Signifie « Terre de la Reine ». L’état doit son nom à la reine Victoria qui signa le la proclamation séparant le Queensland de la Nouvelle-Galles du Sud.
Nommé d'après l'explorateur néerlandaisAbel Tasman, qui fut le premier Européen à apercevoir l'île le .
Tasman la nomma Anthony van Diemensland d'après son mécène Antonio van Diemen, le gouverneur des Indes orientales néerlandaises. Le nom fut plus tard raccourci en Van Diemen's Land par les Britanniques. Elle fut finalement renommée en honneur de son premier découvreur européen, le .
La découverte de l'île Heard a été attribuée au capitaine John Heard, un chasseur de phoques américain voyageant sur l’Oriental entre Boston et Melbourne, le , même si la première personne à avoir aperçu de façon probable l'île serait Peter Kemp, un chasseur de phoques britannique, le .
Le capitaine William McDonald à bord du Samarang découvre les îles McDonald le .
En référence à la plus basse altitude de cette partie du territoire originel de l'Autriche, par opposition à la Haute-Autriche.
Autriche est la forme latinisée de l'allemand Österreich qui est une traduction du latinMarchia Orientalis « Frontière de l'Est » au dialecte local de l'époque. Marchia Orientalis est le nom d'une préfecture de l'Est du duché de Bavière créée en 976.
Le nom initial était Vierburgenland « Pays des quatre châteaux », en liaison avec les quatre comitats hongrois de Bratislava, Moson, Sopron et Vas. Après la cession de Sopron à la Hongrie en 1922, le préfixe numérique Vier- « quatre » a été abandonné.
Le nom serait étymologiquement relié à la principautéslave antérieure de Carantanie (VIIe-IXe siècles). Le nom Carantanie tire son origine dans une langue antérieure à la langue slave. On pense que Carant proviendrait de la racine pré-Indo-Européennekarra qui signifie « Roche ».
La seconde possibilité serait que le nom provienne d’une origine celtique dérivée du mot karantos et signifiant « Ami, allié ».
Signifie « en face de l'Arlberg », cette dernière étant une montagne (Berg) qui est couverte de pins de montagne (Arle suivant un terme local allemand).
En raison de sa localisation : la région occupe le sud de la partie continentale du territoire danois.
Danemark vient du nom danoisDanmark, signifiant « frontière des Danois », le principal peuple y habitant depuis l'Antiquité. L'origine du nom de la tribu pourrait dériver de la racine proto-indo-européennedhen « bas » ou « plat », en référence à la basse altitude de la plus grande partie du pays.
La région a pris le nom danois de la plus grande île du Danemark, Seeland, même si elle n'intègre qu'une partie de celle-ci et incorpore d'autres îles (Lolland, Falster...).
L'explorateur portugais Ferdinand Magellan (le premier Européen à avoir vu les îles, en 1521), les nomma Islas de los Ladrones « îles des voleurs ». En 1668 le missionnaire jésuite San Vitores change le nom en Las Marianas en honneur de Marie-Anne d'Autriche, veuve du roi Philippe IV d'Espagne.
Christophe Colomb nomme l'île San Juan Bautista en honneur de saint Jean-Baptiste en 1493. Les autorités coloniales espagnoles fondent une capitale appelée Puerto Rico « port riche ». Pour des raisons aujourd'hui inconnues, l'île et la capitale ont échangé leurs noms au moins vers les années 1520.
Nommé en honneur de Michael Baker, natif de New Bedford (Massachusetts), qui déclara l'avoir découverte en 1832 (annonce postérieure à sa vraie découverte en 1818 par le captaine Elisha Folger).
L'île a été nommée d'après les propriétaires (Edward, Thomas et William Jarvis) du navire britannique Eliza Francis par son commandant, le capitaine Brown, qui découvrit l'île.
En 1504 Christophe Colomb, alors isolé sur la Jamaïque, envoie quelques-uns de ses marins à l'île d'Hispaniola pour y demander de l'aide. Ils débarquent sur cette île, mais n'y trouvent pas d'eau. Ils l'ont nommée Navaza, de nava-, signifiant « plaine » ou « pré » en espagnol. Les marins éviteront l'île pour les 350 années suivantes.
Nommé d'après le navire Palmyra, qui appartenait au capitaine américain Sawle. Il se réfugie sur l'atoll le et est considéré comme la première personne à y avoir débarqué.
Du nom du capitaine britannique William Wake, qui découvre l'atoll en 1796 sur le navire Prince William Henry (quoi que l'explorateur espagnol Álvaro de Mendaña pourrait l'avoir découvert en 1568).
L’étymologie la plus courante du mot Aquitaine (aqu-itan-ia /akwitania/) consiste à en faire un mot parent du latinaqua (eau), ce qui en ferait le « pays des eaux ».
Le terme Limousin est le résultat moderne de l’occitanlemosin, lui-même issu de Lemovices, nom du peuple gaulois installé depuis le IIIe siècle av. J.-C., au moins, dans cette région.
Le nom Normandie est dérivé du terme normand, avec le suffixe d'origine latine-ie (cf. Germania « Germanie », Italia « Italie », etc.). Normand est lui-même un emprunt au francique*nortman ou au vieux norroisnorðmaðr, qui signifient tous deux « homme du Nord ».
Des autochtones Amérindiens qui appelaient le pays Guiana, signifiant « terre de nombreuses eaux », faisant référence aux nombreuses rivières et fleuves de la région.
Quand Christophe Colomb débarque sur l'île en 1502, il la nomma en l'honneur de Saint Martin. Il avait navigué près de l'île en 1493 mais n'y avait pas débarqué.
L'île a souvent changé de nom dans son passé, mais le nom Réunion est associé à l'île pour la première fois en 1793 dans un décret de la Convention nationale française. Le nom commémore l'union des révolutionnaires de Marseille avec la Garde nationale à Paris le .
Elles tiennent vraisemblablement leur nom de leur apparence « glorieuse ». Un Français, Hippolyte Caltaux, arrive sur les îles en 1880 et établit une plantation de cocotiers et maïs sur l'île Grande Glorieuse.
Le capitaine anglais James Cook nomme les îles en 1774 d'après le nom latin pour l'Écosse, Caledonia, parce que les montagnes qu'il y vit lui rappelait celles de ce pays.
Le terme géographique « Polynésie » signifie « beaucoup d'îles », formé à partir des racines grecques πολύ (polý), « beaucoup » et νῆσος (nēsos), « île ».
Originellement appelé « les Onze Mille Vierges » par l'explorateur portugais João Álvares Fagundes en 1521. Les Français nomment les îles en honneur de Saint Pierre. Miquelon vient du basque et signifie Michel (peut-être en honneur de Saint Michel). En 1579 les cartes de Martin de Hoyarçabal publient pour la première fois les noms Micquetõ et Micquelle. Le nom évolue à Miclon, Micklon et finalement Miquelon.
De la langue tokelau pour « nord » ou « septentrional », décrivant la position des îles par rapport à Samoa. Les habitants de Tokelau étaient à l'origine des colons samoans.
Niu signifie probablement « noix de coco », et é « regardez ». Selon la légende, les explorateurs polynésiens qui colonisent l'île ont su qu'ils se rapprochaient de la terre quand ils ont vu une noix de coco flottant sur l'eau du Pacifique. Par coïncidence, il y a également une certaine similitude avec les mots germaniques niew, nieu, niewe, niue, nieue, niewe, nieuw, nieuwe, niuewe, niuew, new et le latin neo (« nouveau »).
Il existe deux possibilités. La première relate qu'en 1499 l'explorateur espagnol Alonso de Ojeda a nommé l'île « Oro Hubo » (« il y avait de l'or » en espagnol). La seconde cite le mot amérindienarawakoibubai, ce qui signifie « guide ».
Le suffixe norrois-ey signifie « île » et est souvent utilisé dans les parties d'Europe du Nord où les hommes du Nord se sont établis. La signification de la première partie du nom de l'île reste un mystère. Parmi les théories : du norrois jarth « terre » ou jarl « comte », ou un nom, Geirr, donc « île de Geirr ». L'écrivain américain William Safire suggère que le Jers dans Jersey pourrait être une corruption de César[10].
De anguille, dû à sa forme étirée. Les circonstances de sa découverte par un Européen et son appellation sont incertaines : Christophe Colomb (1493) ou des explorateurs français (1564)[11].
Christophe Colomb découvre les îles en 1503 quand les vents font dériver ses caravelles du Panama à l'île de Hispaniola. Il appelle les îles Las Tortugas (« les tortues » en espagnol) dû aux nombreuses tortues. Vers 1540, les îles sont nommées Caymanas, du mot karib pour les caïmans trouvés sur les îles.
Le le capitaine anglais James Cook débarque sur l'île principale de cet archipel et la nomme « Isle of Georgia » en honneur du roi Georges III du Royaume-Uni. Il nomme les îles Sandwich du Sud en honneur de John Montagu, 4e comte de Sandwich, alors premier lord de l'Amirauté, qui avait aidé à financer les explorations de Cook. Le mot « Sud » a été ajouté pour les distinguer des îles Sandwich (aujourd'hui Hawaï).
Corruption de l'arabe جبل طارق (Jebel Tariq), « montagne de Tariq », nommé en honneur de Tariq ibn Ziyad, un Berbère qui y arrive en 711 pour lancer l'invasion maure de la péninsule ibérique.
Les marins français qui fréquentaient l'île pendant les années 1690 venaient de Saint-Malo, d'où Malouines. Le nom espagnol est Islas Malvinas.
Le nom anglais, vient du capitaine anglais John Strong, qui nomma le détroit des Falkland entre les deux îles principales quand il y est arrivé en 1690 ; le terme sera ensuite utilisé pour tout l'archipel. Il avait choisi Falkland en honneur d'Anthony Cary, Ve vicomte de Falkland, Premier Lord de l'Amirauté, dont le nom était également celui de la résidence de sa famille, le Palais de Falkland en Écosse.
Îles Sebald est un nom qui n'est presque plus utilisé. Il commémore Sebald de Weert, généralement crédité d'être le premier Européen à avoir découvert les îles en 1598. Le nom Islas Sebaldas est utilisé de nos jours en espagnol pour les îles Jason (la partie nord-ouest de l'archipel).
Christophe Colomb nomme l'île Santa Maria de Montserrate en passant tout près en 1493 parce qu'elle lui faisait penser à la montagne de Montserrat en Espagne. « Montserrat » lui-même vient du catalan pour « montagne en dents de scie ».
Le capitaine Philip Carteret sur le HMS Swallow nomme l'île principale Pitcairn's Island en honneur de Robert Pitcairn, un marin de l'expédition qui, le premier, vit cette terre en .
Du nom du peuple des Adyguéens, dont l'étymologie habituellement admise viendrait des deux termes adyguéensatté « hauteur » et ghéi « mer », caractérisant un peuple habitant un pays de montagne, proche de la mer[12],[13],[14].
Le nom russe vient de l'ancien village d'Angoucht, rebaptisé Tarskoïe en 1859 et qui a été rattaché à l'Ossétie du Nord en 1944, complété du suffixe géorgien-eti « terre ».
Le mot ingouche ghalghaï pourrait signifier « constructeur » ou « résident des tours ». Il pourrait aussi venir du nom d'une divinité vainakh appelée Gela ou Gala[15].
Nommé d'après le village d'Appenzell, dont le nom vient du latin abbatis cella, signifiant « la retraite de l’abbé », en référence à une résidence secondaire de l'abbé de Saint-Gall[16].
Le canton d'Appenzell était divisé en rhodes, subdivisions jouant un rôle judiciaire et économique. Lors de la séparation du canton en deux demi-cantons en 1597, Appenzell Rhodes-Extérieures fut formé à partir des six rhodes de l'ancien bailliage de Trogen, à majorité protestante.
Le nom français, Argovie, est une déformation du nom allemand Aargau qui signifie « pays de l'Aar ». Le terme « pays » (Gau en allemand) désignant ici une subdivision de l'Empire carolingien.
Du nom de la ville de Berne, chef-lieu et principale ville du canton, dont le nom vient de l'allemand Bär[e]n (« Ours »). Ce nom aurait été donné par le duc Bertold V de Zähringen qui a fondé la ville en 1191[17].
Du nom de la ville de Bâle, chef-lieu et principale ville de l'ancien canton de Bâle qui a été séparé en deux demi-cantons en 1833 à la suite d'une guerre civile, dont l'un regroupait les terres situées à la campagne (Landschaft en allemand).
L'origine du nom de Bâle (Basel en allemand) est traditionnellement associé au grec βασιλεύς basileus (« roi ») or βασίλειος basileos (« du roi »).
Du nom de la ville de Fribourg, chef-lieu et principale ville du canton, dont le nom vient directement de l'allemandfrei (« libre ») et burg (« ville »), soit littéralement « ville libre », c'est-à-dire disposant de libertés, de franchises.
Du nom du massif du Jura qui occupe la totalité du canton. Le nom du massif vient du celteJor, transformé par les Romains en Juris, qui signifiait « forêt » ou « pays de forêts ».
Du nom de la ville de Neuchâtel, chef-lieu et principale ville du canton, dont le nom signifie « château neuf », en référence au château érigé à la fin du Xe siècle sur un promontoire rocheux.
Le canton d'Unterwald (dont le nom signifie en allemand « situé dans la forêt ») a regroupé plusieurs entités dont le canton actuel de Nidwald sous le nom Unterwalden nit dem Kernwald puis Unterwalden nid dem Wald « Unterwald au-delà de la forêt ».
L'actuel canton est une entité du canton d'Unterwald, décrit comme Unterwalden ob dem Kernwald puis Unterwalden ob dem Wald « Unterwald en deçà de la forêt ».