Windhoek

capitale de la Namibie

Windhoek
Windhuk (de)
Blason de Windhoek
Héraldique
Windhoek
Vue sur l'église luthérienne (1910) et sur le centre-ville depuis le musée de l'indépendance.
Administration
PaysDrapeau de la Namibie Namibie
RégionKhomas
Maire
Mandat
Joseph Uapingene (NUDO)
depuis janvier 2023
Démographie
GentiléWindhoekiens [1]
Population431 000 hab. (2020)
Densité668 hab./km2
Géographie
Coordonnées 22° 33′ 47″ sud, 17° 04′ 43″ est
Superficie64 500 ha = 645 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Namibie
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Windhoek

Windhoek (prononcé en anglais : /ˈwɪndhʊk/, en afrikaans : /ˈvəntɦuk/, en allemand : /ˈvɪnthʊk/ ; anciennement en allemand : Windhuk) est une ville d'Afrique australe, capitale de la république de Namibie depuis son indépendance en 1990, après avoir été celle de la colonie allemande puis sud-africaine du Sud-Ouest africain. Située dans le centre de la Namibie à 1 700 m d'altitude, elle est la plus grande ville du pays et son centre politique, culturel, économique, financier et social.

Fondée vers 1844 par Jonker Afrikaner, Windhoek signifie « coin du vent » en afrikaans.

Toponymie

Le site où est situé Windhoek a connu au moins sept appellations différentes au cours de sa jeune histoire :

Histoire

La région autour de Windhoek est déjà habitée par les San il y a plusieurs milliers d'années[2]. La présence de sources d'eaux chaudes jaillissant de roches volcaniques garantit un apport d'humidité dans une région aride. Jonker Afrikaner, chef des Oorlams, fuyant la colonisation de la région du Cap, fonde la ville de Winterhoek dans les années 1840[3]. Jonker Afrikaner quitte la région en 1852[4].

Windhoek à la fin du XIXe siècle.
Mémorial du zoo park.

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, les Boers, de la colonie du Cap, construisent une église en pierre pouvant accueillir jusqu'à 500 personnes et servant également d'école. À cette époque, Carl-Hugo Hahn et Franz Heinrich Kleinschmidt, de la Société des missions du Rhin, sont également actifs comme missionnaires à Windhoek. La jeune ville commence peu à peu à se développer, mais elle est détruite par la guerre entre les Namas et les Héréros. Lorsque Hugo Hahn visite Windhoek en , il ne trouve « rien d'autre que des chacals et des pintades entre des arbres fruitiers négligés »[5].

Timbre de 1900 DEUTSCH SÜDWESTAFRIKA, cachet de la poste de WINDHUK.

En 1878, le Royaume-Uni annexe les îles et les côtes autour de Walvis Bay, et les incorpore à la colonie du Cap en 1884, mais ne s'intéresse pas à l'arrière-pays. Grâce au travail de la Société des missions du Rhin et à l'acquisition de terres par Franz Adolf Eduard Lüderitz, un commerçant, tout un territoire de l'Afrique du Sud-Ouest allemande est proclamé zone sous protection allemande en 1884. Otjimbingwe est choisi comme siège administratif de cette colonie, dans un premier temps, mais dès 1890, Curt von François, alors capitaine des forces allemandes, décide d'établir Windhoek, situé au centre de la colonie, comme nouveau siège administratif[6]. Windhoek est aussi considérée comme une zone tampon stratégique avec les ennemis Namas et Hereros. Curt von François, issu d'une vieille famille française huguenote émigrée en Allemagne après l'abolition de l'Édit de Nantes, fait construire un fort[7],[8]. Dès le début de son histoire, les populations blanche et noire vivent séparées. Avec l'afflux de la population rurale et l'augmentation de l'immigration, principalement en provenance de l'Empire allemand et de l'Afrique du Sud, la population passe à environ 11 000 habitants en 1916.

L'ère coloniale allemande se termine à Windhoek en , pendant la Première Guerre mondiale[9]. Les troupes sud-africaines, sous drapeau britannique, occupent la ville. Au cours des années suivantes, cette partie de l'Afrique alors appelée Sud-Ouest africain, est administrée par un gouvernement militaire, puis, à partir de 1921, par l'Union d'Afrique du Sud sous un Mandat de la Société des Nations, de type C[10]. La population allemande devient moins importante dans la période d'après-guerre.

À la suite de la crise économique mondiale des années 1930, et de nouveau après 1955, de grands projets sont réalisés comme l'asphaltage des routes et la construction de barrages et de pipelines pour répondre à la demande croissante en eau. Un certain nombre d'écoles et d'hôpitaux sont également construits. Beaucoup de ces projets sont réalisés par des travailleurs recrutés dans l'Ovamboland, une région du nord, proche de la frontière avec l'Angola. Après consultation avec l'administration du Sud-Ouest africain, mais sans consultation de la population locale, le gouvernement sud-africain, qui commence à mettre en place l'apartheid sur le territoire, décide de créer de nouvelles banlieues dans le nord-ouest de la ville et de reloger tous les habitants noirs de leurs quartiers résidentiels. Cette décision provoque des manifestations et des émeutes dans la première quinzaine de , avec plus d'une dizaine de morts au sein de la population noire, dont une femme, Anna Mungunda[4],[11],[12].

Ces événements, qui sont entrés dans l'histoire comme le soulèvement de Old Location (nom de l'ancien quartier vidé de sa population noire), ont été un point crucial dans l'histoire de la Namibie. De nombreux dirigeants comme Sam Nujoma, Moses Garoëb, ou encore Clemens Kapuuo y ont participé. Ces événements ont constitué une raison majeure, pour une partie de la population, de se libérer de la domination étrangère et d'acquérir son indépendance. Sam Nujoma est arrêté à la suite du soulèvement, puis contraint à l'exil. La SWAPO est fondée en 1960[11].

Immédiatement après le soulèvement, entre trois et quatre mille habitants quittent leurs maisons par crainte de nouvelles émeutes policières. Les structures de la vie sociale de l'ancien quartier, Old Location, sont détruites jusqu'à sa fermeture définitive en 1968, pour devenir le nouveau quartier de Hochland Park. La nouvelle banlieue noire au nord-ouest de Windhoek prend le nom de Katutura.

En 1961 et 1963, les petits chantiers navals de Klein Windhoek et de Pokkiesdraai sont fermés et la politique d'apartheid du gouvernement se poursuit sans relâche[13].

Conformément aux négociations de la conférence de la Turnhalle (1975-1977), un parlement est élu au suffrage universel en 1978, l'apartheid aboli en 1979 et un gouvernement autonome mis en place en 1980.

Avec l'indépendance effective de la Namibie, obtenue en 1990, Windhoek demeure la capitale du nouvel État et le siège du premier gouvernement indépendant, sous l'égide de Sam Nujoma. Dès 1990, l'avenue principale de Windhoek, la Kaiserstrasse, est rebaptisée Independence Avenue[14]. La ville est alors toujours très ségréguée, la majorité de la population résidant dans le township de Katutura. Le nouveau maire, élu en 1992, est Björn von Finckenstein.

L'indépendance du pays donne également à la ville un nouvel élan et un taux de croissance démographique important.

Géographie et démographie

Située à 1 650 m d'altitude, la ville et son agglomération comptent 431 000 habitants (2022). Les blancs et les métis (basters en Namibie) forment 33,3 % de la population.

Depuis 1981, l'évolution démographique de Windhoek a été :

19811991200120112016
96 057147 056233 529325 858395 000
2020----
431 000----
Sources[15],[16]  :

On y distingue le centre-ville, les quartiers principalement blancs, le quartier métis de Khomasdal et le township noir de Katutura où vivent la majorité des habitants de la ville.

Située au centre du pays, Windhoek est la porte d'entrée des touristes au carrefour des routes se dirigeant vers Swakopmund et les dunes du désert du Namib à l'ouest, vers le parc d'Etosha au nord, et vers Fish River Canyon et Lüderitz au sud.

Climat

Windhoek est située dans une région semi-désertique. Les journées d'été sont très chaudes mais les nuits fraiches.

Les mois printaniers de juin, juillet et août sont les moins pluvieux.

Moyenne mensuelle des plus hautes et basses températures
MoisJanFévMarAvrMaiJuinJuilAoûSepOctNovDéc
Temp. les plus hautes °C312928262321212427293031
Temp les plus basses °C18171613977912151617
Precip (mm)7880793871113122742

Transport

La gare ferroviaire de Windhoek.

Deux autoroutes transafricaines traversent Windhoek:

Les trois principales routes d'accès à Windhoek sont celles passant par Rehoboth, Gobabis et Okahandja.

La gare de Windhoek relie la ville au chemin de fer.

Windhoek dispose de deux aéroports.

L'aéroport international Hosea Kutako de Windhoek, est situé à 42 km à l'Est de la ville. Il est accessible par des vols directs à partir de Londres, Paris, Francfort, Munich, Luanda et Johannesbourg et quotidiennement desservi par les compagnies South African Airways, LTU et Air Namibia.

L'aéroport d'Eros de plus faible capacité traite les vols de courte distance et les vols charters.

Architecture

Vue en 1996 depuis l'entrée de l'Alte Feste sur l'église luthérienne et la statue du Cavalier allemand du Sud-Ouest.
Autre angle de vue en 2017 sur l'église luthérienne et sur le nouveau monument de l'indépendance (qui a remplacé la statue du Cavalier allemand).

L'artère principale qui va du nord au sud est Independence Avenue (plus connue pendant 100 ans sous le nom de Kaiser-Strasse) et croise au centre de la ville l'artère secondaire, Sam Nujoma Drive (ancienne Curt von François). En 1928, Kaiser Strasse fut la première rue pavée de la capitale suivie 10 ans plus tard par Gobabis road.

Independence Avenue et la rue piétonne Post Str. concentrent les boutiques et les restaurants du centre ville (Gatheman Haus).

Tout proche, sur Robert Mugabe Av. (ex-Leutwein Strasse), L'église luthérienne de Windhoek (1910), véritable symbole de la capitale namibienne, domine la ville au côté du vieux fort allemand (Alte Feste) et de la statue équestre du cavalier du Sud-Ouest (Reiterdenkmal) datant de 1912. Aussi proche, le Tinten-Palast (1913) est le siège du parlement et du gouvernement. Plusieurs statues sont disséminées dans la ville dont celles de Curt von François (1965) et de chefs tribaux, anticolonialistes ou anti-apartheid comme Hendrik Witbooi, Hosea Kutako et Theofilus Hamutumbangela.

Dans les environs immédiats se succèdent des villas coloniales de type allemand (villa Lanvers), la cathédrale Ste Mary et la vieille gare de la ville.

Politique et administration

Administration municipale

La ville est dirigée par un conseil de quinze membres élus au suffrage universel. Depuis les élections des 26 et , le conseil comprend onze membres de la SWAPO, trois du RDP et un de la NUDO. Depuis les élections municipales de , la ville est dirigée par une coalition de 5 partis d'opposition à la SWAPO[17]. Job Amupanda, élue sous les couleurs de Affirmative Repositioning, un mouvement issu de la SWAPO et affilié à la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique, a été élue maire de la ville le .

Liste des maires

1909–?Gustav Voigts (1866-1934)
1911–1916Peter Müller (1873-1934)
1916–1920Johann Robert Schmalz (1871-1940)
1920–1922Peter Müller
1927–1928Joseph Wood
1928-1939John Christian Theodor Meinert (1886-1946)
1941-1946Marie Elizabeth May Bell
......
1954–1955Willem Hendrik Immelman
1956–1957Hermanus Johannes Steyn
1957–1961Jacobus van Deventer Snyman
1961–1963Stefanus Johannes Spies
1963–1965Jack Louis Levinson
1965–1968Samuel Davis
1968-1969Con Katzke
1969–1971Joachim Bernhard Hermann von Prittwitz und Gaffron (1929-2013)
1971-1973J.J. Botha
1974–1976Ernst Guenter Erich Kaschik
1976-1978A.G.C. Yssel
1978-1979J.van Taak
......
1988–1990Abraham Bernard May
1990-1992Petra Hamman (1935-2010)
1992-1993Björn von Finckenstein (1958–2021) (SWAPO)
1993Matheus Shikongo (SWAPO)
1994-1999Björn von Finckenstein (1958–2021) (SWAPO)
1999-2000Immanuel Ngatjizeko (SWAPO)
2000-2010Matheus Shikongo (SWAPO)
2010-2012Elaine Trepper (SWAPO)
2012-2014Agnes Kafula (SWAPO)
2014-2019Muesee Kazapua (SWAPO)
2019-2020Fransina Kahungu (SWAPO)
2020-2021Job Amupanda (AR)
2021-2023Sade Gawanas (LPM)
depuis Joseph Uapingene (NUDO)

Enseignement supérieur

L'Université de Namibie a été fondée en 1992.

Lieux de culte

Parmi les lieux de culte, il y a principalement des églises et des temples chrétiens : Église évangélique luthérienne en Namibie (Fédération luthérienne mondiale), Église évangélique luthérienne en République de Namibie (Fédération luthérienne mondiale), Baptist Convention of Namibia (Alliance baptiste mondiale), Assemblées de Dieu, Archidiocèse de Windhoek (Église catholique) [18]. Il y a aussi des mosquées musulmanes.

Odonymie

Le Reiterdenkmal ou Rider Memorial inauguré en 1912 pour commémorer la victoire de la troupe coloniale allemande lors de l'insurrection des Hereros et des Namas. Il est considéré comme le monument le plus photographié de Windhoek avec l'église luthérienne.

Depuis 1990 et l'indépendance, de nombreuses rues de Windhoek ont été rebaptisées. Voici la liste des principaux changements intervenus :

Noms historiques (avant 1990)Nouveaux noms adoptés depuis l'indépendance (après 1990)
Kaiser Strasse
P.A. De Wet Str.
Independence Avenue
Gammans Road
Khomas Hochland
Curt von François
Gobabis Road
Dan Viljoen[19]
Sam Nujoma Drive
Attie Potgieter Str.Willibald Kapuenen Str.
Ausspannplatz garten
Ausspannplatz Str.
Agostinho Neto garden et street
Auswartz Str.Moses Garoëb street
Babs Str.Dr Marcus Garvey[20] Str.
Bach Str.Dr. Kuaima Riruako[21] Str.
Bismarck Str.Simeon Lineekela Shixungileni Street
Bülow[22] Str.Frans Indongo Street[23]
Charl Marais Str[24].Hendrik Witbooi Drive
De Jager Str.
Dinter Str[25].
Olof Palme Str.
Fanie du Plessis Str[26].Seán McBride Str.
Frieden Str.Anton Lubowski Str[27].
Gloudina StreetJoseph Mukwayu Ithana Street[28]
Gold Str.Michelle McLean[29] Str.
Göring str.Daniel Munamava Street[30]
Hochland roadDavid Hosea Meroro road[31]
Jaguar Str.
Central Avenue
Shanghai Str.
Joan Harrison Str.
Leutwein St
Robert Mugabe Road
Kalk Str.A.B. May Str.
Klein Windhoek RoadNelson Mandela Drive
Koriaxab St.Peter Nanyemba[32] St.
Krupp Str.Andimba Toivo ya Toivo[33] Str.
Lazarett Str.Julius Nyerere[34] Str.
Louis Botha Av.Axali Doeseb Str[35].
Luderitz St.Johannes Karuaihe[36] Str.
Mission Road
Gewers Street
Ludwigsdorf St.
Kwame Nkrumah[37] Str.
Makalanie StEliazer Tuhadeleni[38] St.
Malcolm Spence[39] Str.Moses Tjidendero[40] Str.
Monte Christo roadEneas Peter Nanyemba Road [41]
Neser Str.Rev Michael Scott[42] St.
Okahandja road
TV More
Hosea Kutako Avenue
Otjomuise roadWinnie Madikizela Mandela Road
Paul Kruger Str.Christa Davids Str.
Peter-Müller Strasse[43]Fidel Castro Avenue
Pioneer RoadBernt Carlsson road[44]
Populier str.Laurent Désiré Kabila St.
Rand St.
Pool Str.
Hostel Str.
Hans-Dietrich Genscher Str.
Republiek Road
Tal Street
Gamsberg Rd
Mandume Ndemufayo Avenue[45]
Reginald Walker StreetJason Hamuntenya Ndadi str. (Hamuntenya Wanahepo Ndadi)[46]
Sabbat Str.Clemens Kapuuo Str.
Smith Str.Anton Lembede Street[47]
Sterling Str.Mahatma Gandhi Str.
Storch Str.Jackson Kaujeua St[48].
Stübel[49] Str.Werner List Street[50]
Trinitatis Str.Paul Mogagabe St.
Uhland Street.Dr Kenneth David Kaunda Street[51]
Volk Str.Hanganee Katjipuka Kavezeri St[52].
Zenobia Str.Philip Shiimi St[48].

Jumelages

Jumelages et partenariats de Windhoek.
Jumelages et partenariats de Windhoek.
VillePaysPériode
Berlin[53],[54],[55] Allemagnedepuis le
Brazzaville République du Congo
Brême[56],[57],[53] Allemagnedepuis le
Douala Cameroun
Gaborone[53] Botswanadepuis le
Harare Zimbabwe
Johannesbourg[53] Afrique du Suddepuis le
Kadoma[53] Zimbabwedepuis
La Havane[53] Cubadepuis le
Nankin[58],[59],[53] Chinedepuis le
Otjiwarongo Namibie
Richmond[59],[53] États-Unisdepuis le
San Antonio[60],[61],[59],[53] États-Unisdepuis le
Shanghai[53] Chinedepuis le
Trossingen Allemagne
Vantaa Finlande
Wetzlar Allemagne

Personnalités liées à la ville

Notes et références

Voir aussi

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Bibliographie

  • (de + en + nl) N. Mossolow, Windhoek damals / Die Windhoek van weleer / This was old Windhoek, SWA, 1965, 143 p.
  • (en) Rolf Brockmann et Gunther Christoph Dade, Katutura : excursions into Windhoek's township, Klaus Hess Verlag, Windhoek, Göttingen, 2006, 183 p. (ISBN 978-3-933117-03-8)
  • (en) Ferdinand Lempp, Windhoek: 40 photos, Afrika-Verlag, Windhoek, 1957
  • (en) Christine Marais, Windhoek: our heritage, Gamsberg, 1986, 80 p. (ISBN 9780868482606)
  • (en) Marion Wallace, Health, power and politics in Windhoek, Namibia, 1915-1945, P. Schlettwein Publ., Bâle (Suisse), 2002, 312 p. (ISBN 978-3-908193-11-1) (texte remanié d'une thèse de doctorat de Sciences Humaines, University of London, 1997)
  • (en) Helmut Zur Strassen, Windhoek, Purnell, Le Cap, New York, 1975, 46 p.
  • (fr) Elisabeth Peyroux, Windhoek capitale de la Namibie : changement politique et recomposition des périphéries, Karthala, Paris ; IFRA, Johannesbourg, 2004, 373 p. (ISBN 2-84586-486-8) (texte remanié d'une thèse de doctorat de géographie, Paris-10, 2000)
  • (fr) Christophe Sohn, Changement gestionnaire et recompositions urbaines post-apartheid : la question foncière à Windhoek (Namibie), université Louis-Pasteur, Strasbourg, 2003, 733 p. (thèse de doctorat de géographie)

Liens externes

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