une excellente performance en battant Andy Murray 6-1, 7-6 pour atteindre sa première demi-finale en Masters 1000. Il s'incline cependant face au quadruple demi-finaliste de l'épreuve, l'Américain Andy Roddick en trois sets (6-4, 3-6, 6-3). Au Masters de Miami, il récidive en se hissant également en demi-finale. Il est cependant sèchement battu par le tchèque Tomáš Berdych sur le score de 6-2, 6-2 (celui-ci avait auparavant battu Roger Federer en 1/8 de finale). Il participe ensuite à l'Open de Barcelone, où il est tête de série no 2, et parvient à se hisser en finale en se débarrassant au passage de Juan Ignacio Chela (7-5, 7-5), Feliciano López (6-3, 6-2), Eduardo Schwank (6-2, 6-3) et Thiemo de Bakker (6-1, 6-4). Il échoue cependant en finale face à un Fernando Verdasco solide et en forme sur le score de 6-3, 4-6, 6-3.

À Roland-Garros, il signe un nouveau coup d'éclat en quarts de finale en battant le tenant du titre Roger Federer pour la première fois en 13 confrontations. Il s'impose en quatre sets (3-6, 6-3, 7-5, 6-4) et devient le seul joueur à avoir battu Federer et Nadal à Roland Garros[6]. À la suite de cette défaite, Federer redescendra à la deuxième place du classement ATP et n'égalera ni ne battra le record de 286 semaines passé à la première place de Pete Sampras, en restant à 285 (il parviendra néanmoins à battre ce record en portant son total à 302 semaines en 2012). En battant le Tchèque Tomáš Berdych sur le score de 6-3, 3-6, 5-7, 6-3, 6-3, Robin Söderling atteint pour la deuxième fois consécutive la finale de Roland-Garros[7]. Il s'y incline néanmoins face à Rafael Nadal en trois sets, sur le score de 4-6, 2-6, 4-6, en 2 h 18 de jeu.

À Wimbledon, il parvient jusqu'en quarts de finale, où il est battu par Rafael Nadal (6-3, 3-6, 6-7, 1-6). C'est à la fin du tournoi qu'il accède au rang de no 5 mondial.

À l'Open de Suède de Båstad, il réalise des performances assez nuancées. En quarts de finale, il bat difficilement l'Italien Andreas Seppi, alors 76e mondial, en trois sets : 4-6, 7-5, 7-65. À l'inverse, il s'impose plus facilement en demi-finale face à David Ferrer en trois sets : 4-6, 6-3, 6-2 (à noter que l'Espagnol est, lui, au 12e rang au classement ATP). Le , il atteint la finale où il affronte un autre Espagnol, Nicolás Almagro, qui le fait chuter en trois sets : 7-5, 3-6, 6-2. À la fin du match, lors des traditionnels discours de remerciements, Robin s'effondre en larmes à la fin de son intervention, très affecté par sa défaite à domicile.

Sa fin de saison 2010 est notamment marquée par un quart de finale à l'US Open, battu par Roger Federer en trois sets, une demi-finale à Valence, battu par David Ferrer (6-3, 3-6, 6-3), et surtout une victoire dans le Masters de Paris-Bercy, où il bat Andy Roddick (7-5, 6-4) en quart de finale, puis Michaël Llodra (6-7, 7-5, 7-6) en sauvant trois balles de match en demi-finale, et enfin Gaël Monfils (6-1, 7-6) en finale. Cette première victoire dans un Masters 1000 lui permet de devenir no 4 mondial le , soit son meilleur classement à ce jour[8].

Il annonce en décembre un changement d'entraîneur. Magnus Norman choisissant de « se recentrer sur sa vie personnelle », il le remplace par Claudio Pistolesi[9].

2011 : Bon début de saison puis mononucléose

Le Suédois commence l'année 2011 à la cinquième place mondiale. Il entame sa saison par un titre à l'Open de Brisbane. Lors de la finale, il domine Andy Roddick (6-3, 7-5). Ensuite, Robin participe à l'Open d'Australie : il perd en huitièmes de finale face à Alexandr Dolgopolov au terme d'un match en 5 sets (6-1, 3-6, 1-6, 6-4, 2-6). Le joueur continue sur sa bonne lancée en remportant successivement le tournoi de Rotterdam face à Jo-Wilfried Tsonga et l'Open 13 de Marseille face à Marin Čilić[10].

Lors du premier Masters 1000 de la saison, à Indian Wells, il se fait cependant sortir dès le 3e tour par Philipp Kohlschreiber. Affaibli par des soucis physiques[11], le joueur se fait ensuite éliminer par Juan Martín del Potro au 3e tour du Masters de Miami. À la suite de ces contre-performances, il décide de changer d'entraîneur et choisit Fredrik Rosengren, un entraîneur suédois s'étant déjà occupé de Magnus Norman et Mario Ančić.

Lors de la seconde levée du Grand Chelem de la saison, à Roland-Garros, il bat successivement Ryan Harrison (6-1, 6-7, 6-3, 7-5), Albert Ramos (6-3, 6-4, 6-4), Leonardo Mayer (6-1, 6-4, 6-3) et le Français Gilles Simon (6-2, 6-3, 7-6) pour s'octroyer une place en quart de finale qu'il perd en 3 sets face à Rafael Nadal (6-4, 6-1, 7-63).

Au tournoi de Wimbledon, le Suédois connaît une nouvelle contre-performance en étant éliminé au troisième tour par la révélation du tournoi Bernard Tomic.

Robin Söderling gagne son 4e titre de la saison au tournoi de Båstad en battant David Ferrer en finale (6-2, 6-2). Cette lancée s'arrête soudainement car Söderling contracte une mononucléose et subit une grave dépression nerveuse qui le contraignent à se retirer du circuit pendant plus de quatre ans.

Juillet 2011 à 2015 : une convalescence qui s'éternise

Après sa victoire à Båstad en , Söderling ne joue plus un seul match sur le circuit ATP, mais n'annonce pas prendre sa retraite pour autant. En effet, en 2014, il déclare continuer à espérer reprendre la compétition. En 2015, il déclare toujours rêver à un retour à la compétition vu qu'il peut s'entraîner avec une bonne intensité, mais que le problème reste la récupération. Parallèlement à sa convalescence, Söderling, devenu père d'une petite Olivia en 2012, diversifie ses activités. Ainsi, il crée une marque de balles de tennis (RS) et de cordages (RS-Lyon) et devient, en , directeur de l'Open de Stockholm[12],[13].

Décembre 2015 : Une fin de carrière sans adieux sur le terrain

Le , Robin Söderling finit par annoncer la fin de sa carrière sportive, alors qu'il n'a pas rejoué sur le circuit professionnel depuis plus de 4 ans[14].

À l'issue de sa carrière sportive, il devient l'entraîneur de son jeune compatriote Elias Ymer[15].

Style de jeu

Robin Söderling effectuant un coup droit à Roland-Garros en 2009.

L'arme principale de Robin Söderling est son excellent service. Le Suédois dispose en effet d'un service surpuissant, capable de dépasser les 230 km/h. Du fait de sa grande taille, il arrive à bien placer son service et ainsi marquer un nombre important d'aces et de services gagnants. D'ailleurs, Gilles Simon le classe parmi les 5 joueurs les plus difficiles à breaker[16].

En fond de court, Söderling base son jeu sur une puissance de frappe phénoménale avec une prise extrêmement à plat comparé à la moyenne du circuit ATP, ce qui en fait l'exact opposé de Rafael Nadal, dont sa grande taille l'a aussi aidé à annihiler les coups droit liftés de ce dernier. Son coup droit, capable de dépasser les 180 km/h, est ravageur, le Suédois arrive en effet à donner toute sa puissance musculaire à la balle et ainsi marquer un nombre parfois impressionnant de coups gagnants. Dans ce domaine-là, seul Juan Martín del Potro ou à un degré moindre Tomáš Berdych, peuvent tenir la comparaison. Son revers est également puissant et redoutable, bien que dans tous les cas moins efficace que son coup droit. Quand on lui laisse le temps de préparer ses frappes, on ne peut pratiquement pas l'arrêter, comme en témoignent ses deux finales à Roland-Garros. Avec son énorme puissance de frappe et sa grande prise de risque, il est quasiment impossible à battre dans un bon jour, ce qu'ont constaté Nadal et Federer à Roland-Garros, où il a été impressionnant dans tous les compartiments du jeu.

Sans être un bon volleyeur, il lui arrive de monter au filet pour conclure le point. À noter cependant que son jeu à hauts risques est aussi irrégulier. Il a par exemple été nettement moins remarquable lors de ses deux finales à Roland-Garros que lors de ses victoires contre Nadal et Federer. Autre exemple, à Wimbledon contre Nadal, où il fait un presque sans fautes lors du premier set, avant de chuter lors des sets suivants. Son jeu de jambes est tout à fait convenable, mais pourrait s'améliorer dans les années à venir.

Notons que Robin Söderling a acquis la très grande majorité de ses titres en salle : ceci est expliqué par son jeu à plat à très haut risque, qui s'adapte peu par vents forts (comme à l'US Open 2010 face à Roger Federer où il n'a pas su maîtriser le vent).C'est un paradoxe chez ce joueur dont les titres sont pour la plupart obtenus sur dur en salle et sur surface très rapide (Master de Bercy) mais qui est parvenu à jouer deux finales à Roland-Garros sur terre battue, une surface réputée lente.

Palmarès

En simple messieurs

10 titres en simple0 G. Chelem0 Masters1 Masters 10002 ATP 5007 ATP 2500 JO
5 sur dur0 sur gazon2 sur terre battue3 sur moquette

En double messieurs

Parcours dans les tournois du Grand Chelem

En simple

AnnéeOpen d'AustralieInternationaux de FranceWimbledonUS Open
20022e tour (1/32) M. Ríos
20033e tour (1/16) T. Henman1er tour (1/64) T. Dent
20042e tour (1/32) N. Escudé1er tour (1/64) Lee H-t.1er tour (1/64) R. Schüttler2e tour (1/32) N. Davydenko
20051er tour (1/64) D. Hrbatý2e tour (1/32) Lee H-t.1er tour (1/64) I. Andreev3e tour (1/16) G. Coria
20061er tour (1/64) R. Nadal1er tour (1/64) T. Henman2e tour (1/32) S. Wawrinka
20071er tour (1/64) F. Mayer1er tour (1/64) A. Montañés3e tour (1/16) R. Nadal
20083e tour (1/16) J. Benneteau2e tour (1/32) R. Federer1er tour (1/64) E. Korolev
20092e tour (1/32) M. BaghdatísFinale R. Federer1/8 de finale R. Federer1/4 de finale R. Federer
20101er tour (1/64) M. GranollersFinale R. Nadal1/4 de finale R. Nadal1/4 de finale R. Federer
20111/8 de finale A. Dolgopolov1/4 de finale R. Nadal3e tour (1/16) B. Tomic

N.B. : à droite du résultat se trouve le nom de l'ultime adversaire.

En double

AnnéeOpen d'AustralieInternationaux de FranceWimbledonUS Open
20041er tour (1/32)
I. Andreev
A. Olhovskiy
1er tour (1/32)
B. Bryan
M. Bryan
2e tour (1/16)
B. Bryan
M. Bryan
20052e tour (1/16)
J. Erlich
A. Ram
2e tour (1/16)
B. Bryan
M. Bryan
20061er tour (1/32)
J. Hernych
D. Škoch
2007
20081er tour (1/32)
S. Aspelin
J. Knowle

N.B. : le nom du ou de la partenaire se trouve sous le résultat ; le nom des ultimes adversaires se trouve à droite.

Parcours aux Masters

AnnéeLieuRésultatTourAdversairesVictoire / DéfaiteScores
2009LondresDemi-FinaleDemi-Finale
RR
RR
RR
Juan Martín del Potro
Nikolay Davydenko
Novak Djokovic
Rafael Nadal
Défaite
Défaite
Victoire
Victoire
7-61, 3-6, 63-7
64-7, 6-4, 3-6
7-65, 6-1
6-4, 6-4
2010LondresRound RobinRR
RR
RR
Roger Federer
David Ferrer
Andy Murray
Défaite
Victoire
Défaite
65-7, 3-6
7-5, 7-5
2-6, 4-6

Parcours dans les Masters 1000

AnnéeIndian WellsMiamiMonte-CarloRomeHambourgCanadaCincinnatiMadridParis
20042e tour
A. Calleri
2e tour
L. Hewitt
1er tour
F. López
1er tour
D. Nalbandian
1er tour
M. Zabaleta
2e tour
R. Federer
1/8 de finale
T. Haas
2e tour
D. Nalbandian
1/4 de finale
M. Mirnyi
20051er tour
F. Santoro
1er tour
J. Mónaco
2e tour
J. I. Chela
2e tour
O. Rochus
2e tour
D. Hrbatý
20063e tour
I. Andreev
1/8 de finale
F. González
1/8 de finale
R. Štěpánek
1er tour
F. González
1/8 de finale
J. C. Ferrero
1/8 de finale
R. Federer
2e tour
M. Safin
20073e tour
F. González
1/4 de finale
T. Berdych
2e tour
N. Djokovic
2e tour
D. Ferrer
1er tour
M. Safin
20082e tour
R. Gasquet
3e tour
R. Federer
2e tour
T. Robredo
1er tour
E. Korolev
1/8 de finale
R. Federer
1/8 de finale
N. Djokovic
1/8 de finale
P. Kohlschreiber
2e tour
I. Karlović
2e tour
R. Federer
Indian WellsMiamiMonte-CarloRomeMadridCanadaCincinnatiShanghaiParis
20092e tour
N. Lapentti
2e tour
R. Kendrick
1er tour
S. Bolelli
1/8 de finale
R. Nadal
2e tour
R. Federer
1er tour
L. Hewitt
1/4 de finale
F. López
1/4 de finale
N. Djokovic
20101/2 finale
A. Roddick
1/2 finale
T. Berdych
1/8 de finale
S. Wawrinka
2e tour
N. Almagro
1/8 de finale
D. Nalbandian
1/8 de finale
A. Roddick
1/4 de finale
R. Federer
Victoire
G. Monfils
Indian WellsMiamiMonte-CarloMadridRomeCanadaCincinnatiShanghaiParis
20113e tour
P. Kohlschreiber
3e tour
J. M. del Potro
1/4 de finale
R. Federer
1/4 de finale
N. Djokovic

N.B. : sous le résultat se trouve le nom de l’ultime adversaire.

Statistiques

Victoires sur le top 5

Toutes ses victoires sur des joueurs classés dans le top 5 de l'ATP lors de la rencontre.

Légende
Grand Chelem
Masters 1000
500 Series
250 Series
Masters
#RobinLieuAnnéeSurfaceAdversaireRangTourScoreTableau
1no 28 Monte-Carlo2007Terre battue Nikolay Davydenkono 41/166-4, 66-7, 6-3Tableau
2no 26 Marseille2007Dur indoor Nikolay Davydenkono 31/163-6, 6-4, 6-1Tableau
3no 25 Roland-Garros2009Terre battue Rafael Nadalno 11/86-2, 26-7, 6-4, 7-62Tableau
4no 9 Masters de Londres2009Dur indoor Rafael Nadalno 2Poule6-4 6-4Tableau
5 Novak Djokovicno 3Poule7-65, 6-1
6no 7 Indian Wells2010Dur Andy Murrayno 41/46-1, 7-64Tableau
7no 7 Roland-Garros2010Terre battue Roger Federerno 11/43-6, 6-3, 7-5, 6-4Tableau

Il compte 25 victoires sur le top 8. Sa victoire sur Federer le à Abu Dhabi était une exhibition.

Classements ATP en fin de saison

Année20012002200320042005200620072008200920102011
Rang en simple443 176 59 34 81 25 41 17 8 5 13
Rang en double936 902 432 225 220 425 234 134 264 1224-

Source : (en) Classements de Robin Söderling sur le site officiel de la Fédération internationale de tennis

Notes et références

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

🔥 Top keywords: