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La fosse Saint Louis de la Compagnie des mines d'Aniche à Somain a été commencée en 1843. L'extraction cesse en 1924, le puits profond de 606 mètres est serrementé en 1925.

Le sommet du terril n^o 74, 11 - 19 de Lens Est, culmine, comme son voisin le terril n° 74A, 11 - 19 de Lens Ouest, à 146 mètres par rapport au niveau du sol.

Carte du Bassin minier du Boulonnais représentant toutes les fosses ouvertes de l'origine jusque 1904. Les puits d'aérages ne sont pas indiqués.

Le chevalement du puits n^o 3 - 4 de la Fosse Arenberg de la Compagnie des mines d'Anzin à Wallers a été construit après la Nationalisation par le Groupe de Valenciennes. La banderole installée sur le bâtiment d'extraction fait référence à l'arrivée de la 3^e étape du Tour de France 2010 sur le carreau de fosse le 6 juillet 2010.

La fosse Bonne Part de la Compagnie des mines d'Anzin à Fresnes-sur-Escaut vers 1900.

Le chevalement du puits n^o 8 de la fosse n^o 8 - 8 bis de la Compagnie des mines de Dourges provient initialement du puits n^o 3 ter de la fosse n^o 3 - 3 bis - 3 ter des mines de Marles.

La fosse n^o 2 de la Compagnie des mines de Drocourt à Rouvroy après la Première Guerre mondiale.

Un boulet retrouvé sur le terril n^o 144, Rieulay, à Rieulay.

Le transporteur aérien du terril n^o 169, Lavoir de Lourches de la Compagnie des mines de Douchy, sur le territoire de Bouchain.

Sondage de décompression et tête de puits matérialisée de la fosse n^o 10 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle à Leforest.

Chevalements de fonçage de la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de Gouy-Servins et Fresnicourt Réunis à Bouvigny-Boyeffles vers 1909. Le gisement étant trop épars et profond, la fosse est abandonnée, et les puits comblés en 1933.

Le chevalement du puits n^o 2 de la fosse Dutemple de la Compagnie des mines d'Anzin à Valenciennes a été reconstruit dans les années 1920 en béton. Ses jambages sont située par dessus le 1^er puits, ouvert en 1764 et remblayé en 1911.

La fosse de l'Éclaireur de la Compagnie des mines de Douchy à Rœulx a été bombardée durant la Première Guerre mondiale.

La fosse n^o 6 de la Compagnie des mines de Lens à Haisnes a été rachetée en 1873 à la Compagnie des mines de Douvrin, alors en faillite. Elle a été reconstruite dans les années 1920 dans le style architectural des mines de Lens.

Le puits n^o 1 de la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de La Clarence à Divion est, avec ses 1 186 mètres, le plus profond du bassin minier. Le gisement est très grisouteux. La catastrophe du 3 septembre 1912 entraîne la mort de 79 mineurs. La compagnie est alors obligée de creuser un nouveau puits, destiné à l'aérage. Il s'agit alors de la fosse n^o 2, ou Salonique, sise 1 380 mètres au nord-ouest à Calonne-Ricouart.

Vue prise à partir du terril n^o 176, Lavoir Rousseau montrant le terril n^o 174, Sabatier Sud, le chevalement du puits Sabatier n^o 2, le terril n^o 175, Sabatier Nord. Le terril n^o 175A, Sabatier Nord plat, est à peine décelable devant le terril Sabatier Nord.

Vue aérienne de la Fosse Barrois de la Compagnie des mines d'Aniche et son lavoir. La fosse, dirigée par le Groupe de Douai après la Nationalisation, a été complètement modernisée, et dotée de tours d'extraction en béton armé.

La fosse n^o 6 de la Compagnie des mines de Meurchin ouverte en 1904 a été rachetée par la Compagnie des mines de Lens en 1920. Elle est alors reconstruite dans le style architectural des mines de Lens, avec des briques portant le monogramme de la Compagnie. La fosse est abandonnée en 1932.

Le chevalement du puits n^o 1 ter de la fosse n° 1 - 1 bis - 1 ter de la Compagnie des mines de Béthune puis du Groupe de Béthune à Bully-les-Mines, bien que d'architecture unique dans le Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, a été démoli en 1973, deux ans après la fermeture de la fosse, et le remblaiement des trois puits.

Maisons typiques de la Compagnie des mines d'Anzin, cités de la fosse Chabaud-Latour à Condé-sur-l'Escaut.

Le Grand puits de la fosse Saint Pierre de la Compagnie des mines de Thivencelle à Thivencelle est en 1976 exploité par le Groupe de Valenciennes pour les besoins de la fosse Ledoux. Remblayé en 1989, Saint Pierre petit puits a quant à lui été remblayé en 1955.

Têtes de puits matérialisées n^o 1 bis (à gauche) et n^o 1 (à droite) de la fosse n^o 1 - 1 bis - 1 ter de la Compagnie des mines de Béthune à Bully-les-Mines. Le puits n^o 1 ter est situé plus à l'ouest, sur le même carreau.

Le chevalement du puits n^o 7 de la fosse n^o 7 - 7 bis de la Compagnie des mines de Bruay puis du Groupe de Bruay, construit en 1925, a pour particularité d'avoir ses quatre molettes alignées au sommet. Le puits est double compartimenté. Il a été commencé en 1919, pour une mise en service en 1929, alors que le puits n^o 7 bis, destiné à l'aérage, et jamais doté de chevalement, a été commencé le 28 août 1907.

Bâtiment de la machine d'extraction de la fosse Puits du Midi du Groupe de Douai à Sin-le-Noble.

La fosse n^o 1 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle à Roost-Warendin a été la première fosse du nouveau bassin du Pas-de-Calais à être ouverte. Pourtant, elle est située dans le Nord.

Tête de puits matérialisée, et exutoire de grisou, de la fosse n^o 10 du Groupe d'Oignies à Dourges. Elle est la dernière fosse à commencer l'extraction dans le bassin minier, le 23 janvier 1961. L'extraction cesse le 21 décembre 1990, la dernière berline remonte par la fosse n^o 9 - 9 bis. Le puits est remblayé en 1991.

La fosse n^o 2 de la Compagnie des mines d'Ostricourt à Oignies est devenue après la Nationalisation un des principaux sièges de concentration du Groupe d'Oignies.

Vue vers le puits n^o 1 de la fosse De Sessevalle de la Compagnie des mines d'Aniche à Somain.

La fosse de Saint-Saulve de la Compagnie des mines de Marly à Saint-Saulve a fermé ses portes en 1904, cette dernière n'ayant pas eu les moyens de raccorder cette fosse à la fosse Petit, l'Ingénieur en chef des Mines avait interdit tout travaux tant que les deux fosses ne seraient pas reliées, afin que l'aérage soit amélioré et que le grisou ne pose plus problème.

Terril n^o 93, dit 21 Nord de Courrières à Harnes, issu de l'exploitation de la fosse n^o 21 - 22 de la Compagnie des mines de Courrières.

Lorsque la fosse n^o 3 de la Compagnie des mines de Carvin à Carvin a été reconstruite après la Première Guerre mondiale, elle l'a été dans des proportions beaucoup plus modestes.

Le chevalement en briques de la fosse Saint-Quentin de la Compagnie de Bouchain à Bouchain a été construit vers 1840. Le puits se trouve devant la porte, mais étant hors concession, il n'est pas matérialisé.

Le chevalement de la fosse n^o 3 ou Ewbank de la Compagnie des mines de Vicoigne à Raismes a été reconstruit en béton après la Première Guerre mondiale. Le terril de la fosse, n^o 173A, Vicoigne Ouest, n'a jamais été exploité, et est entièrement boisé.

Église Saint-Auguste construite par la Compagnie des mines de Lens dans les cités de la fosse n^o 8 - 8 bis à Vendin-le-Vieil.

Puits n^os 3 et 3 bis de la fosse n° 3 - 3 bis - 3 ter de la Compagnie des mines de Liévin puis du Groupe de Liévin à Éleu-dit-Leauwette. Le puits n^o 3 ter n'est pas visible sur l'image.

Un des bâtiments de la Fosse La Sentinelle de la Compagnie des mines d'Anzin à La Sentinelle a peu après sa fermeture été reconverti en église. La plaque d'égout au premier plan est la tête de puits matérialisée La Sentinelle, foncé en 1818 et serrementé en 1852.

La fosse Renard de la Compagnie des mines d'Anzin à Denain a été reconstruite après la Première Guerre mondiale avec des chevalements en béton armé. Toutefois, la fosse exploitée depuis 1836 cesse d'extraire en 1948. Le chevalement du puits n^o 2 (en arrière plan) est identique à celui encore existant sur le site de la fosse Dutemple à Valenciennes.

Le puits n^o 1 bis, à l'instar du puits n^o 1, de la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de Vimy-Fresnoy à Vimy, n'a été serrementé qu'en 2002. Il s'agit des derniers puits de la région à être rendus inaccessibles.

La fosse n^o 3 - 4 de la Compagnie des mines de Meurchin, puis à partir de 1920, de la Compagnie des mines de Lens, et enfin du Groupe de Lens après la Nationalisation, à Wingles, a nécessité six années de travaux entre 1869 et 1875, et a coûté 1 197 352,37 francs, hors terrains, bâtiments et machines.

Le chevalement du puits n^o 1 de la fosse Ledoux de la Compagnie des mines d'Anzin à Condé-sur-l'Escaut a été conservé, alors que celui du puits n^o 2, identique, a été démoli en 1990-1991.

La fosse n^o 1 de la Compagnie des mines d'Azincourt à Monchecourt a fermé en même temps que la fosse n^o 3 située sur le même carreau en 1936, suite à la faillite de la Compagnie.

Les terrils n^os 74, 74A et 74B, dits 11 - 19 de Lens Est, Ouest et Nouveau, vus depuis le terril n^o 71 de la fosse n^o 2 des mines de Liévin. On peut apercevoir tout à droite de l'image le chevalement et la tour d'extraction de la fosse n^o 11 - 19 des mines de Lens.

La fosse n^o 2 bis - 2 ter de la Compagnie des mines de Marles puis du Groupe d'Auchel à Marles-les-Mines est devenue après la Nationalisation un siège de concentration moderne. Ces travaux ont eu lieu de 1951 à 1955. L'extraction cesse le 29 mars 1974, les puits sont remblayés la même année, et les chevalements détruits en 1977 et 1978.

Une station d'épuration expérimentale a été installée sur le sommet du terril n° 143, Germinies Sud de la fosse Barrois de la Compagnie des mines d'Aniche, à Pecquencourt et Lallaing.

La fosse Beauvois de la Compagnie des mines de Douchy à Lourches a été, comme tant d'autres, bombardée durant la Première Guerre mondiale.

Vue arrière de la fosse n^o 14 bis de la Compagnie des mines de Lens à Loos-en-Gohelle. Le chevalement a été démoli en 2002, à cause de l'aéroport de Lens - Bénifontaine tout proche.

La fosse n^o 9 - 9 bis de la Compagnie des mines de Nœux à Barlin a dès son origine au début du XX^e siècle été équipée de deux chevalements différents.

Le chevalement du puits n^o 2 de la Compagnie des mines de Flines, puis de la Compagnie des mines d'Aniche, et enfin du Groupe de Douai, a été reconstruit dans les années 1920 en béton armé, il était auparavant métallique.

La fosse n^o 3 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle à Pont-de-la-Deûle, un hameau de Flers-en-Escrebieux, était située le long du canal de la Deûle, ce qui lui procurait un avantage non négligeable.

Locomotive circulant autrefois dans les galeries de la fosse n^o 3 de la Compagnie des mines de Béthune à Vermelles.

Chevalement de fonçage de la fosse n^o 4 - 5 de la Compagnie des mines de Drocourt en 1909.

La Compagnie des mines d'Anzin a construit l'église Saint-Waast à Valenciennes près de la fosse Tinchon.

La fosse De Sessevalle de la Compagnie des mines d'Aniche à Somain, à la fin de la Première Guerre mondiale.

Plaque en laiton apposée sur la tête de puits matérialisée n^o 2 bis de la fosse n^o 2 - 2 bis de la Compagnie des mines de Dourges à Hénin-Beaumont. Celle-ci indique le nom du puits, son année de début de fonçage, sa date de serrement ou de remblaiement, le rayon dans lequel toute nouvelle construction est interdite, et enfin, la date à laquelle la tête de puits matérialisée a été mise en place.

La fosse n^o 12 de la Compagnie des mines de Béthune puis du Groupe de Béthune à Annequin n'est qu'un simple puits d'aérage. Foncé en 1909, il est remblayé en 1965, après que la fosse n^o 9, avec laquelle il était jumelé, a fermé le 1^er septembre 1964.

Le chevalement de la fosse n^o 9 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle provient du puits n^o 13 de la fosse n^o 13 - 13 bis du Groupe de Béthune.

La fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de Crespin à Crespin vers 1950, date à laquelle elle cesse toute activité.

Captage de grisou installé sur le puits n^o 1 bis de la fosse n° 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de Gouy-Servins et Fresnicourt Réunis à Bouvigny-Boyeffles. Un large périmètre est inaccessible. Le puits n^o 1 a des installations similaires.

Les deux puits de la fosse Glaneuse n^o 1 à Hardinghem dans le Boulonnais sont commencés le 4 septembre 1888, et sont distants de vingt mètres. La fosse est abandonnée le 1^er novembre 1901. Une fosse Glaneuse n^o 2 a été commencée en 1892 à Réty, à 1 300 mètres à l'ouest de la fosse Glaneuse n^o 1, mais elle est abandonnée le 26 septembre 1897, car il est devenu impossible d'assécher le puits.

Façade principale du bâtiment de la machine d'extraction de la fosse Boca de la Compagnie des mines de Douchy à Douchy-les-Mines.

Sur le site de la fosse Heurteau de la Compagnie des mines d'Anzin, le Groupe de Valenciennes a fait construire la Centrale thermique d'Hornaing.

À côté du chevalement du puits n^o 3 bis de la Compagnie des mines de Lens puis du Groupe de Lens, se dressait jusque 1983 le chevalement en béton armé du puits n^o 3.

Chevalement en béton armé de l'un des deux puits de la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des Charbonnages de Vendin-lez-Béthune à Vendin-lès-Béthune. L'autre chevalement, métallique, a été réutilisé après la fermeture de la fosse en 1930 pour la fosse d'Élinghen, rachetée dans le Boulonnais.

Les têtes de puits matérialisés de la fosse Trois Arbres de la Compagnie des mines d'Anzin à Vieux-Condé sont désignées par des plaques d'égout, en dessous desquelles se trouvent des instrument de mesure. À gauche, le puits Trois Arbres Extraction, foncé en 1750 et serrementé en 1760, à droite, le puits Trois Arbres Épuisement, foncé en 1750, mais serrementé en 1848. La stèle dans la pelouse indique les noms des puits et leurs dates.

La fosse Enclos de la Compagnie des mines d'Anzin à Denain est située le long du canal de l'Escaut.

Terril n^o 75, dit Pinchonvalles, situé à Avion. Il était alimenté principalement par la fosse n^o 6 - 6 bis de la Compagnie des mines de Liévin, située à Angres.

Titre de dix actions de cent francs au porteur de la Compagnie des mines de Bruay, émis en 1939. À cette époque, la capitalisation de la compagnie est de deux-cent-millions de francs, soit 200 000 actions valant cent francs chacune.

Tête de puits matérialisée Agache n^o 1 de la Compagnie des mines d'Anzin à Fenain.

Le chevalement de la fosse Vuillemin de la Compagnie des mines d'Aniche à Masny est quasiment identique aux chevalements des puits Delloye n^os 1 et 2 du Centre historique minier de Lewarde.

Habitations richement décorées dans les cités de la fosse n^o 21 - 22 de la Compagnie des mines de Courrières à Harnes. Les motifs sont créés par l'alternance de briques rouges et blanches.

La fosse de Fléchinelle de la Compagnie des mines de la Lys-Supérieure à Enquin-les-Mines, devenue la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de Ligny-lès-Aire est la fosse, ayant donné lieu à une exploitation, la plus occidentale du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais hors Boulonnais. La fosse ferme le 12 août 1928, mais la Compagnie des mines de Ligny-lès-Aire commence en mai 1929 l'extraction à sa fosse n^o 3, accompagnée du puits d'aérage n^o 3 bis remis en service.

Quelques zones du terril n° 144, Rieulay de la Compagnie des mines d'Aniche à Rieulay et Pecquencourt entrent en combustion, bien que ces monts aient été triés par le lavoir depuis la fin des années 1970. Les bouleaux verruqueux qui y poussent voient alors la base de leur tronc calcinée.

La fosse La Grange de la Compagnie des mines d'Anzin à Raismes en 1976, juste après sa fermeture.

La fosse n^o 12 de la Compagnie des mines de Lens à Loos-en-Gohelle, bien que n'ayant plus son chevalement et sa partie extraction, possède encore la salle de paye, les ateliers, le magasin, le poste de coupure, la salle des bains-douches, le local à benzine et la maison du garde.

Photochrome de la goutte de lait de la Compagnie des mines de Marles à Auchel. Le bâtiment existe toujours.

Le puits n^o 4 bis de la fosse n^o 4 - 4 bis de la Compagnie des mines de l'Escarpelle à Douai a été remblayé en 1952. Il est désormais situé dans le garage d'une habitation.

La fosse Saint Mark de la Compagnie des mines d'Anzin à Escaudain possédait les mêmes chevalements que la fosse Renard de la même compagnie à Denain.

La fosse n^o 9 - 9 bis de la Compagnie des mines de Dourges puis du Groupe d'Oignies à Oignies a été la dernière fosse du bassin minier à fermer, c'était le 21 décembre 1990. La fosse a ensuite servi jusqu'en juin 1991 pour le démantèlement des travaux du fond, et la récupération du matériel.

Les puits de la fosse n^o 7 - 7 bis de la Compagnie des mines de Lens puis du Groupe de Lens à Wingles ne sont distants que d'environ dix mètres.

Le chevalement du puits n^o 2 de la fosse Sabatier de la Compagnie des mines d'Anzin à Raismes provient du puits n^o 1 de la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de La Clarence à Divion.

Le terril n^o 150, Agache de la fosse Agache de la Compagnie des mines d'Anzin à Fenain a été presque intégralement exploité.

Berline près de la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de Vimy-Fresnoy à Vimy.

Quelques exemples de fossiles retrouvés à la fin du XIX^e siècle dans les fosses de la Compagnie des mines d'Auchy-au-Bois.

Habitations d'ingénieurs dans les cités de la fosse Barrois de la Compagnie des mines d'Aniche à Pecquencourt.

Vue aérienne de la fosse Saint-Aybert de la Compagnie des mines de Thivencelle à Thivencelle en 1949, peu après la Nationalisation. Elle fait alors partie du Groupe de Valenciennes.

Le chevalement du puits n^o 1 bis de la fosse n° 1 - 1 bis - 1 ter de la Compagnie des mines de Liévin puis du Groupe de Liévin à Liévin a été conservé, à l'instar du chevalement du puits n^o 3 bis de la fosse n^o 3 - 3 bis de la Compagnie des mines de Lens puis du Groupe de Lens, situé dans la même commune.

La fosse n^o 1 de la Compagnie des mines de Courrières à Courrières est la première fosse à avoir été exploitée dans le Pas-de-Calais hors Boulonnais, c'était en 1849. Très grisouteuse, la fosse sert ensuite à l'aérage, mais surtout aux travaux de recherches. Le puits est abandonné en 1914, et est, après l'avaleresse n^o 5, le second puits abandonné par la compagnie.

Charbonnages de France a au début des années 2000 retrouvé les puits de la fosse Mon Désir de la Compagnie des mines d'Anzin dans l'enceinte de l'école Marcel Caby à Vieux-Condé. Au premier plan, Mon Désir Sud, au second plan, Mon Désir Nord, et en arrière-plan, les exutoires de grisou des deux puits.

La fosse Gayant de la Compagnie des mines d'Aniche à Waziers est devenue, à l'instar de la fosse Barrois, un siège de concentration après la Nationalisation. Toutes deux font alors partie du Groupe de Douai. Le chevalement du puits n^o 1 (à gauche) mesure 45,37 mètres, celui du n^o 2 (à droite), 57,10 mètres. Les corons visibles sur l'image ont depuis été démolis.

Trémies permettant le tri des schistes des terrils n^os 79A, 16 de Lens Ouest et 79, 16 de Lens Est de la fosse n^o 16 de la Compagnie des mines de Lens puis du Groupe de Lens, à Loos-en-Gohelle.

La fosse de Cauchy-à-la-Tour a été ouverte par la Compagnie des mines de Cauchy-à-la-Tour qui fait faillite en 1868, la Compagnie des mines de Ferfay la rachète en 1870 et en fait sa fosse n^o 4, un puits n^o 4 bis est commencé durant la Première Guerre mondiale en 1917, cette dernière est rachetée en 1925 et devient la fosse n° 7 bis - 7 ter de la Compagnie des mines de Marles. Enfin, la fosse est nationalisée en 1946 et fait partie du Groupe d'Auchel, mais l'extraction cesse en 1950, et les puits sont remblayés en 1952.

Le terril n^o 153, Audiffret Sud de la fosse Audiffret-Pasquier de la Compagnie des mines d'Anzin est un des terrils les plus connus du Nord. Le terril n^o 152, Audiffret Nord a été exploité, mais il en subsiste l'assise.

La fosse Boca de la Compagnie des mines de Douchy possédait un terril conique n^o 167, dit Boca. Celui-ci a été complètement exploité lors de la construction de l'autoroute française A2, un bosquet y a pris place.

Vue de la hauteur restante du terril exploité n^o 85, 3 Est de Dourges, de la fosse n^o 3 - 3 bis de la Compagnie des mines de Dourges puis du Groupe d'Hénin-Liétard à Hénin-Beaumont. Il s'agissait auparavant d'un terril conique de très grande taille. Sa superficie reste toutefois importante. Un autre terril, n^o 89, également nommé 3 Est de Dourges, et situé plus à l'ouest, de l'autre côté de la route, n'a pas été exploité, il est totalement base. Il s'agit d'un terril plus ancien, et d'un volume moindre.

La fosse n° 24 - 25 de la Compagnie des mines de Courrières puis du Groupe d'Hénin-Liétard à Estevelles, ici photographiée en 1982, fait partie des dernières fosses fermées du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

Le chevalement du puits n^o 1 de la fosse du Sarteau de la Compagnie des mines d'Anzin est le plus ancien chevalement encore existant dans le Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

La fosse Audiffret Pasquier de la Compagnie des mines d'Anzin possédait à l'origine deux terrils. Le n^o 152, Audiffret Nord (à gauche) a été exploité, et il n'en reste que l'assise. Le terril n^o 153, Audiffret Sud (à droite) est intact.

La fosse n^o 11 - 19 de la Compagnie des mines de Lens puis du Groupe de Lens à Loos-en-Gohelle fait partie avec la fosse n^o 9 - 9 bis des mines de Dourges, la fosse Arenberg et la fosse Delloye, des quatre principaux sites miniers conservés.

Habitations ouvrières de la Compagnie des mines de Dourges à Hénin-Beaumont.

Le lac du terril n^o 144, Rieulay a été creusé au fur et à mesure que le terril était exploité par Tercharnor. Le site de la fosse De Sessevalle est situé en arrière plan.

Puits n^o 1 de la fosse Arenberg de la Compagnie des mines d'Anzin à Wallers vers 1912.

Fleuron en céramique incrusté dans l'axe de chaque maison de l'ensemble de la Pierrette. Celui-ci a été construit en 1916, à Béthune, près de la fosse n^o 11 de la Compagnie des mines de Nœux. Il n'en reste plus que six sur douze.

M^gr Émile-Louis-Cornil Lobbedey, évêque d'Arras, aux funérailles des victimes de la catastrophe survenue en 1912 à la fosse n^o 1 - 1 bis de la Compagnie des mines de La Clarence à Divion.

Monogramme « SHT » pour Société Houillière de Thivencelle, nom alternatif de la Compagnie des mines de Thivencelle. Cette inscription est visible sur les murs de deux corons des cités de la fosse Saint Pierre à Thivencelle.

Carte colorisée extraite de l'ouvrage « Émile Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome II : Histoire de la recherche, de la découverte et de l'exploitation de la houille dans ce nouveau bassin, Imprimerie L. Danel, Lille, 1880, 410 p. », et indiquant les différentes concessions minières établies dans le Nord vers 1880.

Cités de la fosse n° 3 - 3 bis - 3 ter de la Compagnie des mines de Liévin à Liévin.

Le puits n^o 6 bis de la fosse n^o 6 - 6 bis de la Compagnie des mines de Nœux à Labourse a pour particularité d'avoir eu sa machine d'extraction située de l'autre côté d'une route par rapport au chevalement.

La Compagnie des mines de Crespin a bâti à Quiévrechain pour ses fosses n^os 1 - 1 bis et 2 - 2 bis des habitations de style flamand, avec des toitures en ardoises.

La fosse n^o 4 de la Compagnie des mines de Vicoigne à Raismes est également appelée fosse Lebret.

Terril conique n^o 10, 3 de Bruay Ouest, fosse n° 3 - 3 bis - 3 ter de la Compagnie des mines de Bruay à Bruay-la-Buissière.

Groupe de trieuses de la Compagnie des mines de Lens vers 1900.

Habitations des cités de la fosse Gayant de la Compagnie des mines d'Aniche à Waziers en attente de démolition.

La fosse Dutemple de la Compagnie des mines d'Anzin à Valenciennes, ouverte en 1764, possède encore vers 1900 (date de la photographie) deux puits. Le puits n^o 1 est abandonné en 1911, après la Première Guerre mondiale, la fosse ne possède alors plus qu'un puits, qui sera surmonté d'un chevalement en béton armé. Le puits n^o 2 est remblayé en 1949, mais le chevalement a été conservé.

Le chevalement de la fosse n^o 2 de la Compagnie des mines de Marles à Marles-les-Mines date du début du XX^e siècle, puisque la fosse commencée en 1854 a été détruite suite à l'effondrement de son puits le 3 mai 1866, et reprise seulement en 1907.

Jules Gosselet (19 avril 1832 - 20 mars 1916) a publié entre 1904 et 1922 les cinq volumes de l'ouvrage « Les assises crétaciques et tertiaires dans les fosses et les sondages du Nord de la France ».

Détail d'un élément en céramique près de l'entrée de la salle des fêtes des cités de la fosse Arenberg de la Compagnie des mines d'Anzin à Wallers.

La fosse n^o 1 de la Compagnie des mines de Meurchin à Bauvin est située près des limites avec Meurchin.

Habitations des cités de la fosse n° 6 bis - 6 ter de la Compagnie des mines de Marles à Calonne-Ricouart destinées à être démolies.

Une des machines d'extraction de la fosse n^o 2 - 2 bis de la Compagnie des mines de Lens à Lens, au début du XX^e siècle.

Une partie des cités de la fosse n^o 1 de la Compagnie des mines de Meurchin a été construite à Bauvin, dans le département du Nord.

Vue générale des installations de la fosse Notre Dame de la Compagnie des mines d'Aniche à Waziers.

Bâtiment des bains-douches construit en béton armé de la fosse n^o 4 - 4 bis de la Compagnie des mines de Ferfay à Cauchy-à-la-Tour, devenue fosse n^o 7 bis - 7 ter de la Compagnie des mines de Marles. La fosse a été ouverte par la Compagnie des mines de Cauchy-à-la-Tour.

Moulinage du puits n^o 8 de la fosse n^o 8 - 8 bis de la Compagnie des mines de Nœux à Verquin.

Terril n^o 108, 7 d'Oignies, de la fosse n^o 7 - 7 bis de la Compagnie des mines d'Ostricourt à Ostricourt.

La fosse Fénelon de la Compagnie des mines d'Aniche à Aniche fonctionnait en réseau avec les fosses Saint Louis et La Renaissance sises à Somain.

La cité du Château des Dames est une ancienne ferme de Gosnay qui a été rachetée par la Compagnie des mines de Bruay pour y loger ses mineurs de la fosse n^o 1 - 1 bis au début du XX^e siècle.

Albert Olry (1847 - 1913) a notamment écrit « Bassin houiller de Valenciennes, partie comprise dans le département du Nord : Études des gîtes minéraux de la France » en 1886 et « Topographie souterraine du bassin houiller du Boulonnais ou bassin d'Hardinghen » en 1904.

Borne de présence matérialisant le puits n^o 2 de la fosse Ledoux de la Compagnie des mines d'Anzin à Condé-sur-l'Escaut.

Dans les années 1980, le site de la fosse La Naville de la Compagnie des mines de Douchy à Lourches a été réutilisé pour la récupération du grisou dans les anciens travaux via un sondage.

Bien que la fosse n^o 3 de la Compagnie des mines de Carvin à Carvin a été détruite, il subsiste encore en 2011 son transformateur électrique.

Cités de la fosse n^o 8 - 8 bis de la Compagnie des mines de Béthune à Auchy-les-Mines.

Le sondage de décompression de la fosse Sébastopol de la Compagnie des mines d'Aniche a été mis en place sur le site du terril n^o 135, Sébastopol, à Erchin.

La fosse Réussite de la Compagnie des mines d'Anzin à Valenciennes a, comme tant d'autres fosses du bassin minier, été bombardée durant la Première Guerre mondiale.

Vestige de pylône de téléphérique sur le terril n^o 101, Lavoir de Drocourt du Groupe d'Hénin-Liétard à Hénin-Beaumont.

La fosse n^o 11 bis de la Compagnie des mines de Lens à Liévin avant la Première Guerre mondiale, peu après son ouverture. Les cités de la fosse n^o 11 (en arrière-plan) sont encore en construction.

Écoles des cités de la fosse Cuvinot de la Compagnie des mines d'Anzin à Onnaing.

La fosse n^o 1 de la Compagnie des mines d'Azincourt à Monchecourt au début du XX^e siècle avant l'adjonction du puits n^o 3.

Habitation post-Nationalisation construite en bois sur un soubassement en briques dans la cité de la Faisanderie de la fosse n^o 2 de la Compagnie des mines d'Ostricourt à Libercourt.

Louis Belmontet (25 mars 1798 - 14 octobre 1879) a, dans les années 1860, dirigé la Société d'Aix avant qu'elle ne soit reprise par la Compagnie des mines de Liévin.

La Compagnie des mines d'Ostricourt a construit l'église Saint-Jacques dans les cités de la fosse n^o 6 à Ostricourt.

Cités de la fosse Saint-Pierre de la Compagnie des mines de Thivencelle à Thivencelle.

Habitations groupées par quatre en cours de rénovation dans les cités de la fosse n^o 5 - 5 bis de la Compagnie des mines de Bruay à Divion.

Renseignement sur la vente de 1873 à 1879 par la Compagnie des mines de Meurchin. L'ouverture et le développement de la fosse n^o 3 - 4 font augmenter sensiblement la production.

Puits n^os 1 (à droite) et 2 (à gauche) de la Fosse Arenberg de la Compagnie des mines d'Anzin à Wallers.

La fosse Casimir-Perier de la Compagnie des mines d'Anzin à Somain avant la Première Guerre mondiale.

Coron construit par la Compagnie des mines de Ferfay à proximité de la fosse n^o 1 à Auchel.

Fosse n^o 1 de la Compagnie des mines de Ferfay à Auchel vers 1900.

Détails architecturaux sur des habitations des cités de la fosse Ledoux de la Compagnie des mines d'Anzin, à Vieux-Condé.

La fosse n^o 1 de la Compagnie des mines de Vicoigne à Raismes était également nommée fosse Boitelle ou fosse du Prussien.

Chevalement remanié de la fosse n^o 5 de la Compagnie des mines de Meurchin à Billy-Berclau. La compagnie a été rachetée par celle de Lens en 1920 qui a entrepris la reconstruction de cette fosse.

Érouart Fernand, né le 19 septembre 1899 à Carvin, victime du travail le 19 septembre 1928, fosse n^o 4, Compagnie d'Ostricourt, Carvin, Pas-de-Calais, rente journalière : 10,86 francs.

Le mercredi 25 janvier 2012, à onze heures, un incendie s'est déclaré dans une habitation des cités de la fosse Barrois et s'est rapidement propagé aux toitures des trois habitations mitoyennes. Ces habitations groupées par quatre ont été bâties par la Compagnie des mines d'Aniche à Pecquencourt.

Vue de la fosse n^o 8 des mines de l'Escarpelle à Auby après la Première Guerre mondiale.

Plaque apposée sur la façade d'une maison située à côté de l'entrée de la fosse n^o 10 - 10 bis des mines de Lens à Vendin-le-Vieil indiquant : « Chemin particulier de la S^té des mines de Lens, circulation interdite sauf pour l'usage des habitants de la cité en se conformant aux règles de la voirie des mines de Lens ».

État des travaux dans la concession de la Compagnie des mines de Carvin d'après Émile Vuillemin vers 1880. Les sondages sont désignés par des points rouges, les fosses n^os 1, 2 et 3 par des points noirs. La fosse n^o 4 n'existe pas encore.

Partie haute du fronton des ateliers centraux de la Compagnie des mines d'Anzin à Anzin. L'année 1846 est inscrite au sommet de ce fronton, et la girouette rappelle des outils de mineurs.

Des habitations en « demi-lune » ont été bâties près de l'église Notre-Dame des Orages dans les cités de la fosse De Sessevalle des mines d'Aniche à Somain. L'église a été détruite en 1983.

Dans les cités de la fosse n^o 13 - 18 des mines de Courrières à Sallaumines, une partie des habitations a été bâtie en briques, l'autre l'a été avec des parpaings. Ces dernières ont été rénovées et repeintes.

Trois différents types de trieuses de la fosse n^o 5 - 5 bis des mines de Lens à Avion, avant la Première Guerre mondiale.

Tête de puits matérialisée n^o 2 de la fosse Renard de la Compagnie des mines d'Anzin à Denain et terril conique n^o 162, Renard. Les piquets rouges sont destinés à empêcher le stationnement.

Photographie de la fosse Saint-Mark des mines d'Anzin à Escaudain datant de 1911.

L'église Saint-Louis de Grenay a été bénie en 1925. Elle a été reconstruite sur les fondations de la précédente église, qui a été détruite durant la Première Guerre mondiale. Elle est localisée au cœur des cités de la fosse n^o 5 - 5 bis des mines de Béthune. L'église a été inscrite aux monuments historiques le 9 octobre 2009.

Carte des travaux de recherche entre l'extrémité occidentale du Bassin houiller du Pas-de-Calais et la mer publiée en 1904 par Albert Olry dans Topographie souterraine du bassin houiller du Boulonnais ou bassin d'Hardinghen.

Détail d'une façade d'une maison constituée de deux habitations mitoyennes dans les cités de la fosse Barrois de la Compagnie des mines d'Aniche à Pecquencourt. Outre les détails architecturaux du linteau, il est possible de remarquer dans la partie supérieure gauche de la photographie qu'une brique est estampillée « ML ». Il s'agit du monogramme de la Compagnie des mines de Lens qui a fabriqué cette brique.

La Compagnie des mines d'Anzin avait ouvert une gare à Bruay-sur-l'Escaut sur la ligne de Somain à Péruwelz.

La Compagnie des mines de Marles a bâti une goutte de lait à Auchel près de sa fosse n^o 5 - 5 bis - 5 ter. Cette goutte de lait a été inscrite aux monuments historiques le 18 décembre 2009.

Cités-jardins de la fosse n^o 8 - 8 bis des mines de Dourges à Évin-Malmaison.

De nombreux îlots existent sur le lac du terril n^o 144, Rieulay, à Rieulay.

La fosse n^o 1 des mines de Meurchin à Bauvin est la seule fosse de la compagnie à être située dans le département du Nord.

De la fosse n^o 11 - 11 bis des mines de Béthune à Granay, il subsiste plusieurs anciens bâtiments dont les bureaux.

Vue latérale du chevalement de la fosse n^o 2 des mines de Marles à Marles-les-Mines, emporté dans la nuit du 2 au 3 mai 1866 dans l'effondrement du puits. Ce n'est qu'une quarantaine d'années plus tard que des travaux sont entrepris pour remette en état la fosse.

C'est en effectuant les travaux de la ligne B du tramway de Valenciennes à Condé-sur-l'Escaut en mai 2012 que les ouvriers sont retombés sur les rails de l'ancien embranchement ferroviaire de la fosse Ledoux, le dernier train y était passé en 1989, les années passant, du macadam avait été coulé par dessus les rails. Cet embranchement prenait naissance à Vieux-Condé à partir de la ligne de Somain à Péruwelz.

Photographie d'un groupe de cafus prise devant une des fosses de la Compagnie des mines de Douchy à Lourches.

L'habitation du directeur des écoles des cités de la fosse n^o 12 des mines de Lens à Lens n'est plus qu'une ruine (ici en mars 2012), depuis que Guy Delcourt, le maire de la commune, a ordonné la démolition le 19 août 2010 (un arrêté préfectoral est venu empêcher la suite des travaux le lendemain). Cette habitation avait été, avec d'autres éléments, inscrite aux monuments historiques le 1^er décembre 2009.

Elle a finalement été détruite.

Vue d'un nouveau modèle de coron de cinq logements bâti au début du XX^e siècle dans les cités de la fosse n^o 5 - 5 bis des mines de Béthune à Grenay. Seuls quelques exemplaires ont été construits

Échantillon de roche de type spongieuse prélevé sur le terril n^o 143, Germinies Sud, issu de la fosse Barrois, à Pecquencourt.

La fosse n^o 2 des mines de Crespin à Quiévrechain s'est vu rajouter un puits n^o 2 bis en 1948 par le Groupe de Valenciennes. La fosse a été abandonnée en 1950, le nouveau puits était déjà profond de 764 mètres.

La salle des pendus de la fosse n^o 6 - 14 des mines de Courrières à Fouquières-lez-Lens est inusitée depuis la fermeture du puits n^o 6 en 1987. Le puits n^o 14 avait quant à lui été remblayé en 1973.

Coupes imaginaires curieuses dessinées par Abel Lebreton, directeur de la Société du Midi de l'Escarpelle, vers 1861 afin d'attirer les investisseurs. Après bien des péripéties, la fosse de Courcelles-lez-Lens est rachetée par la Compagnie des mines de l'Escarpelle en 1880 qui en fait sa fosse n^o 7. Un puits n^o 7 bis est mis en service à partir de février 1906.

Vue du terril n^o 196, Ledoux Lavoir issu de l'exploitation du lavoir de la fosse Ledoux des mines d'Anzin à Condé-sur-l'Escaut, depuis l'ancien embranchement ferroviaire naissant à partir de la ligne de Somain à Péruwelz.

Face à la fosse De Sessevalle à Somain, la Compagnie des mines d'Aniche a bâti une salle des fêtes, ensuite reconvertie en dispensaire, puis, depuis le début du XXI^e siècle, en appartements.

La Compagnie des mines de Lens dispose de modèles standardisés pour ses écoles, comme ici, celle des cités de la fosse n° 16 à Liévin.

Photographie aérienne de la fosse n^o 10 du Groupe d'Oignies à Dourges, et de ses terrils n^os 116 et 117, 10 d'Oignies.

L'école ménagère des cités de la fosse Arenberg de la Compagnie des mines d'Anzin à Wallers a été inscrite aux monuments historiques le 1^er décembre 2009. Les façades sont richement décorées.

Gare d'eau et criblage de la Compagnie des mines d'Anzin à Denain.

Habitations en cours de rénovation à Mazingarbe dans les cités de la fosse n^o 7 - 7 bis des mines de Béthune.

Photographie de la fosse n^o 2 des mines de Béthune à Bully-les-Mines avant la Première Guerre mondiale.

Vue du chemin menant au sommet du terril conique n^o 175, Sabatier Nord, issu de l'exploitation de la fosse Sabatier des mines d'Anzin à Raismes.

Après la Première Guerre mondiale, la fosse Sabatier de la Compagnie des mines d'Anzin à Raismes a continué d'être la réplique exacte de la fosse Agache, sise à Fenain.

Les ateliers centraux de la Compagnie des mines de Courrières à Billy-Montigny ont été reconvertis en zone industrielle.

Carte postale n^o 11 intitulée « le prix » réalisée par un ingénieur de la Compagnie des mines de Carvin au tout début du XX^e siècle.

Les grands bureaux de la Compagnie des mines de Thivencelles à Fresnes-sur-Escaut, inscrits aux monuments historiques le 12 janvier 2010, durant les travaux de la ligne B du tramway de Valenciennes, le 26 mai 2012.

Extrait des consignes de la Compagnie des mines d'Aniche, petit guide de trente-trois pages reprenant les principales règles de circulation dans les fosses, taille originale : 13,5 × 21 cm.

La Compagnie des mines de Marles a bâti des écoles dans les cités de sa fosse n^o 3 - 3 bis - 3 ter à Auchel. Ces cités sont peu à peu détruites depuis le début des années 2000. Quand aux écoles, elles servent de locaux à des associations.

Photographie d'un groupe de jeunes galibots employés à Auchel par la Compagnie des mines de Marles à la fosse n^o 3 - 3 bis - 3 ter.

La ligne A du tramway de Valenciennes, ici devant la gare, emprunte partiellement l'ancienne ligne de Somain à Péruwelz et l'ancienne ligne de Valenciennes-Faubourg-de-Paris à Hautmont. La ligne B, construite en 2012 et 2013, emprunte un pont de la ligne de Somain à Péruwelz, puis coupe son tracé à Vieux-Condé, avant d'emprunter une partie de l'ancien embranchement vers la fosse Ledoux. Elle coupe également l'ancienne ligne de Saint-Amand-les-Eaux à Blanc-Misseron.

Vue du lavoir de la fosse Arenberg des mines d'Anzin à Wallers et du terril n^o 160, Arenberg.

Borne en pierre délimitant à l'origine les concessions de la Compagnie des mines de Liévin et de la Compagnie des mines de Vimy-Fresnoy. Celle-ci n'est plus à son emplacement initial, et est localisée, avec d'autres, près du carreau de la fosse n^o 1 - 1 bis à Vimy.

Carte des concessions du bassin du Boulonnais réalisée en 1880 par Émile Vuillemin, et colorisée en 2011.

Une roselière a été développée sur une partie du lac du terril n^o 144, Rieulay, à Rieulay.

Vue de la fosse Déjardin des mines d'Aniche à Sin-le-Noble à l'issue de la Première Guerre mondiale.

Habitations groupées par deux en cours de rénovation dans la cité 1940, à Libercourt. Il s'agit d'une des cités de la fosse n^o 2 des mines d'Ostricourt, à Oignies.

Le mémento du rouleur est un petit guide d'instructions de treize pages destiné aux rouleurs nouvellement arrivés dans le Groupe de Bruay. Les dimensions originales sont de 10,5 × 13 cm. La page n^o 3 est consacrée aux signaux utilisés dans les galeries.

Un camus haut rénové situé dans les cités de la fosse Bonnel de la Compagnie des mines d'Aniche à Lallaing. Il est constitué de six habitations. Un autre subsiste également dans la même rue mais est composé de quatre habitations. Avant les destructions qui ont eu lieu, il existait plus d'une vingtaine de ces camus hauts.

Cités de la fosse Bleuse Borne des mines d'Anzin à Anzin.

Plaque de rue indiquant la rue Jules Mathieu dans une des cités de la fosse n^o 3 - 15 des mines de Courrières, sise à Méricourt. Chaque compagnie avait un modèle préétabli de plaque de rue.

Vue des différentes pièces utilisées pour l'établissement du cuvelage du puits de la fosse n^o 2 des mines de Marles à Marles-les-Mines vers la moitié du XIX^e siècle.

Bien qu'il a été pour ainsi dire intégralement exploité, le terril n^o 149A, Saint Mark Nord comporte une grande variété de végétaux. Cet ancien terril plat est issu de l'exploitation de la fosse Saint-Mark des mines d'Anzin à Escaudain.

La fosse Boca ou n^o 9 à Douchy-les-Mines est la dernière fosse productive ouverte par la Compagnie des mines de Douchy. Une avaleresse n^o 10 a été ouverte après à Haulchin, mais n'a jamais été poursuivie.

L'église de la Nativité à Mazingarbe a été bâtie par la Compagnie des mines de Béthune pour ses mineurs des fosses n^os 3 et 7 - 7 bis.

Coupes transversales du gisement de la Compagnie des mines de Carvin vers 1880 réalisées via ses fosses n^os 1, 2 et 3.

Un pont ferroviaire reliait autrefois le terril n^o 143, Germinies Sud, au terril n^o 143A, Germinies Nord (photo), et surplombait la Scarpe.

Gravure représentant la fosse du Chaufour de la Compagnie des mines d'Anzin vers 1800. Initialement sur les terres d'Anzin, elle est passée sur le territoire de Valenciennes en 1825 suite à la cession du hameau de l'Écorchoir.

Dans les cités de la fosse n^o 13 - 18 des mines de Courrières à Sallaumines, une partie des habitations a été bâtie en briques, l'autre l'a été avec des parpaings. Ces dernières ont été rénovées et repeintes.

Cité, aujourd'hui détruite depuis quelques dizaines d'années, de Camus-hauts, à côté de la fosse n^o 18 - 18 bis du Groupe de Lens à Hulluch.

Tête de puits non matérialisée Ponchelet n^o 1 (1716-1717), à Escautpont, de la Société Desaubois, dont la compagnie suivante, la Société Desandrouin-Taffin, sera une future constituante de la Compagnie des mines d'Anzin. Le puits en lui-même est situé trente mètres derrière la borne.

Carte datant de la seconde moitié du XIX^e siècle des fosses établies dans les concessions détenues par la Compagnie des mines d'Anzin et par la Compagnie des mines de Marly, dans les environs de Valenciennes.

Habitations post-Nationalisation dans les cités de la fosse n^o 5 - 5 bis - 5 ter des mines de Marles à Calonne-Ricouart.

Photographie de la fosse n^o 2 des mines de Béthune à Bully-les-Mines reconstruite après la Première Guerre mondiale. La compagnie a adopté un style architectural particulièrement original pour reconstruire ses fosse, fait de chevalements et de structures en béton armé, et de remplissages en briques.

La Compagnie des mines d'Anzin a bâti l'église Saint-Adolphe au cœur des cités de la fosse Thiers à Bruay-sur-l'Escaut.

Annexes I et II respectivement consacrées aux majorations d'ancienneté des ouvriers et aux majorations d'ancienneté des agents de maîtrise du fond et des techniciens au fond, extraites du Statut du mineur de 1946.

L'église Saint-Vaast de Sallaumines a été bâtie au cœur des cités de la fosse n^o 5 - 12 des mines de Courrières.

Vue de différents élément utilisés pour l'établissement de la fosse n^o 2 des mines de Marles à Marles-les-Mines vers la moitié du XIX^e siècle.

Peu après sa fermeture, un hangar a été bâti par dessus le puits de la fosse n^o 8 des mines de l'Escarpelle à Auby.

La fosse n^o 1 - 1 bis des mines de Crespin à Quiévrechain est contigüe à la frontière entre la Belgique et la France.

De la fosse n^o 4 - 4 bis des mines de Marles à Auchel, il ne subsiste plus que les murs d'enceinte et la base en briques du château d'eau.

Photographie aérienne de la fosse n^o 4 - 4 bis des mines de Dourges à Noyelles-Godault, et de son terril conique n^o 102, 4 Est de Dourges, presque intégralement exploité de nos jours.

Détail d'un élément en céramique près de l'entrée de la salle des fêtes des cités de la fosse Arenberg de la Compagnie des mines d'Anzin à Wallers.

Portrait datant de 1835 d'Emmanuel de Croÿ-Solre, un des fondateurs de la Compagnie des mines d'Anzin en 1757, né le 23 juin 1718 à Condé-sur-l'Escaut et mort le 30 août 1784 à Paris.

Alignement d'habitations groupées par deux dans les cités de la fosse n° 4 - 5 des mines de Drocourt à Méricourt.

Photochrome de la fosse n^o 8 - 8 bis des mines de Dourges à Évin-Malmaison, et de ses cités-jardins.

Le château de Stanislas Desandrouin, dirigeant de la Compagnie des mines d'Anzin, n'est situé qu'à une cinquantaine de mètres des grands bureaux de la Compagnie des mines de Thivencelle, à Fresnes-sur-Escaut.

Le château de la Compagnie des mines de Douchy à Lourches a été reconverti en mairie.