Sainte-Adresse

commune française du département de la Seine-Maritime
(Redirigé depuis Saint-Adresse)

Sainte-Adresse est une commune française de la banlieue ouest du Havre située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Sainte-Adresse
Sainte-Adresse
Le front de mer de Sainte-Adresse.
Blason de Sainte-Adresse
Blason
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionNormandie
DépartementSeine-Maritime
ArrondissementLe Havre
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération havraise
Maire
Mandat
Hubert Dejean de La Batie
2020-2026
Code postal76310
Code commune76552
Démographie
GentiléDionysiens
Population
municipale
7 116 hab. (2021 en diminution de 3,69 % par rapport à 2015)
Densité3 149 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 25″ nord, 0° 05′ 04″ est
AltitudeMin. 0 m
Max. 100 m
Superficie2,26 km2
TypeCommune urbaine et littorale
Unité urbaineLe Havre
(banlieue)
Aire d'attractionLe Havre
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesLe Havre-6
Localisation
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Sainte-Adresse
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Sainte-Adresse

Elle a été la capitale de la Belgique durant la Première Guerre mondiale.

Géographie

Communes limitrophes
Le HavreLe Havre
Manche NLe Havre
O    Sainte-Adresse    E
S
Manche Manche Le Havre

Située dans Le Havre Seine Métropole, Sainte-Adresse est une station balnéaire sur le littoral de la Manche. La ville est enserrée entre la mer et la commune du Havre. Elle se trouve sur le plateau cauchois qui appartient à l’ensemble géologique du Bassin parisien, formé à l’ère secondaire. Le sous-sol est constitué d’une grande épaisseur de craie, pouvant mesurer jusqu’à 200 mètres de profondeur[1]. Il est couvert d’une couche d’argile à silex et d’un limon fertile[2]. Ce plateau est entaillé par le vallon sec d'Ignauval qui est tapissé d’alluvions et de sédiments. Le cap de la Hève à l'ouest de Sainte-Adresse, marque l'extrémité sud de la Côte d'Albâtre et l'extrémité nord de la baie de Seine. Il culmine à 100 mètres au-dessus de la Manche. Il protège l'anse de Sainte-Adresse. Le phare de la Hève y est installé.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 770 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].


Statistiques 1991-2020 et records CAP-DE-LA-HEVE (76) - alt : 100m, lat : 49°30'32"N, lon : 0°04'16"E
Records établis sur la période du 01-01-1891 au 03-12-2023
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)3,93,95,67,510,313,115,115,613,710,87,44,79,3
Température moyenne (°C)5,768,110,413,3161818,416,413,19,36,511,8
Température maximale moyenne (°C)7,6810,513,316,21920,921,219,115,511,38,414,3
Record de froid (°C)
date du record
−13,8
17.01.1985
−12,5
07.02.1991
−7,8
07.03.1971
−1
12.04.1986
1,2
04.05.1979
4,4
02.06.1962
8
20.07.1971
8,4
26.08.1966
3,3
18.09.1996
−0,2
28.10.03
−8,5
30.11.1921
−8,6
25.12.1962
−13,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15
01.01.22
20
28.02.1960
24,5
30.03.21
26,5
21.04.18
30
23.05.1922
34,7
29.06.19
38,2
18.07.22
36,3
10.08.03
33,6
02.09.1961
28,5
01.10.11
20
01.11.15
16,4
07.12.00
38,2
2022
Précipitations (mm)67,553,752,552,356,55848,76665,486,287,595,5789,8
Source : « Fiche 76552001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Sainte-Adresse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].Elle appartient à l'unité urbaine du Havre, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (85,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,9 %), zones humides côtières (0,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Caput Caleti en 1249 (archives départementales de la Seine-Maritime 54 H), Sancti Dionisii de Capite Caleti en 1294 (Arch. S.-M. 23 H — cart. f. 11 v.), Le Quief de Caus en 1319 (Arch. S.-M. G 3267, 3268), Par. du Quief de Caux 1401 (Arch. S.-M. G 16, 17), Saint Denis du Chef de Caux en 1415 (Arch. S.-M. G 1606), Quief de Caux en 1474 et 1475 (Arch. S.-M. G 70), Sainte Adresse en Caux en 1476 (Arch. S.-M. tab. Rouen), Sainte Adresche en 1479 (Arch. S.-M. tab. Rouen m.), Sainte Adresse en 1541 (Arch. S.-M. tab. Rouen m.)[20].

Le nom de Sainte-Adresse ne serait pas lié à une sainte, mais à un promontoire servant de repère, d'« adresse » pour les marins[21], ou encore à l'adresse dont devaient faire preuve les marins pour franchir le cap de la Hève[22].

Histoire

Ensemble du Nice havrais.
Vue d'ensemble du Boulevard Maritime au début du XXe siècle.
La rue de la Hève et le boulevard Albert Ier à la même époque.

L'ancien nom de la commune était Saint-Denis-Chef-de-Caux, dû à l'église Saint-Denis, près de la mairie.

Célébration du centenaire de l'installation du gouvernement belge à Sainte-Adresse.

Sainte-Adresse étant située au bord des falaises, les habitations gallo-romaines de cet ancien village de pêcheurs sont sûrement maintenant au fond de la Manche.

Le , en pleine guerre de Cent Ans Henri V d'Angleterre y débarque avec sa flotte composée de 1 600 navires[23] pour tenter de reconquérir son « héritage français ».

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Cap-d'Antifer et de Cap-de-la-Hève[24].

En 1899, est ouverte la ligne de l'ancien tramway du Havre, qui desservira la station jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.

À partir de 1905, Georges Dufayel, homme d’affaires parisien, crée à Sainte-Adresse ex nihilo un lotissement balnéaire, le Nice havrais, qui est à lui seul une véritable station balnéaire. L’architecte havrais Ernest Daniel dirige les opérations. L’avenue des Régates, sur le front de mer, est conçue à l’image de la promenade des Anglais de Nice.

Pendant la Première Guerre mondiale, alors que la Belgique est presque entièrement occupée par les Allemands, Sainte-Adresse fut capitale administrative du royaume, cédée à bail au gouvernement belge pour la durée des hostilités, afin de ne pas faire de celui-ci un gouvernement en exil[25]. Ce dernier s'installa donc du jusqu'à [26] dans l'« immeuble Dufayel », construit par Georges Dufayel en 1911. Les ministères, administrations et personnel diplomatique, soit plus de 1 000 personnes logèrent dans la ville à partir du . Le gouvernement belge avait à sa disposition un bureau de poste, utilisant des timbres-poste belges, ainsi que son parc de réparation automobile, son hôpital, son école. Une usine d'armement belge explosera accidentellement le à Graville-Sainte-Honorine faisant une centaine de morts.

Le chef du gouvernement belge, Charles de Broqueville, ne séjourne à Sainte-Adresse que le week-end, faisant constamment des allers et retours pour voir le roi Albert Ier, resté en zone libre belge, à La Panne. Le souverain belge ne s'est jamais rendu à Sainte-Adresse, mais a néanmoins son boulevard, sa place et sa statue monumentale, érigée en 1938, mise à l'abri en 1940, et ré-inaugurée en 1947[26].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands y construisent plusieurs ouvrages de fortification du mur de l'Atlantique pour défendre le port du Havre.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Dans la mairie une plaque gravée présente le tableau des maires depuis la création de la commune[27].

Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1790décembre 1792Guillaume Liard  
décembre 1792juin 1800Jean-Baptiste Angammare  
juin 1800octobre 1811Jean-Philippe Lemaistre  
octobre 18111818Charles De Labre  
18181827Julien De Labre  
18271837Thomas-François Paumelle  
18371867François-Isidore Thieullent Marchand briquetier, tuilier
18671870Jean Boulard Marchand de nouveautés, entrepreneur de travaux publics
1870mai 1871Jean Verspecke  
mai 1871octobre 1876Jean Boulard Marchand de nouveautés, entrepreneur de travaux publics
octobre 1876janvier 1881Jules-Amédée Alleaume courtier et négociant au Havre
janvier 1881août 1886Louis Lemaître architecte
août 1886octobre 1923Joseph de Quérhoënt Négociant, Président du Syndicat des Vins et Spiritueux (Le Havre)
octobre 1923juin 1929Albert Dubosc[28]Rad. ind.Député de la Seine-Inférieure (1936 → 1940)
Conseiller général du Havre-5 (1922 → 1940)
Membre du Conseil national du Gouvernement de Vichy
juin 1929janvier 1945René Proux  
janvier 1945mai 1945Jules Decreton  
mai 1945 François Lebel  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977juin 1995Jean-Louis PesleDivers droite 
juin 1995mars 2008Jacques DuboisSans étiquette 
mars 2008avril 2014[29]Patrice GélardUMPProfesseur de droit constitutionnel
Sénateur de la Seine-Maritime (1995 → 2014)
Conseiller général du Havre-6 (1994 → 2001)
Adjoint au maire du Havre (1995 → 2008)
Vice-président de la CODAH[Quand ?]
avril 2014[30]En cours
(au 10 août 2020)
Hubert Dejean de La BatieLC-UDI[31]Consultant, professeur d'histoire-géographie
Vice-président de la CODAH (2014 → 2018)
Vice-président de la CU Le Havre Seine Métropole (2019 → )
Conseiller régional de Haute-Normandie (2010 → 2015)
Conseiller régional de Normandie (2015 → )
Vice-président du conseil régional de Normandie (2015 → )
Président du conseil d'administration du conservatoire du littoral (2017[32] → )
Réélu pour le mandar 2020-2026,[33],[34]

Jumelages

En souvenir de l'installation du gouvernement belge pendant la Première Guerre mondiale, la ville de Sainte-Adresse est jumelée depuis 1998 avec la ville belge de La Panne.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2021, la commune comptait 7 116 habitants[Note 3], en diminution de 3,69 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
7266006376416557627891 880978
185618611866187218761881188618911896
1 2131 5541 5861 8691 8761 9752 2412 5112 651
190119061911192119261931193619461954
3 0843 2083 6224 3574 3184 6685 1354 3926 822
196219681975198219901999200620112016
7 8078 2618 7548 0298 0477 8837 7827 4947 410
2021--------
7 116--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Revenus et cadre de vie

Les habitants de Sainte-Adresse bénéficient d'un niveau de vie supérieur à la moyenne nationale[38]. Au niveau de la CODAH la commune de Sainte-Adresse correspond à celle au revenu médian le plus important[39]. Outre des revenus supérieurs, la ville de Sainte-Adresse connaît un taux de chômage largement inférieur au niveau national.

Enseignement

La commune relève de l'académie de Rouen.

Sainte-Adresse compte :

  • deux écoles maternelles : école du Manoir et école maternelle Antoine-Lagarde ;
  • une école primaire : groupe scolaire Antoine Lagarde ;
  • une école primaire et maternelle privée : Jeanne-d'Arc ;
  • un collège[40] ;
  • un lycée polyvalent privé[41].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Peinture

Plusieurs peintres ont peint des paysages liés à la commune, tels :

  • Corot, Maison de pêcheurs à Sainte-Adresse, entre 1830 et 1840, Musée du Louvre, Paris ;
  • Albert Marquet peint de nombreuses représentations de l'estacade (dont 1906, museum of fines arts, Houston)
  • Claude Monet : La Côte de Sainte-Adresse, La Mer à Sainte-Adresse, Promenade sur les falaises de Sainte-Adresse, La Plage de Sainte-Adresse (1867), Les Cabanes à Sainte-Adresse, 1868, Rue à Sainte-Adresse, La Falaise de Sainte-Adresse, Sainte-Adresse, bateau à voile échoué, Sainte-Adresse, Sainte-Adresse, bateaux de pêche sur le rivage ;
  • Raoul Dufy, La Plage de Sainte Adresse, 1902, Le Cargo noir, une vingtaine de toiles, c. 1945-1952 (entrée en rade de Sainte-Adresse), Paris, Centre Pompidou ; Lyon, Musée des Beaux-Arts.

Lettres

Cette ville est mentionnée dans la célèbre dictée conçue par Prosper Mérimée, qui commence par :

« Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l’amphitryon, fut un vrai guêpier. »

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Les armes de Sainte-Adresse se blasonnent ainsi :

Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à la tour d'argent, maçonnée, ouverte et ajourée de sable, aux 2e et 3e de gueules à la coquille d'or ; à la croix engrelée d'or brochant sur la partition, chargée en abîme d'un écusson tiercé en pal de sable, d'or et de gueules.
L'écusson en abîme présente les couleurs de la Belgique.

Pour approfondir

Bibliographie

  • Joseph Morlent, Le Cap de la Hève, Éva de Vitanval ou l'Écharpe d'azur : épisode historique du village de Saint-Denis-Chef-de-Caux, 1418-1428, petite bibliothèque normande, Costey Frères, Le Havre, 1861, 292 pages
  • Alphonse Martin, Histoire de Chef de Caux et de Sainte-Adresse, L. Durand, Fécamp, 1881, 247 pages (Gallica : intégral)
  • Fernand Poupel, Sainte-Adresse, Micaux, Le Havre, 1973, 232 pages
  • Christian Sinelle, Les Glissements de terrain du Nice havrais - commune de Sainte-Adresse, Seine-Maritime, CNAM, 1989, 290 pages
  • Frédéric Legoy, La présence belge au Havre et à Sainte-Adresse de 1914 à 1920, volume 56 de Cahiers havrais de recherche historique, Centre havrais de recherche historique, 1997, 144 pages
  • Stéphanie Rosset de Quercize, Sainte-Adresse, coll. « Mémoire en images », éd. Alan Sutton, 2001 (ISBN 2-84253-640-1)
  • Laurence Abensur-Hazan, Auberges et hôtels de Normandie du Havre à Deauville, éd. Alan Sutton, 2009 (ISBN 978-2-8138-0011-4)

Vidéo

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

Cartes

Références

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