Suez (entreprise, 2015)

entreprise française de gestion de l'eau et des déchets, anciennement Suez Environnement

Suez
logo de Suez (entreprise, 2015)
Logo de Suez
illustration de Suez (entreprise, 2015)
Siège social de Suez la Tour Suez à La Défense

Création2003 : Suez Environnement regroupe les activités Environnement du groupe Suez
Dates clés2008 : introduction en bourse de Suez Environnement Company dans le cadre de la fusion entre Suez et Gaz de France
2015 : Suez Environnement devient Suez
Forme juridiqueSociété anonyme
SloganCreating cycles. for life.Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège socialTour CB21, La Défense, Courbevoie
Drapeau de la France France
PrésidentSabrina Soussan
DirecteursSabrina Soussan[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
ActionnairesMeridiam (39 %)
GIP (39 %)
Caisse des dépôts et consignations CNP Assurances (19 %)
Salariés (3%)
ActivitéTraitement de l'eau, Gestion des déchets
Société mèreSUEZ Holding
FilialesSuez Eau France, Suez Recyclage & Revalorisation France, Suez Consulting & Engineering
Effectif40 000 salariés (2022)
SIREN901644989[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site webwww.suez.com/fr

Chiffre d'affairesen augmentation 9 Mrd € (2022)

Suez, anciennement Suez Environnement, est une multinationale française (présente à l'étranger) de gestion de l’eau et des déchets.

Le , l'entreprise est renommée Suez.

En 2022, l'entreprise publiait un chiffre d’affaires de 9 milliards d'euros et emploie aujourd'hui 40 000 salariés dans le monde.

Histoire

Histoire de Suez

En 1855, dans un contexte de révolution industrielle en Occident, la France décide de faire percer un canal sur l'isthme de Suez. Sa construction est administrée par la Compagnie universelle du canal maritime de Suez, fondée pour l'occasion, et dirigée par Ferdinand de Lesseps. Les travaux commencent en 1859 et s'achèvent en , date à laquelle le canal est inauguré[3].

Un décret napoléonien du , un an après la fondation du Second Empire, porte la Générale des eaux sur les fonts baptismaux. Ses actionnaires sont emblématiques du capitalisme de l’époque : des barons d’Empire et banquiers. Elle obtient rapidement des concessions à Lyon, Nantes, Paris, dès 1860, et une partie de la banlieue parisienne en 1869. En 1880, elle gère déjà 123 villes. C'est sur ce modèle qu'est également construit la Lyonnaise des eaux[4].

En 1880, la société Lyonnaise des Eaux et de l’Éclairage est créée[5]. En 1919, la Société Industrielle des Transports Automobiles (SITA) est créée. En 1939, Degrémont est créé[6].

En 1971, la Lyonnaise des Eaux devient actionnaire majoritaire de Degrémont et prend une participation dans la SITA. En 1974, la Compagnie financière de Suez devient actionnaire majoritaire de la Lyonnaise des eaux.

En 1991, un partenariat est signé avec General de Aguas de Barcelona (Grupo Agbar). En 1997, Suez Lyonnaise des Eaux est créée à la suite de la fusion de la Lyonnaise des eaux avec la Compagnie financière de Suez.

En 2000, Suez Lyonnaise des Eaux acquiert 100 % de la SITA. En 2002, les activités de Suez dans l’eau et les déchets sont regroupées. En 2006, après 3 années de combat des Argentins, Suez est contraint de quitter l'Argentine et le réseau d'eau de Buenos Aires.

En 2002, Ondéo-Suez Lyonnaise des eaux contrôle 28 % du marché de l'eau, Vivendi Environnement (ex-Générale des Eaux) 57 %, et la SAUR (Bouygues), 13 %[7].

Histoire de Suez Environnement devenu Suez

En 2008, Suez Environnement est introduit en bourse, dans le cadre de la fusion de Suez et Gaz de France. À la suite de la fusion de Suez avec Gaz de France, intervenue le en assemblée générale extraordinaire, Suez Environnement s'est détaché en partie du nouveau géant européen GDF Suez et est entré à la Bourse de Paris le . Deux mois après son introduction en bourse, soit le , Suez Environnement a rejoint les principaux indices du marché parisien dont l’indice CAC 40[8].
Cette même année Suez et Nexans créent une coentreprise, « RecyCâbles », chargée de recycler et de la valoriser les câbles[9],[10].

L'introduction en bourse s'est passée de la manière suivante[11] : immédiatement avant la fusion de Suez par GDF, le groupe Suez s'est défait de Suez Environnement en distribuant à ses actionnaires (autres que GDF) 65 % des actions de la nouvelle société ainsi créée, les 35 % restants étant conservés par le nouveau groupe GDF Suez.

Le , Suez prend le contrôle de Grupo Agbar. En , Suez Environnement annonce l'acquisition de 24,14 % de Grupo Agbar que détient La Caixa, pour détenir Grupo Agbar à 100 %, en échange d'une participation 4,1 % dans Suez environnement, de 15 % dans Aiguës de Barcelona, de 14,5 % dans Aguas de Valencia et de 2 995 millions d'euros[12].

Au , Suez Environnement publiait un chiffre d’affaires de 14,6 milliards d'euros et employait 79 219 salariés.

Le , Suez Environnement regroupe l'ensemble de ses 40 marques existantes (Lyonnaise des Eaux, Degrémont, SITA, Agbar...) sous la marque unique Suez Environnement afin de tirer parti de la notoriété de cette marque déjà établie. À cette occasion, Suez environnement dévoile un nouveau logo et une nouvelle signature visuelle[13].

Le , Suez Environnement rachète à Gelsenwasser la totalité des parts de Nantaise des Eaux services et devient le nouvel actionnaire unique[14].

Le , Suez Environnement devient Suez[15]. C'est une conséquence indirecte de l'abandon de la marque Suez par l'ancienne maison mère GDF Suez devenue Engie, le [16].

Le , Suez annonce l'acquisition de Perthwaste, l’un des principaux prestataires de services de traitement des déchets en Australie-Occidentale, pour un montant de 876 millions de dollars australiens (environ 58 millions d'euros). Le groupe renforce ainsi sa position en Australie[17][source insuffisante].

Le , le groupe Suez annonce avoir conclu un accord avec le groupe italien Caltagirone pour augmenter sa participation dans Acea, spécialisé dans la gestion de l'eau, de l'énergie et de l'environnement, et renforcer ainsi sa présence en Italie. Suez détiendra désormais 23,33 % du capital d'Acea, contre 12,5 % précédemment, et devient ainsi le deuxième actionnaire de la société derrière la ville de Rome, qui en détient 51 %[18].

Le , Suez finalise le rachat de GE Water à General Electric pour une valeur de 3,2 milliards d'euros. GE Water est spécialisée dans les équipements de traitement d'eau pour la clientèle industrielle[19]. Toutes les activités eaux industrielles de Suez et de GE Water sont alors regroupées dans une seule et même Business Unit intitulée « Water Technologies and Solutions ».

Le , un conseil d'administration d'Engie, propriétaire de 32 % des parts de Suez , enterre les rumeurs prêtant à Engie sa volonté de vouloir absorber Suez. Il n'y aura donc pas d'OPA à venir, Engie souhaitant conserver cette proportion dans les actions qu'il possède chez Suez[20].

Le , Suez annonce qu'il a trouvé un successeur à Jean-Louis Chaussade, directeur général du groupe depuis 2008 et qui va atteindre la limite d'âge statuaire à la fin de son mandat. Le , il est remplacé par Bertrand Camus, ingénieur des Ponts et chaussées. Jean-Louis Chaussade devient quant à lui président de son conseil d'administration, succédant à Gérard Mestrallet[21].

Le , le groupe Veolia soumet une offre auprès d'Engie pour racheter 29,9 % des parts de Suez pour la somme de 2,9 milliards d'euros et proposer par la suite une offre publique de rachat pour le reste des actions[22]. Le conseil d'administration de Suez s'oppose au projet de prise de contrôle par son concurrent[23][source insuffisante] et tente des mesures de défense comme la recherche d'un acquéreur amical de la participation d'Engie[24][source insuffisante], ou la mise en place d'une « pilule empoisonnée » en bloquant la cession future de sa branche Eau France[25][source insuffisante] envisagée par Veolia à la suite de la prise de contrôle.

En septembre 2020, Suez vend ses filiales de recyclage aux Pays-Bas, au Luxembourg, en Allemagne et en Pologne à Schwarz pour 1,1 milliard d'euros[26], ainsi que ses activités de recyclage en Suède toujours à Schwarz pour 375 millions d'euros[27].

En , après avoir relevé le prix de son offre, Veolia acquiert la participation de 29,9 % détenue par Engie, pour 3,4 milliards d'euros[28] et confirme son intention de déposer une offre publique sur la totalité des actions de Suez[29][source insuffisante]. L'État en tant qu'actionnaire d'Engie a voté contre[30], ainsi que le représentant de la CGT, tandis que les actionnaires indépendants et le représentant de la CFE-CGC ont voté pour. Les représentants du syndicat CFDT siégeant au conseil ont quitté la salle au moment du vote.

2021 : OPA de Veolia

Le dimanche , Antoine Frérot, PDG de Veolia annonce son intention de déposer une offre publique d'achat sur les 70,1 % d'actions de Suez que Veolia ne détient pas pour un montant approchant les 8 milliards d'euros, violant ainsi l'engagement d'amicalité pris lors du premier rachat. Le lundi , le tribunal de commerce de Nanterre ordonne à Veolia de suspendre cette offre tant qu'elle n'a pas reçu l'aval du conseil d'administration de Suez. Le ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le Maire décide de saisir l'Autorité des marchés financiers[31].

En avril 2021, Suez annonce un accord de cession avec Cleanaway des activités Recyclage et Valorisation en Australie sous réserve du résultat des négociations avec Veolia[32]. Suez et Veolia annoncent être parvenus à un accord de principe permettant le rapprochement entre les deux groupes, en valorisant Suez à environ 13 milliards d'euros. Cet accord annule la vente des activités australiennes de Suez à Cleanaway et annule la mise en place d'une fondation comme actionnaire des activités françaises de Suez[33].

Les activités qui ne sont pas acquises par Veolia incluent les activités « Eau », Suez Eau France, et « Déchets », Suez Recyclage & Revalorisation France, de Suez en France, mais également ses activités en Italie, en Australie, en République tchèque et en Inde, entité qui aura comme actionnaires les fonds d'investissement Meridiam, Ardian et Global Infrastructure Partners ainsi que la Caisse des Dépôts[34].

Le 14 mai 2021, Veolia et Suez signent un accord de rapprochement et un Memorandum of Understanding avec Meridiam - GIP - Caisse des dépôts / CNP Assurances pour la reprise du nouveau Suez[35].

Le 29 juin 2021, Le Conseil d’administration de Suez recommande l’offre publique rehaussée de Veolia au prix de 20,50  par action (coupon attaché) et le consortium Meridiam - GIP - Caisse des Dépôts / CNP Assurances remet une promesse d’achat évaluant le nouveau SUEZ à 10,4 milliards €[36].

Le 14 décembre 2021, la Commission européenne autorise le rachat de Suez par Veolia pour 13 milliards d'euros, néanmoins « subordonné au respect intégral » des engagements qui « éliminent entièrement les problèmes de concurrence relevés », qui inclut de céder les activités de Suez en France, dont Suez Eau France et Suez Recyclage & Revalorisation France[37]. Le 19 janvier 2022, l'OPA de Veolia est clôturée.

2022 : création du "nouveau" Suez

En février 2022, Suez est acquise par un consortium d’actionnaires et Sabrina Soussan devient la directrice générale du groupe[38].

En mai 2022, Suez et Veolia annoncent la signature d’un accord en vue de l’acquisition par Suez de l’ensemble des actifs déchets dangereux en France pour 690 millions d’euros[39]. Suez annonce également avoir placé avec succès ses premières obligations vertes pour 2,6 milliards d’euros.

En juin 2022, Suez, avec d'autres entreprises associées, annonce avoir signé un accord pour l’acquisition d’EnviroServ, la plus grande entreprise de gestion des déchets d’Afrique du Sud[40].

En septembre 2022, Suez annonce acquérir son ancienne filiale britannique Suez R&R UK spécialisée dans les déchets à Veolia pour un montant de 2,3 milliards d'euros, préemptant une promesse de vente qui a été conclue entre Veolia et le fonds Macquarie Asset Management[41].

Répartition des activités du groupe Suez dans le cadre de l'acquisition par Veolia au 17 décembre 2021[42],[43]
Activités acquises par VeoliaActivités non-acquises, « Nouveau Suez »
ImplantationsFilialesImplantationsFiliales
Amérique du NordSuez North America Inc. (ex-United Water) FranceSuez Eau France S.A.
Suez Water Technologies Inc. (ex-GE Water)Suez Recyclage & Revalorisation France S.A.
Suez Canada Inc.Suez Consulting & Engineering S.A.S.
Suez Utility Holdings Inc.Suez Smart Solutions S.A.S.
Suez Advanced Solutions LLC ItalieSuez Italia S.p.A
Amérique latineSuez Spain S.L.Acque Toscane S.p.A
Aguas Andinas (25 %)Acea S.p.A (23,33 %)
EspagneSuez Spain S.L. République tchèqueSuez Cz a.s.
Grupo Agbar IndeSuez India Private Ltd
Royaume-UniSuez UK Group Holdings Ltd AustralieSuez Australia Holding Pty Ltd
AllemagneSuez DeutschlandSuez Water Pty Ltd
Pays-BasSuez Recycling & Recovery Netherlands B.V.Suez Recycling & Recovery Holdings Pty Ltd
BelgiqueSuez Holding Belgium ChineSuez (Asia) Ltd
Suez R&R Belgium SénégalSuez Sénégal
Moyen-OrientSuez Middle East Water Services LLC MarocLydec (ex-Lyonnaise des Eaux de Casablanca) (51 %)
Disi Amman (100 %)N/AN/A

Identité visuelle

Activités

Gestion du grand cycle de l'eau

Dans le domaine de l’eau, Suez a pour principales activités :

  • les études et la modélisation des ressources souterraines ;
  • le captage, le traitement et la distribution d’eau ;
  • la maintenance des réseaux ;
  • la collecte et l’épuration des eaux domestiques et industrielles ;
  • la valorisation biologique et énergétique des boues issues de l’épuration.

Recyclage, valorisation ou enfouissement des déchets

Camion PVI de collecte des déchets de Suez environnement, à Colombes

Dans le domaine des déchets, Suez a pour principales activités :

  • la collecte des déchets de toute nature (excepté les déchets radioactifs et nucléaires) et la propreté urbaine ;
  • le tri et le prétraitement des déchets ;
  • le recyclage, la valorisation matière, biologique et énergétique des déchets valorisables ;
  • l’élimination par incinération ou enfouissement des déchets résiduels ;
  • la dépollution et la réhabilitation de sites et sols pollués ;
  • le traitement et la valorisation de boues.

Depuis 2013, sur le plan du recyclage du plastique, Suez a déployé en France 100 points de rachat de bouteilles en plastique usagées. Chaque bouteille déposée donne le droit à entre 1 et 2 centimes de bons d'achat valables dans des commerces partenaires. Ces points de rachats sont doublés d'une solution mobile adaptée aux événements exceptionnels comme des festivals[44].

Solutions de traitement de l'eau

Suez propose la conception et la construction d’usines de production et de traitement d’eau, ainsi que des services associés aux collectivités locales et aux industriels, en France et à l'étranger.

Consulting pour un aménagement durable des villes et des territoires

Suez propose des services d'ingénierie, notamment en assistance à maîtrise d'ouvrage publique, maîtrise d'œuvre et études, en France et à l'étranger.

Services numériques

Suez développe et commercialise des services numériques en lien avec l'environnement, incluant le télérelevé des compteurs d'eau, des conteneurs de déchets connectés ou encore un système de gestion des fuites.

Chiffres-clés

Les principales données chiffrées concernant le groupe en 2022 [45] :

  • chiffre d’affaires  : 9 milliards d'euros ;
  • effectifs  : 40 000 collaborateurs ;
  • 68 millions de personnes dans le monde desservis en eau potable
  • plus de 37 millions de personnes dans le monde bénéficient de services d'assainissement
  • 3,7 TWh d’énergie produits à partir des déchets et des eaux usées
  • 4 millions de tonnes d'émissions de CO2 évitées
  • plus de 150 chercheurs dédiés à la R&D et à l'innovation
  • 9 centres techniques et d’innovation  et des centres de R&D en Europe et en Asie

Le groupe bénéficie d'un réseau étendu de filiales et d'agences et exerce ses activités sur les 5 continents, avec des acteurs publics ou privés.

Informations financières

Principaux chiffres clés des comptes de résultats consolidés[46], en millions d'Euros
Année2011201220132014201520162017201820192020
Chiffre d'affaires14 83015 10214 64414 32415 13515 32215 73817 33118 01517 209
Résultat brut d'exploitation2 5132 4502 5202 6442 7502 6512 5782 7683 220
Résultat opérationnel courant1 0391 1461 1841 0111 1151 1021 0001 1421 208
Résultat net part du groupe322251352417408420295335352−228[47]

Actionnariat

Liste de principaux actionnaires au 11 janvier 2023 [48] :

Meridiam (Thierry Déau)39 %
Global Infrastructure Partners (GIP)39 %
Caisse des dépôts et consignations (CDC) CNP Assurances19 %
Salariés3 %

Gouvernement d’entreprise

Le Comité exécutif est composé de[49] :

  • Sabrina Soussan : Présidente-Directrice générale[50]
  • Pierre Pauliac, Directeur Division Eau, Vice-Président exécutif
  • Yves Rannou : Directeur Division Recyclage & Valorisation, Vice-Président exécutif (à compter de l'été 2023)
  • Jörg Linsenmaier : Directeur Ingénierie & Construction, Vice-Président exécutif (à compter du 2 mai 2023)
  • n.n. : Directeur Financier*, Vice-Président exécutif (*Florent Duval, Directeur Financier par intérim)
  • Laurent-Guillaume Guerra : Directeur des Ressources Humaines & Directeur Santé Sécurité, Vice-Président exécutif
  • Frederick Jeske-Schoenhoven : Directeur Stratégie et Développement durable, Vice-Président exécutif
  • Anne Sophie Le Lay : Directrice Juridique, Vice-Présidente exécutive

Communication

Activité de lobbying

Auprès de l'Assemblée nationale et du Sénat

Suez Environnement est inscrit comme représentant d'intérêts auprès de l'Assemblée nationale. Les montants alloués aux activités de lobbying se situent entre 500 000 et 600 000 euros pour l'année 2022[51].

Auprès des institutions de l'Union européenne

Suez est inscrit depuis 2009 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne.

Transition écologique

En , Suez est la première entreprise à annoncer son partenariat avec l'association la Fresque du climat pour proposer un atelier à tous les salariés à travers le monde[52].

Références

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Michèle Ruffat et Alain Beltran, 80 ans d'histoire de SITA : de la poubelle parisienne à l'écologie active, éditions Textuel, .
  • Yvan Stefanovitch, L’empire de l’eau : Suez, Bouygues et Vivendi, argent, politique et goût du secret, Paris, Ramsay, , 535 p. (ISBN 2-84114-731-2, BNF 40171621)
  • Alexandre Brun et Frédéric Lasserre, Politiques de l'eau : Grands principes et réalités locales, Presses de l’Université du Québec, (ISBN 978-2-7605-1457-7)

Liens externes

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