13 – : retrait du front et transport par V.F. vers Minorville : repos. À partir du 19, transport par V.F., de la région de Toul, dans celle de Conty, puis mouvement, par la région de Villers-Bretonneux, en direction de Bray-sur-Somme.
2 – : retrait du front et mouvement par étapes vers Saint-Pol. À partir du , transport par V.F. et par camions de Saint-Pol à Bailleul, puis, mouvement vers Vlamertinge.
– : mouvement vers le front et occupation d’un secteur vers Poëlcappelle et la voie ferrée d’Ypres à Roulers[3].
16 – : retrait du front (relevé par L’A.W.), et transport par V.F. de la région Bergues, Cassel, au nord-est de Saint-Pol.
– : transport par camions vers le front, et, à partir du 24, occupation d’un secteur vers l'Écurie[Laquelle ?] et Neuville-Saint-Vaast (élément en secteur dès le 20).
– : retrait du front et mouvement vers le sud-est de Vitry-le-François. À partir du , transport par V.F. dans la région Vézelise ; repos et instruction. À partir du , repos et instruction au camp de Saffais.
– : mouvement vers le front et occupation d’un secteur entre Armaucourt et Bezange-la-Grande, réduit à gauche, le , jusque vers Brin.
12 – : retrait du front ; transport par V.F. au nord de Saint-Dizier, repos.
5, 6 et : violentes attaques allemandes à Haucourt, à Béthincourt, aux ouvrages de Palavas et de Vassincourt ; repli et organisation du front la Hayette, corne sud-est d’Avocourt.
– : retrait du front et repos au sud de Revigny. À partir du , transport V.F. dans la région de Conty et d’Ailly-sur-Noye ; repos. À partir du , repos vers Quevauvillers.
– : mouvement vers le front, et, à partir du , occupation d’un secteur entre la Somme et le bois de Maricourt. À partir du 1er juillet, engagée dans la bataille de la Somme :
1er juillet : attaques françaises sur Curlu. Pertes 250 soldats la même journée.
13 – : retrait du front et repos dans la région de Vaire-sous-Corbie.
– : mouvement vers le front ; engagée à nouveau dans la bataille de la Somme, vers Maurepas et le nord de Curlu.
, : attaques françaises sur Maurepas.
– : retrait du front, et, à partir du , transport par V.F. dans la région du Tréport ; repos et instruction. À partir du , mouvement par étapes vers l’est et repos à l’est d’Amiens.
– : mouvement vers le front et occupation d’un secteur entre le sud de Sailly-Saillisel et le nord-est de Rancourt.
– : retrait du front (relève par l’armée britannique) et transport par V.F. dans la région de Blainville-sur-l’Eau ; repos[6]. À partir du , mouvement vers le front, et, à partir du 17, occupation d’un secteur vers Brin et l’est de Nomeny.
– : engagée dans la bataille du Chemin des Dames. Prise de Braye-en-Laonnois ; combats vers les fermes Malval et Froidmont. Puis organisation des positions conquises vers le canal de l’Aisne et la ferme Malval
5 - : attaque et progression sur les pentes nord du plateau du Chemin des Dames.
– : mouvement vers le front, et, à partir du , occupation d’un secteur vers Limey et l’étang de Vargévaux.
– : retrait du front ; repos et instruction vers Nancy. À partir du , mouvement vers le camp de Saffais ; repos et instruction, puis travaux. À partir du , repos vers Nancy. À partir du , transport par V.F. dans la région de Revigny. Repos et travaux dans celle de Bar-le-Duc.
– : transport par V.F. dans les Flandres ; mouvement vers Quaëdypre, Crombeke et Roulers, puis vers le front. Engagée dans la 2e bataille de Belgique. Prise de Nazareth, puis franchissement du canal latéral à l’Escaut; combat de Soevergem, à la fin d’octobre, passage de l’Escaut.
10 – : retrait du front ; repos dans la région de Thielt.
1re demi-brigade de chasseurs (CCS +12BCA 14 BCA 25 BCA)
Artillerie : 28e régiment d’artillerie (3 groupes, chacun à une batterie de commandement et 3 batteries de tir)
63e bataillon de génie
Train 502e groupe de transport
Matériel 61e compagnie de réparation de division d’infanterie
etc.
Elle est articulée en trois groupes mobiles comptant chacun un RI ou DBCA avec un groupe d'artillerie, un détachement de transmissions et une antenne chirurgicale mobile : GM 111, GM 211, GM 311.
La division de fer est reformée le , sous les ordres du général de brigade Fayard, son PC est à Besançon. Elle rejoint la Tunisie dès le [réf. souhaitée].
(fr) Ministère des Armées, État-Major de l'Armée de Terre, Service Historique, Inventaire sommaire des archives de la Guerre 1914-1918, Imprimerie « LA RENAISSANCE » — TROYES - Dépôt légal : 4e trimestre 1969 — No 19.982
AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).