Première mention, à Calne, dans le Wiltshire en Angleterre, d'un hôpital placé sous l'invocation de saint Jean-Baptiste et de saint Antoine[2].
Fondation au Rœulx, en Hainaut, par Baudoin, bailli de la ville, de l'hôpital Saint-Jacques, voué à l'origine à l'accueil des pèlerins, mais qui recevra par la suite les pauvres et les malades[3].
Création d'une aumônerie à Pouzauges, en Vendée[4].
Construction d'un hôtel-Dieu à l'intérieur des remparts de Falaise, en remplacement de l'ancien hospice que de nombreux sièges ont contraint de laisser à l'abandon[5].
Première mention de l'hôpital Saint-Antoine, dit « de la Cadoule », du nom de la rivière qui le traverse, dans le Languedoc, sur le territoire actuel de la commune de Vendargues[6].
Ouverture, à Paris, de l'hôpital de la Croix-de-la-Reine, qui deviendra hôpital de la Trinité en 1207 puis, en 1545, hospice des Enfants-Bleus, voué à l'accueil des orphelins[7].