Sainte-Adresse
Sainte-Adresse est une commune française de la banlieue ouest du Havre située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Sainte-Adresse | |||||
Le front de mer de Sainte-Adresse. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération havraise | ||||
Maire Mandat | Hubert Dejean de La Batie 2020-2026 | ||||
Code postal | 76310 | ||||
Code commune | 76552 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dionysiens | ||||
Population municipale | 7 116 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 3 149 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 30′ 25″ nord, 0° 05′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 100 m | ||||
Superficie | 2,26 km2 | ||||
Type | Commune urbaine et littorale | ||||
Unité urbaine | Le Havre (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Le Havre (commune du pôle principal) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Le Havre-6 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime | |||||
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Elle a été la capitale de la Belgique durant la Première Guerre mondiale.
Géographie
- Communes limitrophes
Située dans Le Havre Seine Métropole, Sainte-Adresse est une station balnéaire sur le littoral de la Manche. La ville est enserrée entre la mer et la commune du Havre. Elle se trouve sur le plateau cauchois qui appartient à l’ensemble géologique du Bassin parisien, formé à l’ère secondaire. Le sous-sol est constitué d’une grande épaisseur de craie, pouvant mesurer jusqu’à 200 mètres de profondeur[1]. Il est couvert d’une couche d’argile à silex et d’un limon fertile[2]. Ce plateau est entaillé par le vallon sec d'Ignauval qui est tapissé d’alluvions et de sédiments. Le cap de la Hève à l'ouest de Sainte-Adresse, marque l'extrémité sud de la Côte d'Albâtre et l'extrémité nord de la baie de Seine. Il culmine à 100 mètres au-dessus de la Manche. Il protège l'anse de Sainte-Adresse. Le phare de la Hève y est installé.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 770 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 789,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,9 | 3,9 | 5,6 | 7,5 | 10,3 | 13,1 | 15,1 | 15,6 | 13,7 | 10,8 | 7,4 | 4,7 | 9,3 |
Température moyenne (°C) | 5,7 | 6 | 8,1 | 10,4 | 13,3 | 16 | 18 | 18,4 | 16,4 | 13,1 | 9,3 | 6,5 | 11,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,6 | 8 | 10,5 | 13,3 | 16,2 | 19 | 20,9 | 21,2 | 19,1 | 15,5 | 11,3 | 8,4 | 14,3 |
Record de froid (°C) date du record | −13,8 17.01.1985 | −12,5 07.02.1991 | −7,8 07.03.1971 | −1 12.04.1986 | 1,2 04.05.1979 | 4,4 02.06.1962 | 8 20.07.1971 | 8,4 26.08.1966 | 3,3 18.09.1996 | −0,2 28.10.03 | −8,5 30.11.1921 | −8,6 25.12.1962 | −13,8 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record | 15 01.01.22 | 20 28.02.1960 | 24,5 30.03.21 | 26,5 21.04.18 | 30 23.05.1922 | 34,7 29.06.19 | 38,2 18.07.22 | 36,3 10.08.03 | 33,6 02.09.1961 | 28,5 01.10.11 | 20 01.11.15 | 16,4 07.12.00 | 38,2 2022 |
Précipitations (mm) | 67,5 | 53,7 | 52,5 | 52,3 | 56,5 | 58 | 48,7 | 66 | 65,4 | 86,2 | 87,5 | 95,5 | 789,8 |
Urbanisme
Typologie
Sainte-Adresse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].Elle appartient à l'unité urbaine du Havre, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (85,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,9 %), zones humides côtières (0,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Caput Caleti en 1249 (archives départementales de la Seine-Maritime 54 H), Sancti Dionisii de Capite Caleti en 1294 (Arch. S.-M. 23 H — cart. f. 11 v.), Le Quief de Caus en 1319 (Arch. S.-M. G 3267, 3268), Par. du Quief de Caux 1401 (Arch. S.-M. G 16, 17), Saint Denis du Chef de Caux en 1415 (Arch. S.-M. G 1606), Quief de Caux en 1474 et 1475 (Arch. S.-M. G 70), Sainte Adresse en Caux en 1476 (Arch. S.-M. tab. Rouen), Sainte Adresche en 1479 (Arch. S.-M. tab. Rouen m.), Sainte Adresse en 1541 (Arch. S.-M. tab. Rouen m.)[20].
Le nom de Sainte-Adresse ne serait pas lié à une sainte, mais à un promontoire servant de repère, d'« adresse » pour les marins[21], ou encore à l'adresse dont devaient faire preuve les marins pour franchir le cap de la Hève[22].
Histoire
L'ancien nom de la commune était Saint-Denis-Chef-de-Caux, dû à l'église Saint-Denis, près de la mairie.
Sainte-Adresse étant située au bord des falaises, les habitations gallo-romaines de cet ancien village de pêcheurs sont sûrement maintenant au fond de la Manche.
Le , en pleine guerre de Cent Ans Henri V d'Angleterre y débarque avec sa flotte composée de 1 600 navires[23] pour tenter de reconquérir son « héritage français ».
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Cap-d'Antifer et de Cap-de-la-Hève[24].
En 1899, est ouverte la ligne de l'ancien tramway du Havre, qui desservira la station jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
À partir de 1905, Georges Dufayel, homme d’affaires parisien, crée à Sainte-Adresse ex nihilo un lotissement balnéaire, le Nice havrais, qui est à lui seul une véritable station balnéaire. L’architecte havrais Ernest Daniel dirige les opérations. L’avenue des Régates, sur le front de mer, est conçue à l’image de la promenade des Anglais de Nice.
Pendant la Première Guerre mondiale, alors que la Belgique est presque entièrement occupée par les Allemands, Sainte-Adresse fut capitale administrative du royaume, cédée à bail au gouvernement belge pour la durée des hostilités, afin de ne pas faire de celui-ci un gouvernement en exil[25]. Ce dernier s'installa donc du jusqu'à [26] dans l'« immeuble Dufayel », construit par Georges Dufayel en 1911. Les ministères, administrations et personnel diplomatique, soit plus de 1 000 personnes logèrent dans la ville à partir du . Le gouvernement belge avait à sa disposition un bureau de poste, utilisant des timbres-poste belges, ainsi que son parc de réparation automobile, son hôpital, son école. Une usine d'armement belge explosera accidentellement le à Graville-Sainte-Honorine faisant une centaine de morts.
Le chef du gouvernement belge, Charles de Broqueville, ne séjourne à Sainte-Adresse que le week-end, faisant constamment des allers et retours pour voir le roi Albert Ier, resté en zone libre belge, à La Panne. Le souverain belge ne s'est jamais rendu à Sainte-Adresse, mais a néanmoins son boulevard, sa place et sa statue monumentale, érigée en 1938, mise à l'abri en 1940, et ré-inaugurée en 1947[26].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands y construisent plusieurs ouvrages de fortification du mur de l'Atlantique pour défendre le port du Havre.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Dans la mairie une plaque gravée présente le tableau des maires depuis la création de la commune[27].
Jumelages
En souvenir de l'installation du gouvernement belge pendant la Première Guerre mondiale, la ville de Sainte-Adresse est jumelée depuis 1998 avec la ville belge de La Panne.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2021, la commune comptait 7 116 habitants[Note 3], en diminution de 3,69 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Revenus et cadre de vie
Les habitants de Sainte-Adresse bénéficient d'un niveau de vie supérieur à la moyenne nationale[38]. Au niveau de la CODAH la commune de Sainte-Adresse correspond à celle au revenu médian le plus important[39]. Outre des revenus supérieurs, la ville de Sainte-Adresse connaît un taux de chômage largement inférieur au niveau national.
Enseignement
La commune relève de l'académie de Rouen.
Sainte-Adresse compte :
- deux écoles maternelles : école du Manoir et école maternelle Antoine-Lagarde ;
- une école primaire : groupe scolaire Antoine Lagarde ;
- une école primaire et maternelle privée : Jeanne-d'Arc ;
- un collège[40] ;
- un lycée polyvalent privé[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Site géologique et préhistorique du cap de la Hève
- Phare de la Hève
- Manoir de Vitanval, construit vers 1420, maison à colombages d'inspiration anglo-normande
- Chapelle Notre-Dame-des-Flots[42], construite en 1857 par l'architecte Théodore Huchon[43]
- Église Saint-Denis, construite entre 1874 et 1877[44] : elle est notamment ornée en 1878 de deux verrières réalisées par les ateliers Lorin de Chartres, alors dirigés par leur fondateur, Nicolas Lorin[45].
- Pain de sucre, mausolée élevé à la mémoire du général comte Charles Lefebvre-Desnouettes par sa veuve Stéphanie Rollier, cousine de Napoléon Ier.
- Villa de Sarah Bernhardt
- Ancienne base militaire
- Immeuble Dufayel construit en 1911 par l'homme d'affaires Dufayel
- Chapelle Notre-Dame-des-Flots.
- Église Saint-Denis.
- Pain de sucre.
Peinture
Plusieurs peintres ont peint des paysages liés à la commune, tels :
- Johan Barthold Jongkind, précurseur de l'impressionnisme (1819-1891), peint la côte rocheuse près de la station balnéaire, à la fin de l'été 1862.
Côte rocheuse à Sainte-Adresse, 1862
Rijksmuseum TwentheLa Plage de Sainte-Adresse, 1863, aquarelle
Musée du Louvre
- Corot, Maison de pêcheurs à Sainte-Adresse, entre 1830 et 1840, Musée du Louvre, Paris ;
- Albert Marquet peint de nombreuses représentations de l'estacade (dont 1906, museum of fines arts, Houston)
- Claude Monet : La Côte de Sainte-Adresse, La Mer à Sainte-Adresse, Promenade sur les falaises de Sainte-Adresse, La Plage de Sainte-Adresse (1867), Les Cabanes à Sainte-Adresse, 1868, Rue à Sainte-Adresse, La Falaise de Sainte-Adresse, Sainte-Adresse, bateau à voile échoué, Sainte-Adresse, Sainte-Adresse, bateaux de pêche sur le rivage ;
- Raoul Dufy, La Plage de Sainte Adresse, 1902, Le Cargo noir, une vingtaine de toiles, c. 1945-1952 (entrée en rade de Sainte-Adresse), Paris, Centre Pompidou ; Lyon, Musée des Beaux-Arts.
Lettres
Cette ville est mentionnée dans la célèbre dictée conçue par Prosper Mérimée, qui commence par :
« Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l’amphitryon, fut un vrai guêpier. »
Personnalités liées à la commune
- Maurice Béquet (1889-1943), aviateur et pilote automobile.
- Sarah Bernhardt, actrice, y fit construire une propriété à la fin du XIXe siècle.
- Yavé Cahard (1957-), coureur cycliste sur piste, médaillé olympique.
- Vincent Collet, basketteur puis entraîneur français, sélectionneur équipe de France masculine de basket y est né en 1963.
- Albert Dubosc, député sous la Troisième République, fut maire de Sainte-Adresse.
- Georges Dufayel, homme d'affaires parisien qui fit construire le « Nice havrais » et l'immeuble qui porte encore son nom.
- Jacques Dupâquier (1922-2010), historien spécialiste de l'histoire des populations, membre de l'Institut, y est né.
- Philippe Dupuy, auteur de bande dessinée, y est né.
- Benoît Duteurtre, romancier essayiste, producteur et animateur de radio, y est né en 1960.
- Henri de Gaulle et Jeanne de Gaulle née Maillot, parents de Charles de Gaulle y sont morts et enterrés.
- Alphonse Karr, directeur du Figaro, lance la station balnéaire en 1841.
- Charles Lefebvre-Desnouettes (1773-1822), général des armées de la République et de l'Empire.
- Jean Lemierre, haut fonctionnaire, président de BNP Paribas.
- Maxime Leroux, comédien français, y est né le .
- Alain Lesieutre
- Charles Lhuillier, peintre, y est décédé en 1898.
- Claudine Loquen, peintre française, y est née le [46].
- Prosper Mérimée situe l'action de sa dictée à Sainte-Adresse.
- Claude Monet a peint de nombreux tableaux de la ville.
- Georges Méliès, père de l'art cinématographique y tourne en 1896 quelques-unes de ses premières vues maritimes. Assaut des vagues furieuses sur les falaises de Sainte-Adresse.
- Dominique Preschez. Compositeur classique contemporain et écrivain y est né en 1954.
- Guillaume Pley, animateur radio (actuellement sur NRJ) y est né le .
- Laurent Vicomte, dessinateur de bandes dessinées y est né en .
- Catherine Troallic, députée sous la 5e République, y est née le .
- Joël Tiéhi ancien footballeur professionnel ivoirien a entrainé l'équipe de la commune.
- Marc Ullmann, journaliste français,
- Paul Voisin, directeur du foyer rémois, né le .
Vue vers Sainte-Adresse depuis la plage de Trouville. - Plage de Sainte-Adresse.
Héraldique
Les armes de Sainte-Adresse se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
Bibliographie
- Joseph Morlent, Le Cap de la Hève, Éva de Vitanval ou l'Écharpe d'azur : épisode historique du village de Saint-Denis-Chef-de-Caux, 1418-1428, petite bibliothèque normande, Costey Frères, Le Havre, 1861, 292 pages
- Alphonse Martin, Histoire de Chef de Caux et de Sainte-Adresse, L. Durand, Fécamp, 1881, 247 pages (Gallica : intégral)
- Fernand Poupel, Sainte-Adresse, Micaux, Le Havre, 1973, 232 pages
- Christian Sinelle, Les Glissements de terrain du Nice havrais - commune de Sainte-Adresse, Seine-Maritime, CNAM, 1989, 290 pages
- Frédéric Legoy, La présence belge au Havre et à Sainte-Adresse de 1914 à 1920, volume 56 de Cahiers havrais de recherche historique, Centre havrais de recherche historique, 1997, 144 pages
- Stéphanie Rosset de Quercize, Sainte-Adresse, coll. « Mémoire en images », éd. Alan Sutton, 2001 (ISBN 2-84253-640-1)
- Laurence Abensur-Hazan, Auberges et hôtels de Normandie du Havre à Deauville, éd. Alan Sutton, 2009 (ISBN 978-2-8138-0011-4)
Vidéo
- Site Ina.fr, Évocation historique : le gouvernement belge à Sainte-Adresse, .
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Ressource relative à la musique :
- Site de la mairie
- Cartes postales anciennes de la ville de Sainte-Adresse (76)
- Sainte-Adresse sur le site de l'Insee