Université Panthéon-Sorbonne

université française dont une partie des locaux sont situés au cœur du Quartier latin, à Paris (1971-)
Université Paris-I-Panthéon-Sorbonne
Histoire
Fondation
Dates-clés
1253-1257 : fondation du collège de Sorbonne
31 décembre 1970 : successeur de l'université de Paris
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur
Président
Christine Neau-Leduc (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Devise
« Omnibus sapientia, unicuique excellentia »
(« Le savoir pour tous, l'excellence pour chacun »)
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
45 200
Enseignants
1 450
Budget
223 millions d’euros ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Pays
Localisation
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L'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (parfois notée la Sorbonne ou Panthéon-Sorbonne)[1], est un établissement multidisciplinaire d'enseignement supérieur français, spécialisé dans les domaines des sciences économiques et de la gestion, des arts et des sciences humaines, du droit et de la science politique[2].

Ses centres administratifs et ses principaux locaux d’enseignement sont situés à la Sorbonne et sur la place du Panthéon, au cœur du Quartier latin de Paris, dans l’ouest du cinquième arrondissement. Elle possède également plus d'une vingtaine d'antennes dans quatre autres arrondissements parisiens (quatrième, sixième, treizième et quinzième arrondissements) ainsi qu'en Égypte[3] et en Roumanie[4].

Étant l'une des héritières de l'ancienne université de Paris, l'université Paris 1 accueille aujourd'hui environ 45 200 étudiants répartis en dix unités de formation et de recherche (UFR) et quatre instituts. Elle offre des formations de la licence au doctorat et dans la préparation des concours, notamment juridiques et d'enseignement. Elle ne fait partie d'aucune COMUE, mais elle collabore avec l'université Sorbonne-Nouvelle et ESCP Business School au sein de Sorbonne Alliance. Elle est aussi membre fondateur du projet Una Europa depuis 2019[5].

Histoire

Origines de l'université

Chapelle Sainte-Ursule de l'université de Paris en 1948.

En 1945, à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, l'université de Paris retrouvait les problèmes qui lui étaient propres et qui s'étaient aggravés avec la guerre et l'occupation étrangère. Les étudiants s'entassaient dans des salles et dans des amphithéâtres surpeuplés, et le corps enseignant, insuffisant en nombre, n'avait pas les moyens de les suivre et de les encadrer correctement[6].

La déconcentration des centres universitaires dans la capitale et à la périphérie sera principalement l'œuvre de la Ve République dans les premières années de son existence. Cette politique atteignit ses objectifs en répondant notamment aux problèmes posés par le nombre des étudiants. Le pouvoir crut également pouvoir contrôler l'accès de ces derniers à l'université, en organisant une sélection sévère à l'entrée des facultés et en créant des Instituts universitaires de technologie[7].

Cette réforme n’ayant pas été négociée avec tous les partenaires intéressés, elle fut rejetée par les étudiants dans un climat politique et social défavorable, et elle provoqua une véritable insurrection dans les facultés à Paris et en province.

La faculté des lettres de Nanterre - créée en 1964 au sein de l'université de Paris - étant devenue le théâtre d'une agitation permanente contre les projets de réforme, le recteur de l'académie, président du conseil de l'université de Paris, décidait sur proposition du doyen de cette faculté de fermer cette dernière le 2 mai 1968[8]. Le lendemain, trois à quatre cents étudiants se réunirent dans la cour de la Sorbonne pour dénoncer la fermeture de la faculté de Nanterre et demander au recteur d'annuler la décision administrative qui permettait de traduire plusieurs de leurs camarades devant le conseil de l'université de Paris. En fin de soirée, ce dernier fit appel à la police pour qu'ils évacuent la cour de la Sorbonne. Des échauffourées violentes opposèrent les étudiants aux forces de l'ordre dans la rue, suivies de nombreuses arrestations et des centaines de blessés dans les deux camps[8]. Cet incident majeur entraîna plusieurs semaines de troubles à Paris et une grève générale illimitée en France, qui faillirent emporter la Ve République.

Edgar Faure, ministre de l'Éducation nationale à l'origine de la loi du 12 novembre 1968, dite loi Faure.

Le général de Gaulle, président de la République, réussissant à rétablir l'ordre à la fin de mai, la nouvelle Assemblée nationale élue en juin, après la dissolution de la précédente, eut pour principale mission de réformer la législation universitaire de la IIIe République, en donnant une large autonomie de gestion aux établissements d'enseignement supérieur et en permettant ainsi d'établir plusieurs universités dans une même circonscription académique.

C'est ainsi qu'à Paris, où l'université était devenue très difficile à gérer par le nombre de ses professeurs et de ses étudiants, la législation nouvelle - loi du 12 novembre 1968, remplacée par la loi du 26 janvier 1984 - permit de créer dès 1969 treize universités au sein de l'ancienne université de Paris[6].

Création de l'université

Ancien logotype de l'université Panthéon-Sorbonne.

À l'instigation notamment des professeurs François Luchaire (droit public), Henri Bartoli (économie) et Hélène Ahrweiler (sciences humaines), l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne est créée en 1971 du regroupement d'une partie de la faculté de droit et sciences économiques (Panthéon) et d'une partie de la faculté des lettres et sciences humaines (Sorbonne)[9]. Si la plus grande partie des économistes de la faculté de droit (35 sur 41) ont choisi Paris 1, la plupart des juristes (88 sur 108)[10], dont la plupart des privatistes et des historiens du droit et une partie importante des publicistes avaient choisi de perpétuer une université spécialisée - Paris 2 - alors que leurs collègues faisaient le pari d’une université pluridisciplinaire en ralliant l’université Paris 1[11].

Dans les négociations sur le partage des locaux historiques avec les autres universités proches, l'université Paris 1 peut utiliser des salles dans la partie sud de la Sorbonne, précédemment utilisée par la faculté des sciences[12]. De même, les universités Paris 1 et Paris 2 s'entendent pour installer toutes les deux leur présidence dans les locaux historiques de la faculté de droit place du Panthéon et se partager le site. Les nouveaux locaux de la rue d'Assas sont également partagés pendant les deux premières années en attendant l'ouverture du futur centre Pierre-Mendès-France, effective en 1973[12].

Développement

Depuis sa création, Paris 1 a vu ses effectifs d'étudiants augmenter de 50 % et la proportion d'étudiants de troisième cycle s'accroître constamment. Cette croissance, accompagnée de l'apparition de nouvelles disciplines (administration économique et sociale, mathématiques appliquées et sciences sociales), a nécessité l'attribution de nouveaux locaux qui ont augmenté la capacité d'accueil et la dispersion de l'université : centre Saint-Charles[13] pour les arts plastiques (1973), centre Tolbiac[12] (aujourd'hui centre Pierre-Mendès-France) (1973), centre de recherches historiques et juridiques de la rue Malher (1972), centre Port-Royal René-Cassin pour le premier cycle de droit (1990), Maison des sciences économiques[14] (1998) pour la recherche dans ces disciplines et centre Broca où s'installe l'Institut d'administration des entreprises en 2001, centre Port-Royal Lourcine (2019)[15].

Rapprochements institutionnels des années 2000

Bâtiment Recherche Sud du campus Condorcet.

À la suite de la mise en place en France de Pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) en 2006, l'université s'est successivement impliquée dans plusieurs projets d'association d'établissements d'enseignement supérieur, ainsi que dans un projet élaboré dans le cadre du Plan campus à partir de janvier 2008.

L'université commence à travailler autour du projet du PRES Paris Centre Universités à partir de janvier 2006 qui inclut d'autres universités parisiennes dont Paris V et Paris VII[16]. Le projet n'aboutit pas, ces deux dernières universités se rapprochant finalement du projet Sorbonne Paris Cité et l'université commence au début de l'année 2010 à se rapprocher d'autres établissements autour du projet Hautes Études-Sorbonne-Arts et Métiers[17]. L'établissement quitte cependant ce groupement le [18].

L'université travaille au même moment avec d'autres partenaires autour du projet du campus Condorcet dans le but d'ouvrir un nouveau campus au nord de Paris. Le projet est retenu en 2008 dans le cadre du plan campus[19].

Présidence de l'université

président
PortraitIdentitéPériodeDurée
DébutFin
François Luchaire[20]
( - )
5 ans
Hélène Ahrweiler[21]
(née en )
5 ans
Pierre Bauchet[22]
( - )
1 an
Jacques Soppelsa[23]
(né en )
7 ans
Georges Haddad[24]
(né en )
5 ans
Yves Jégouzo (d)[25]
(né en )
5 ans
Michel Kaplan[26]
(né en )
5 ans
Pierre-Yves Hénin[27]
(né en )
5 ans
Jean-Claude Colliard[28]
( - )
3 ans
Philippe Boutry[29]
(né en )
4 ans
Georges Haddad[30]
(né en )
4 ans
Christine Neau-Leduc (d)[31]
(née en )
En cours3 ans

Composantes

Départements

Il y a dix départements, formés en unités de formation et de recherche (UFR), à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, répartis en trois domaines d'études[32] :

  • Sciences économiques et de gestion :
  1. UFR02 - École d'économie de la Sorbonne (EES)
  2. UFR06 - École de management de la Sorbonne (EMS) (gestion et économie d'entreprise)
  3. UFR27 - UFR de mathématiques et informatique
  • Sciences humaines :
  1. UFR03 - École d'histoire de l'art et d'archéologie de la Sorbonne (EHAAS)
  2. UFR04 - École des arts de la Sorbonne (EAS) (arts plastiques et sciences de l'art)
  3. UFR08 - UFR de géographie (Institut de géographie)
  4. UFR09 - École d'histoire de la Sorbonne (EHS)
  5. UFR10 - UFR de philosophie
  • Sciences juridiques et politiques :
  1. UFR01 - École de droit de la Sorbonne (EDS)
  2. UFR11 - École de science politique de la Sorbonne. Elle constitue en France la seule institution universitaire exclusivement vouée à l'enseignement de cette discipline.

Instituts et établissements associés

Il y a également 10 instituts d'études et de recherches :

  1. Institut de démographie de l'université Paris 1 (IDUP)
  2. Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
  3. Institut des sciences sociales du travail (ISST)
  4. Institut de recherche et d'études supérieures du tourisme (IREST)
  5. Institut d'administration économique et sociale (IAES)
  6. Institut d'études du développement de la Sorbonne (IEDES)
  7. Institut d'études judiciaires Jean-Domat (IEJ)
  8. Institut des assurances de Paris (IAP)
  9. Institut français de la communication (IFC)
  10. Institut des études sur la guerre et la paix (IEGP)

Enfin, il y a également un établissement public associé :

  1. Institut d'administration des entreprises de Paris (IAE Paris)

Maison des sciences économiques

La Maison des sciences économiques (MSE) abrite les équipes de recherche de Paris 1 travaillant dans le domaine de l'économie et des mathématiques appliquées depuis 1997[33]. L'ensemble de ces quelque 300 chercheurs, des neuf unités de recherche et d'une unité de services, la plupart affiliées au CNRS, la diversité des thèmes abordés et des méthodes utilisées, donnent à cette Maison un caractère unique en France. S'y déroulent également les enseignements de masters, destinés à environ 300 étudiants.

Localisation

Centre Panthéon, siège de l'université et de l'École de droit de la Sorbonne.
Centre Michelet, siège de l'École d'histoire de l'art et d'archéologie de la Sorbonne.
Institut de géographie, siège de l'UFR de géographie de l'université.
Pavillon de l'Indo-Chine du Jardin d'agronomie tropicale de Paris, où se situe l'Institut d'études du développement de la Sorbonne.

Le siège social et la présidence de l'université sont situés au 12, place du Panthéon, 75005 Paris[34]. Le Panthéon est le site principal de l'université. Il abrite une partie de l'École de droit de la Sorbonne.

Les autres sites sont appelés annexes dans les statuts[34] :

Le centre Pierre-Mendes-France, où ont lieu certains cours de licences des étudiants en économie, philosophie, histoire et histoire de l'art.

Enseignement et recherche

Formation

L'université propose 22 licences[44], 418 master[45],[46], 10 doctorats[47] et 17 doubles licences. Il existe en outre 3 licences professionnelles[48], 71 diplômes universitaires[49], 5 magistères[50] et 84 masters 1[51]. L'université propose 90 parcours en apprentissage[52], 3 licences professionnelles[48], 71 diplômes universitaires[49] et 5 magistères[50]. Un Collège de droit a été ouvert en 2017[53].

Partenariats

L'université dispose de plus de 700[54] conventions d'échanges d'étudiants avec des établissements étrangers ainsi que des doubles cursus, particulièrement en droit :

Elle dispose de 215 accords Erasmus+ et 388 partenaires internationaux. 20 diplômes sont délocalisés[60].

Elle est la seule université française membre d'Una Europa[61].

Recherche

Les activités de recherche sont confiées aux dix écoles doctorales[62] :

  • l'école doctorale d'économie
  • l'école doctorale de management
  • l'école doctorale de droit de la Sorbonne
  • l'école doctorale de science politique
  • l'école doctorale de philosophie
  • l'école doctorale de géographie
  • l'école doctorale d'archéologie
  • l'école doctorale d'arts plastiques, esthétique & sciences de l'art
  • l'école doctorale d'histoire
  • l'école doctorale d'histoire de l'art

Les écoles doctorales sont composées de laboratoires de recherche[63] administrés par une unité mixte de recherche (UMR)[64].

Classements

QS World University Ranking[65]

En 2020, par discipline et matière :

  • Arts et Sciences Humaines : 32e (1er en France)
    • Archéologie : 16e (1er en France)
    • Histoire : 34e (1er en France)
    • Histoire classique et ancienne: 13e (2e en France)
    • Geographie : 33e (1er en France)
    • Philosophie : 28e (2e en France)
    • Art et design : 101e-150e (4e en France)
    • Architecture : 151e-200e (1er en France)
    • Langues Modernes : 51e-100e (3e en France)
  • Sciences sociales et management : 54e (3e en France)
    • Droit : 20e (1er en France)
    • Études de développement : 28e (1er en France)
    • Économie et économétrie : 51e-100e (3e en France)
    • Anthropologie : 51e-100e (2e en France)
    • Sciences politiques : 51e-100e (2e en France)
    • Comptabilité et finance : 101e-150e (6e en France)
    • Business et management : 101e-150e (8e en France)

Times Higher Éducation[66]

En 2016, le Times Higher Education classait l'université au 91e-100e rang mondial et au troisième rang français[67].

Classement Le Point - Le Figaro

En 2016, Le Figaro la classait au 10e rang national en se fondant sur le taux d'insertion professionnel et le salaire[68].

Vie étudiante

Vie associative

L'université abrite une centaine d'associations, thématiques ou liée à des diplômes[69].

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

19881989199019911992200020012002
29 909[70]30 708[70]31 750[70]32 410[70]33 037[70]35 950[71]36 222[72]37 452[73]
20032004200520062007200820092010
38 473[74]39 552[75]38 310[76]37 057[77]35 632[77]34 868[77]35 543[77]35 391[77]
20112012201320142015201620172018
36 809[77]38 115[77]37 941[77]38 924[77]38 308[77]39 035[77]40 176[77]42 049[77]
2019202020212022----
42 066[77]43 440[77]43 884[77]42 700[77]----

Patrimoine

L'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, comptant parmi les principales héritières de l'université de Paris, fut dotée à sa création, en 1971, d'un riche patrimoine culturel, composé de diverses collections et d'un parc immobilier remarquable.

Patrimoine immobilier

Située historiquement au cœur du 5e arrondissement de Paris, l'université Panthéon-Sorbonne jouit d'un riche patrimoine architectural, tel la Sorbonne d'Henri-Paul Nénot, propriété de la ville de Paris, porteuse d'une riche histoire et décorée de nombreuses fresques réalisées au XIXe siècle par des artistes tels que Léon-François Comerre ou Marcel Baschet. L'université bénéficie également des locaux de l'ancienne faculté de droit de l'université de Paris, conçue par Jacques-Germain Soufflot, dont la cour d'honneur et les façades du bâtiment originel furent inscrites au titre des monuments historiques en 1926[78]. Certains autres bâtiments occupés par l'université sont également classés au titre des monuments historiques, tels que l'Institut d'art et d'archéologie, conçu par Paul Bigot et classé depuis 1996[79], ou le collège Sainte-Barbe de l'architecte Louis-Ernest Lheureux classé en 1999[80]. Dispersée dans Paris, l'université compte de nombreux bâtiments remarquables et continue son expansion.

Collections

L'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, héritière des collections scientifiques et pédagogiques constituées à partir du XIXe siècle au sein de l'université de Paris, compte un riche patrimoine divers et ancien d'œuvres antiques, de peintures, de photographies et de moulages[81]. L'université a également enrichie ses collections, depuis sa fondation, en se dotant notamment d'œuvres contemporaines et en constituant une cinémathèque comptant aujourd'hui plus de 7000 titres[82].

Plan de Rome de Paul Bigot abrité par l'École d’histoire de l’art et d'archéologie de la Sorbonne.

Personnalités liées à l'université

Enseignants

Enseignants en droit et en science politique

Enseignants en économie et gestion

Enseignants en sciences humaines et sociales

Étudiants

Hommes et femmes d'affaires et chefs d'entreprise

Médias

Personnalités politiques françaises

Personnalités politiques étrangères

Artistes, écrivains, autres

Domaine académique et relations internationales

Docteurs honoris causa

Depuis sa création, l'université Panthéon-Sorbonne décerne le titre de docteur honoris causa à des personnalités en reconnaissance de leur rôle et de leur engagement dans la promotion des valeurs et des principes inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l'homme.

Médaille Richelieu

En mémoire du cardinal de Richelieu, qui étudia à la Sorbonne et œuvra de manière remarquable à son développement, l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne a créé la médaille Richelieu, une décoration décernée depuis 2010 à des personnalités « qui par leur position, leurs déclarations ou leurs actes, contribuent activement au respect et à la défense des valeurs de l'université, tout en favorisant la diffusion d'un savoir universitaire d'excellence »[86]

Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

  • Comité national d'évaluation, L'Université Panthéon Sorbonne - Paris I, rapport d'évaluation, Paris, , 258 p.
  • Statuts de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Paris, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, , 37 p. (lire en ligne) [PDF].
  • Christophe Charle, Philippe Boutry et Marie-Caroline Luce, L'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Cinquante ans entre utopie et réalités (1971-2021), éditions de la Sorbonne, Paris, 2021.
  • Éric Pesme, Une vocation universaliste. L’action internationale de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, éditions de la Sorbonne, 2021.
  • Jean da Silva, Une part de risque. L'École des Arts de la Sorbonne, éditions de la Sorbonne, Paris, 2020.
  • Nicole Maggi-Germain (dir.), À la croisée du monde du travail et de l’université. L'Institut des sciences sociales du travail, éditions de la Sorbonne, Paris, 2021.

Articles connexes

Liens externes

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